mardi 30 décembre 2008

TENSIONS COMMUNAUTAIRES: uniquement politiques ???

COACHING et art... Quand le groupe "Marcus" s'y met pour fêter l'avènement de 2009... ;-)

Alors qu'à nouveau un nouveau gouvernement belge se met en place (:-°), un jeune groupe électronique belge nommé "MARCUS" exprime son ras-le-bol contre la mentalité qui règne chez nos politiciens : "ils ne font que se monter les uns les autres, alors que dans notre quotidien à nous, flamands et francophones vivent ensemble harmonieusement et partagent une même vision des choses!!!

Il est temps que le gouvernement se réveille et arrête ses petits combats mesquins de clochers.
Les jeunes - bravooooo!!! - montrent l'exemple : ils ont besoin de projets communs, d'harmonie, de cohérence.

Je me réjouis de voir ce que notre société va devenir dès 2009 !!!!

Le nouvel an belge - entrée 5€77 (cinq euros septante sept) - places à retirer sur place le soir même ! Les belges fêtent leur nouvel an. En tout cas, c'est certain, ils ont mis les petits plats dans les grands: menu de réveillon belge, cotillons et surtout le fameux son belge. pour fêter les 7 coups d'1h07, ils ont choisi la flèche d'or, le 30 mai.

lundi 29 décembre 2008

LA CRISE, une opportunité de CROISSANCE DE L'ETRE

LA CRISE... On en entend parler partout!
Faillite du système ultralibéralisme, effondrement de la bourse mondiale, marasme économique... Non seulement les adolescents, les couples, les individus sont en crise, mais c'est tout le système dans lequel nous vivons qui est remis en question!!!

La société se retrouve à bout de souffle, désorientée, les gens se retrouvent sans repères.
La nécessité d'un retour sur soi pour sortir de l'impasse ou pour sortir de la fuite en avant s'impose de plus en plus... et tant mieux!!!

Marre d'un système où règnent les rapports de force, la compétition extrême, la course à la croissance, à la possession matérielle avant tout... une manière de réparer ou compenser un sentiment de vide d'amour, de reconnaissance, de lien?

"La crise" arrive peut-être à point nommé pour nous amener à re définir ce qui est essentiel pour nous (ex : la famille)... et vérifier que nos actes sont cohérents : que nous agissons en fonction de ces essentiels (ex : est-ce que je lui consacre suffisamment de disponibilité de qualité)!!!!

jeudi 18 décembre 2008

COACHING & SENS

Les hommes - et les femmes ;-) - font parler les choses et les situations grâce ou à cause de leur histoire.

RESILIENCE & COACHING

Pourquoi travailler certains passages du passé en COACHING ?
Parce que c'est dans le passé qu'est la source du sens que nous avons mis sur notre rapport au monde, à soi et aux autres.

On ne peut pas faire "poubelle" de notre récit de vie, de notre histoire narrative... à moins de faire du "COACHING de surface". :-)

Quand on n'a pas la possibilité de travailler ses souvenirs, c'est l'ombre du passé qui nous travaille!!!!

Le récit de notre passé, sa "recomposition intentionnelle positive" (retrouver l'intention positive des personnes concernées par mon histoire) allège l'ombre qui nous écrase.

Tout traumatisme nous bouscule et nous déroute vers la tragédie. Au cours de séances de COACHING PRIVE, la représentation de l'événement nous donne la possibilité d'en faire le pivot de notre histoire, une sorte "d'étoile de Berger noire" qui nous indique la direction. Nous sommes alors libres d'en faire quelque chose.

mardi 9 décembre 2008

JE VEUX DE L'AMOUR !!!! :-)

Il y a tant de manières de recevoir l'amour. Sans doute ne recevons-nous pas toujours de nos proches l'amour de la manière que nous imaginons, mais ouvrir son esprit à voir l'amour sous toutes ses formes peut tout changer.

Nous pouvons avoir le sentiment qu'un de nos parents n'avait que peu ou pas d'amour pour nous... ...

Expérience, juste pour le plaisir, histoire de sortir de notre "histoire narrative" qui nous construit mais parfois nous emprisonne (l'histoire narrative = l'histoire que je (me) raconte sur moi, = mon interprétation de ce qui m'est arrivé) ;-) : Ouvrons notre esprit pour voir l'amour sous toutes ses formes : est-ce que l'amour n'était pas bel et bien présent... mais sous une autre forme que celle que nous aurions aimé (a)voir?????

Peut-être avions-nous envie/besoin que ce parent nous montre beaucoup plus d'affection qu'il n'était capable d'en donner, et que ce qu'il parvenait à faire était de donner son autorité, ou des cadeaux en échange de son manque de présence, ou... ??? N'était-ce pas une forme d'amour?

Quoi qu'il en soit - et peu importe le parcours fait jusqu'ici, est-ce qu'aujourd'hui je suis capable de me donner à moi l'amour que je réclame des autres ?

Comment m'apporter de l'amour ?
En me portant attention comme je le fais pour mon/ma meilleur(e) ami(e)
En me faisant plaisir, en cultivant des pensées constructives
En remarquant combien on m'apprécie, en m'appréciant d'avantage
En imaginant et en choisissant le meilleur pour moi et ma vie...
Je suis sure que vous aller avoir plein d'idées !!!

:-)

jeudi 4 décembre 2008

mardi 2 décembre 2008

THIERRY JANSSEN, la maladie et son sens...

Je prends enfin quelques minutes pour vous faire mon petit compte rendu de la conférence de THIERRY JANSSEN le 26 novembre dernier...

C'était évidemment du bonheur d'écouter Thierry Janssen dans toute sa sensibilité et son côté authentique. Aligné, il nous a parlé de son dernier livre sur "Au delà des croyances, la maladie a-t-elle un sens" ?

Ce qui m'a marqué le plus, c'est son insistance sur le fait que le bien-être résulte d'un alignement entre le corps, la pensée (l'intellect) et les émotions - tient donc !!! :-) or notre civilisation (ie la médecine) se concentre tellement à sectionner / diviser l'individu en parties, afin de pouvoir mieux le maîtriser, le canaliser. Résultat, le corps est rangé au rang d'objet : "j'ai un problème au coeur", comme si ce coeur n'était pas nous.

Il a parlé allègrement aussi des croyances, pour lesquelles nous sommes prêts à nous rendre malade - voire à mourir! Ayons l'humilité de douter de nos concepts, de nos certitudes et convictions qui donnent tout notre sens... quitte à limiter/sabotter nos comportement et choix.

Redonnons la place au vrai "bon sens", qui n'est pas dans les mots (dans l'intellect), mais dans la perception & l'émotion. Fluidité, confiance et cohérence sont les 3 grandes qualité pour garder ou retrouver la santé. Cohérence entre ce que je dis, ce que je pense et ce que je fais...

lundi 24 novembre 2008

Traumatisme, deuil et résilience...

Comment arrive un traumatisme ????
Traumatisme, deuil et résilience sont extrêmement liés !!!

BORIS CYRULNIK en parle magistralement dans ses livres...

Il y a traumatisme si la personne est face à un événement qui fait sur elle l'effet d'une "surprise négative" cataclysmique ou insidieuse
-> La personne en est submergée, bousculée
-> Sa bulle protectrice est déchirée, sa vision du monde s'en trouve désorganisée
-> La personne est confuse, mal consciente de ce qui lui arrive, désemparée, ce qui lui cause beaucoup de souffrance
-> Il lui faut absolument trouver un sens pour se ressaisir, pour ne pas rester dans la confusion, sinon, elle ne peut rien décider puisqu'elle ne comprend rien!
-> Une fois sortie de situation d'urgence, elle parvient à se faire une nouvelle représentation d'image et de mots
-> ce qui lui permet de se former un nouveau "monde intime"
-> La personne retrouve une vision claire, quitte à ce que pour y arriver, elle adoptent des croyances et comportements limitants!!!!

C'est là que le COACHING peut être utile!

samedi 8 novembre 2008

CONSTELLATIONS FAMILIALES ET A THEME

Constellations familiales :
- Le samedi 15 novembre de 9h30 à 18h à Saint-Germain (suivie le dimanche d’une journée de constellations sur le thème de l’argent et de l’abondance)
- Le lundi 8 décembre de 9h30 à 18h à Chaumont-Gistoux
Prix : 60€ constellant- 30€ représentant ou participant

Constellations à thème : « Argent, travail et abondance » :

- Le dimanche 16 novembre de 9h30 à 18h à Saint-Germain : un regard en profondeur sur nos croyances dans le domaine de l’argent, de l’abondance, de nos choix d’activités et de vie et des intrications familiales et collectives qui les sous-tendent. Une constellation collective puis des constellations individuelles.
Prix : - 60€ constellant- 30€ représentant ou participant
Si 2 journées : 110€ constellant- 55€ représentant ou participant

Martine Henkart
Rue du Bauloy,52
1340 Ottignies
010/40 17 77
0476/41 60 46

jeudi 30 octobre 2008

LA SEXUALITE SUBIE (2ème partie) - les abus sexuels graves

Comment s'installe l'abus sexuel grave? Si a violence sexuelle entre l’auteur et sa victime peut s’installer ou persister, c’est souvent parce que personne n'a pu ou voulu prendre une place efficacement positive pour protéger la victime, dialoguer avec l’auteur ou interpeller des professionnels compétents.

Pourquoi cette non-prise de responsabilité ? Par vraie ignorance, parfois. Ailleurs, ce tiers est trop absent ou occupé pour mettre en œuvre une part de vigilance. Plus souvent malheureusement, le tiers a des doutes et fait la politique de l’autruche, en raison de l’angoisse ou de la terreur que soulève en lui l’idée de la révélation des faits ( violence de l’auteur, éclatement des structures actuelles ; honte publique ; etc. ). Parfois hélas, il peut s’agir d'un manque de solidarité ou de l’ambivalence que ce tiers vit à l’égard de l’enfant sacrifié, jusqu’à ressentir qu’après tout, ça arrange bien les choses que l’auteur se soulage sur ce dernier … jusqu’à se venger sur l’enfant d’autres maltraitances que l’on a subies soi.

Parfois, c'est sur un enfant sans caractéristiques particulières que s’abattent les sévices. Plus souvent cependant, il émane de l’enfant comme des points d’appel qui vont attirer sur lui l’attention négative du futur auteur ou l’inertie des tiers :

Pouvoir de séduction particulier ; sentiments œdipiens intenses ; non-socialisation ; isolement; carence affective et besoin d’être aimé par n’importe quel moyen ; hyper-érotisation...

Au début du processus d’abus, nombre d’enfants pourraient se protéger plus efficacement de leur agresseur. Certains y parviennent bien, discrètement ou avec de l’aide. Mais beaucoup ne réagissent pas, par ignorance ou soumission, en référence à une image immature de ce que doivent être les rapports enfants – adultes, c'est à dire des rapports d’obéissance. (« On doit obéir à l’adulte, qui a nécessairement raison. »)

Par la suite, une petite partie des enfants se transforme de l’intérieur et élabore des stratégies d’adaptation … qui ne font qu’aggraver les choses : dépression, culpabilité et soumission ; confusion des idées et adhésion partielle à celles de l’auteur ; masochisme et adoption de comportements de provocation enrageants pour l’auteur, etc.

Que deviennent ces enfants abusés, adolescents ou adultes?

A. Certains seront à peine troublés de l’intérieur par les abus qu’ils ont vécus comme une fatalité incapable de détruire leur être profond.

B. D'autres seront meurtris, mais réussiront à partiellement cicatriser leur souffrance. Bien décidés à faire de leur vie une réalité positive, ce qui reste bien à portée de leur volonté.

C. D’autres demeureront démolis de l’intérieur, sans réelle cicatrisation. Ils exprimeront leur souffrance sur un mode négativiste, ou dépressif, en "auto-agressant l’être sans valeur qu’'ils croient avoir toujours été" (toxicomanie, anorexie mentale, tentative de suicide au début de la vie adulte). C’est surtout le cas lorsque les critères de gravité étaient intenses au moment des abus (volonté de posséder l’enfant, tromperies sur le fait que l’on fait cela pour son bien, indifférence, lâcheté et mauvaise foi de l’entourage, montée précoce d’une fort mauvaise estime de soi, persistance du silence, si pas du rejet après coup).

Soyons vigilants, apprenons à nos enfants ce qu'est leur intégrité physique, encourageons-les à dire STOP au non respect de leur intégrité.

mardi 21 octobre 2008

SAVOIR DIRE "NON"

Apprendre à dire non est un des objectifs les plus abordés en COACHING.

C'est si difficile de dire non quand on aime... Ne risque-t-on pas d'être jugé(e), rejeté(e), de ne plus être aimé(e) si on dit non? Est-ce que la relation ne va pas être "abîmée"?

Et pourtant! L'amour est aussi une "épée" : l'amour, c'est savoir dire non quand c'est non.
Le NON est un cadeau : oser dire NON à quelqu'un, c'est permettre à l'autre de grandir. C'est le "NON d'amour", bien plus fort que le "Noui par amour". Noui = je pense non mais je dis oui pour soi-disant nourrir - ou pourrir ? - la relation.

Ne pas savoir dire NON, n'est-ce pas finalement avoir un regard de condescendance sur l'autre, dans a mesure où on ne le croit pas capable d'entendre le NON?

A réfléchir....

vendredi 10 octobre 2008

PNL & CARTES DU MONDE

Respecter la carte du monde de l'autre (= ce qui a du sens pour lui), une clef de la PNL qui ouvre au non jugement, à l'accueil des différences et à la non violence.

;-)

vendredi 3 octobre 2008

ROBERT DILTS en Belgique pour un séminaire en décembre : GRANDIR AU TRAVERS DES RELATIONS INTIMES

Un séminaire animé par Robert Dilts (un des pères de la PNL) "GRANDIR AU TRAVERS DES RELATIONS INTIMES". A ne pas manquer!!!

Dates & Lieux
Belgique
Centre culturel de Woluwé St Pierre (Bruxelles)
Du 5 au 7 décembre 2008

Les relations intimes (amicales, familiales, amoureuses, professionnelles, etc.) font partie intégrante de nos vies. Ces relations peuvent être une source puissante d’évolution et de satisfaction, ou peuvent au contraire mener à l’immobilité et au conflit, selon la manière dont nous les gérons et les entretenons.

Les relations intimes, probablement plus que dans tout autre contexte, peuvent nous aider à grandir et révéler qui nous sommes ; découvrir et partager de nouveaux dons et transformer nos restrictions. Elles peuvent également nous limiter dans notre être présent, ou en devenir, nous retenir en arrière, nous garder enfermés dans nos vieux schémas.
L’objectif de ce programme sera d’explorer « la différence qui fait la différence » et présenter des outils qui nous aideront à établir et soutenir des relations génératives et fonctionnelles, qu’elles soient personnelles ou professionnelles. Les relations intimes qui favorisent la croissance, par exemple, sont basées sur des qualités telles que l’engagement, le courage, la compassion et la connexion.

Le point central de ce séminaire sera de découvrir que la relation est un « champ », ou « troisième entité », généré entre les parties impliquées, de la même manière que l’hydrogène et l’oxygène peuvent se combiner pour produire le troisième stade de l’eau. Les relations deviennent un réservoir contenant les pensées, les émotions et les expériences des acteurs impliqués.

Richard Moss a souligné que la distance entre nous et les autres est identique à la distance entre nous et nous. Ceci signifie que la manière dont nous sommes reliés aux autres, principalement ceux avec lesquels nous entretenons un lien intime, reflète la manière dont nous sommes reliés à nous-même. Cette relation de soi à soi est souvent limitée par ces émotions en nous que nous ne savons pas comment rencontrer, accepter, garder et aimer. Apprendre à se relier à ces émotions difficiles d’une manière nouvelle est une profonde opportunité d’évolution.

L’intimité engendre également de la vulnérabilité parce que nous nous ouvrons à l’autre à des niveaux profonds. La vulnérabilité nous permet d’être touché, rencontré, et vu plus complètement parce que nous avons laissé tomber nos défenses. Cette même vulnérabilité nous expose plus à la blessure. Avec les ressources appropriées, nous pouvons apprendre, au travers des relations intimes, en même temps à être vulnérable, et à nous sentir en sécurité à l’intérieur de la relation.

Ce programme expérimental offrira des outils et des stratégies pour grandir au travers des relations intimes. Nous verrons entre autres comment :

- développer notre capacité à accepter les défauts, les nôtres et ceux des autres, sans jugement ;
- apprendre à reconnaître et à créer un espace pour notre potentiel latent ;
- accroître notre capacité à nous mettre en « deuxième position » ; c’est-à-dire « franchir le pont » pour aller vers le monde de l’autre ;
- approfondir et aligner les niveaux de connexion avec nous-même et avec les autres ;
- élargir la conscience de la « quatrième position » et du « champ » de la relation ;
- exlorer l’apport de ressources dans la relation qui renforceront le réservoir et le rendront plus génératif ;
- élaborer des méthodes pour rester centré et présent face à la vulnérabilité et aux émotions difficiles.


Renseignements pratiques
Prix :
420 EUR - 630 FS pour les 3 jours
+30% prix entreprise (contactez-nous)

Pour vous inscrire :
RESSOURCES asbl
54 Grand Chemin
B-1380 Lasne Belgique
Tel. +32 (0)2 633 37 82
Fax +32 (0)2 633 38 71
URL www.ressources.be

mercredi 1 octobre 2008

Peurs et fantasmes - COACHING de l'insécurité.

Aujourd'hui, les coachs, psys et autres accompagnant sont en contact majoritairement par des personnes souffrant d'insécurité. Dans nos sociétés "en voie de sur-développement", cette insécurité, palpable, est source de mal-être.

Or la majorité de nos peurs sont des peurs mentales, crées par nos pensées, provoquées par des croyances limitantes, des fantasmes ou des chimères.

Nous vivons pour beaucoup dans a crainte de ne plus avoir.
Mettre son énergie pour "avoir mieux" est largement moins anxiogène que assurer ce que lon pourrait perdre...

D'où l'importance en séance de coaching de permettre au coaché de CHANGER son REGARD...

vendredi 19 septembre 2008

THIERRY JANSSEN : conférence en Belgique le 26 novembre Prochain à Bruxelles!

Au-delà des croyances, la maladie a-t-elle un sens?

Une conférence de THIERRY JANSSEN à ne pas rater !!!!!!
Organisée par TETRA le mercredi 26/11/08 à 20h,
à l'ULB, Auditoire P-E. Janson (Av. Franklin D. Roosevelt 50, 1050 Bruxelles)
12.5€ - membres 11€ - moins de 26 ans 6€
Réservation obligatoire : http://www.tetra-asbl.be/Tetra_Activite.aspx?id=500

Il est important de pouvoir attribuer un sens aux événements de notre existence. En particulier lorsque le chaos provoqué par la maladie oblige de trouver un nouvel équilibre. Pourtant, la médecine moderne accorde peu de place à la question du sens; elle soigne les corps en négligeant le vécu et les croyances des malades.

Riche de son expérience au contact de guérisseurs issus de cultures traditionnelles, Thierry Janssen nous montre que, face à la maladie, nous avons le choix d’explorer plusieurs sens.
Le « Sens biologique » défini par la science ou « sens symbolique » exprimé par les patients ?

A travers l’histoire de la médecine psychosomatique, il nous explique comment, depuis un siècle, en Occident, des médecins et des thérapeutes tentent de faire concorder ces deux « sens ». Nous découvrons alors que l’interprétation des symptômes d’une pathologie n’est pas forcément l’explication de ses causes réelles.

Et, écoutant le témoignage de nombreux patients, nous comprenons que l’essentiel se trouve au-delà de nos croyances, dans les principes de vie indispensables à la bonne santé.

Poussant plus loin sa réflexion, Thierry Janssen nous invite à dépasser nos préoccupations individuelles, voire individualistes, pour attribuer un « sens collectif » à la maladie. Celui-ci fait appel à notre responsabilité et à notre cohérence afin de prévenir le mal au lieu de le guérir. C’est probablement là que réside la réponse la plus urgente à la question que pose le titre de cette conférence.

jeudi 11 septembre 2008

TEAM BUILDING pour le gouvernement belge : une nécessité !!!!

Team Building: cohésion collective
-> travailler la relation. Créer des liens.

C'est vraiment ce qu'il manque à notre gouvernement belge !!!

Ce serait tout bénéfice pour le pays que de travailler la relation et la confiance entre tous nos décideurs, qu'ils soient francophones ou néerlandophones.

Comment peut-on nous sentir en confiance si eux ne savent pas se faire confiance entre eux???

mardi 9 septembre 2008

C'EST QUOI L'AMOUR? C'EST QUOI LA DEPENDANCE AFFECTIVE?

Il y a 1001 manières de vivre l'amour...
(ex : vivre en couple ensemble ou sur 2 lieux, au choix des 2 personnes qui s'aiment)

Mais une chose est sure :
L'amour est union, et non (peur de) séparation ou sentiments non partagés
L'amour se voit dans les actes (présence, attention, accompagnement), et non dans les promesses
L'amour est respect, et non prise de pouvoir, profit ou manipulation
L'amour est construction durable, et non fragilité, remise en question constante
L'amour est échange et partage, il offre un espace de compromis pour trouver ce qui convient à l'un ET à l'autre, sans mise en attente ou étouffement d'un besoin essentiel

L'amour rend léger, heureux, fort, confiant, tranquille, serein, interdépendant (concerné et indépendant).

Il ne met pas en souffrance, il ne rend pas triste ou inquiet (une, voire 2 des 2 parties).
L'amour est différent de l'attachement, qui rend dépendant et ne fait que nourrir de vieilles blessures d'enfant insécurisé affectivement.

mardi 2 septembre 2008

LA SEXUALITE SUBIE (1ère partie) - L'épine bénigne

Que faire quand on est parent et que son enfant a subi la pression d’un (de plusieurs) autre(s) et qu'il a été obligé de participer à une activité sexuelle sans le désirer ?

Entre la sexualité subie et celle qui est franchement désirée, il existe de nombreuses zones intermédiaires. Et l'on peut également considérer que les actes posés sous contrainte («subis») se répartissent sur un gradient de gravité qui va du bénin à la destruction importante du corps et de l’esprit de l’enfant… Des "épines sexuelles" aux abus graves.

Qu'est-ce qui fait que l'enfant vive l'événement comme une "épine bénigne"?

- Le fait que l'événement soit isolé ou quasi et que l'enfant ait conscience de ce caractère non récurrent ou qu'il connaisse et maîtrise les moyens de contrôler son retour (par exemple, évi­ter telle fréquentation).

- Le fait qu'il émane d'une personne étrangère à la famille de l'enfant. Si c'est un adulte, le risque d'atteinte psychique diminue encore si cet étranger n'exerce aucune autorité offi­cielle ou morale ni pouvoir d'emprise de facto sur l'enfant.

- Le fait que l'enfant puisse reconnaître par la suite qu'il n'y avait aucune intention de lui nuire volontairement, même si cela a produit un effet négatif désagréable sur le coup.

- Le fait que l'événement n'entraîne pas tout de suite une grande frayeur ; que sa remémoration ultérieure ne génère ni trop de honte, ni d'angoisse, ni de culpabilité ; que l'anticipation de son retour possible n'entraîne pas frayeur et sentiment d'impuissance.

- Le fait qu'il soit suivi le plus rapidement possible par de la parole reconstructive : parole qui explique ce qui s'est passé, qui permet à l'enfant de comprendre qu'il n'était pas menacé dans son intégrité physique, ou encore, parole qui tente de rattraper les choses ; parole où l'agresseur rend compte de ses motivations et demande pardon à l'enfant.

- Pas de traumatisation secondaire après coup.

La majorité des enfants sont à même de cicatriser rapidement l'impact traumatique ou excitant de ces égratignures, seuls ou aidés. S'il en est ainsi, nous pouvons nous en tenir à :

- Les préparer : leur expliquer que les épines égratignent leur corps sexuel et génèrent un souvenir désagréable, mais que leur âme et leur valeur n'en volent pourtant pas en éclats.

- Leur apprendre à se faire respecter et les y encourager, notamment en acceptant qu'ils nous disent « non » quand nous leur manquons de respect au quotidien.

- Les prévenir qu'ils ne gagneront pas tous ces petits com­bats sexuels ; nous en avons perdu quelques-uns aussi et c'est ainsi que va la vie : il existe de loin en loin une ronce que l'on a vue à temps et que l'on peut enjamber... ou sur laquelle on s'écorche les mollets.

- Ne pas les traquer, les laisser libres de se confier ou non à propos de ces incidents. Si un enfant décide d'en parler, com­mençons par l'écouter et par le consoler. Puis, étudions avec lui, de façon réaliste, les tenants et les aboutissants des réactions susceptibles d'exister (au moins sur papier).

Être vigilant, mais sans excès

Toute intervention, parentale ou autre, doit veiller à ne pas pro­voquer le risque de la traumatisation secondaire et de la stig­matisation par les pairs. Cela n'en vaut pas la peine pour telle histoire — moche au demeurant — qui s'est passée dans les douches du club sportif ! Réagir discrètement entre parents, sans dramatiser, voire « l'écraser » pour cette fois, tout en sti­mulant la prudence de l'enfant à l'avenir, peuvent constituer les réactions positives les plus réalistes.

Pour la minorité d'enfants très vulnérables, déjà fort trau­matisés par leur confrontation à ces petites épines, comment réagir ?

Montrons-nous d'abord sensibles à leur souffrance, qu'ils essaient souvent de dissimuler : allons à leur rencontre et encourageons-les délicatement à s'exprimer. S'ils le font, veillons à ce qu'ils reçoivent de la solidarité familiale et des soins psychologiques adéquats. Par ailleurs, nous pouvons les entraîner, eux aussi, à mieux se défendre et à avoir confiance dans leurs capacités.

Pour en savoir plus : http://www.jeanyveshayez.net

lundi 1 septembre 2008

COACHING PARENTAL & OBEISSANCE


Un petit billet sur le COACHING PARENTAL me semble fort à propos aujourd'hui! ;-) C'est l'heure de la rentrée, nos charmantes petites têtes blondes retrouvent le chemin de l'école pour une nouvelle année pleine d'expériences et d'apprentissages de tout ordre.

Gageons que nous les accompagnions du mieux possible pour leur permettre de "mettre dans leur cartable personnel" plein de ressources dont ils auront besoin pour la vie.

Je me suis plongée dans le livre de Stéphane Clerget et Bernadette Costa-Prades : "Parents, osez vous faire obéir". Décidément, j'aime bien ses écrits à Stéphane Clerget (j'ai déjà présenté dans un de mes billet son livre "La mère parfaite, c'est vous"). Ils ont le mérite d'être simples, sans prises de tête, avec une vision que j'apprécie beaucoup : constructive, pleine de bon sens, de respect/Amour de soi et de l'autre).

Ce que j'ai surtout apprécié, c'est surtout sa clarification sur l'obéissance. Stéphane Clerget insiste sur le fait que l'obéissance n'est pas une fin en soi, mais un moyen pour l'enfant/l'adolescent de devenir un adulte conscient et responsable... Ce qui donne donc une place essentielle à l'apprentissage à l'obéissance dans l'accompagnement de nos enfants qui nous est confié.

Obéissance = apprentissage du respect de règles "majeures" (concrétisent de grandes lois) et "mineures" (défendent des valeurs plus relatives).

vendredi 29 août 2008

CHANGEMENT & COACHING


Changement = inconfort (j'en peux plus) x projet (je sais ce que je veux) x vision (je sais comment)

Si une partie de cette équation manque, le changement n'aura pas lieu...

mardi 26 août 2008

COACHING PARENTAL • Belle-mère : un rôle de composition

Dans la famille recomposée, je voudrais… la belle-mère ! Moderne, bien entendu, afin que se transforme l’image mythique de la marâtre détestable des contes de fées. Tel est l’effort apporté par la psychanalyste Catherine Audibert dans son livre "Le Complexe de la marâtre"*, auquel s’est intéressé le journal suisse Le Temps.

A l’heure où les belles-mères n’ont jamais été aussi nombreuses, il devenait urgent de se pencher sur leur place et leur rôle. Dans son livre, Catherine Audibert montre tout d’abord que l’exemple de la marâtre des contes est très utile au jeune lecteur. "Sur elle, il peut canaliser toute la colère et l’agressivité qu’il ressent parfois pour sa mère, tout en conservant son image intacte." Ainsi, explique la thérapeute, "la bonne et la mauvaise mère ne font qu’une, et le dédoublement de la figure maternelle aide l’enfant à vivre l’ambivalence de ses sentiments sans se sentir coupable. Car il va sans dire que la vraie mère est un ange de douceur et de générosité, tandis que la belle-mère ne peut se concevoir qu’injuste, jalouse et méchante."

Mais, dans la vie, quand la figure de la mère est incarnée par deux femmes, l’effet est tout autre, note Le Temps. Pour grandir, il faut apprendre à vivre l’ambivalence de ses sentiments "vis-à-vis de celle qui vous aime tout en vous enseignant la frustration." Du coup, "une marâtre en chair et en os offre parfois à l’enfant l’occasion d’esquiver la difficulté en concentrant ses mauvaises pensées sur l’intruse sans égratigner l’aura de sa génitrice."

L’écart entre les contes et la réalité n’a jamais été aussi grand, insiste Catherine Audibert. Alors que Cendrillon était orpheline, dans la réalité d’aujourd’hui, si la mère est séparée du père, elle est encore bien vivante. "Il lui arrive même de peser lourdement sur le destin de la nouvelle famille en construction : c’est ce que racontent beaucoup de patientes de la psychanalyste, paralysées par ce 'fantôme omniprésent' qui ne leur laisse aucune chance", souligne le journal.

Pour régler cette problématique, il faudrait que l’homme intervienne en éloignant l’ombre de "LA" mère et en "créant une place pour la belle-mère".
Mais trop souvent, il ne le fait pas, "animé soit par la culpabilité, soit par une sorte de 'fantasme polygame' qui le voit entouré de toutes ses femmes à la fois", analyse Catherine Audibert. Du reste, "c’est un peu un conte de fées à l’envers que nous raconte la psychanalyste", s’étonne de son côté le journal suisse. Dans "Le Complexe de la marâtre", on rencontre en effet beaucoup de "mères perfides, d’enfants pas si innocents et des pères moyennement princiers"… :-)

La particularité du livre est de s’efforcer de réhabiliter le rôle ingrat de la belle-mère. "Aucune femme n’a jamais rêvé d’être marâtre", écrit justement son auteur. Les belles-mères doivent incarner un personnage qui leur est imposé et qu’elles ne se sont jamais représentés : "En dehors de la harpie malveillante des contes de fées, il n’y a pas de modèle". Pour occuper sa place de belle-mère, la femme doit "effectuer tout un travail psychique" que Catherine Audibert s’applique à décrire en s’étonnant du peu de littérature spécialisée existant sur ce thème.

Par ailleurs, remarque la psychanalyste, même si le père a un rôle décisif à jouer en "créant une place pour la marâtre", c’est aussi le regard des autres qui revêt une grande importance. De même, la société doit accorder une place plus claire aux belles-mères, "notamment sur le plan juridique : devant un juge du divorce, la nouvelle femme du père n’a souvent pas droit à la parole, même lorsqu’elle prend soin des enfants depuis des années".

* Ed. Payot, 2004.

lundi 25 août 2008

jeudi 21 août 2008

COACHING contre DESESPERANCE

"L’espérance est un risque à courir"

Georges Bernanos


Le COACHING implique que le COACHE espère, puis croit que le changement peut exister.

Ensuite viens l'apprentissage du changement, et son plein engagement dans le changement!!!

OSER...

jeudi 14 août 2008

LÂCHER PRISE... c'est se détacher de ce à quoi je tiens pour accepter ce qui vient et que je n'attends pas.

La vie t'apporte toujours ce dont tu as besoin.
Même quand cela implique de passer par des moments difficiles.

La vie sait mieux que toi ce que tu as à apprendre. Fais-lui confiance.
... il n'y a pas de hasard, alors, profites du voyage, regarde ce que tu as à comprendre, accueille et goûte ce qu'elle t'offre...

vendredi 8 août 2008

CONFLITS DE COMMUNICATION entre flamands et francophones

A quand le COACHING DES DECISIONNAIRES POLITIQUES et l'usage de la COMMUNICATION NON VIOLENTE, de l'INTELLIGENCE EMOTIONNELLE dans les négociations politiques en Belgique?

J'adorerais m'occuper de ça !!!

"QUI DIT QUE LES WALLONS NE FONT PAS D'EFFORTS ?" - Un clin d'oeil qui illustre bien les difficultés que l'on peut avoir pour COMMUNIQUER quand les cartes du mondes et les besoins des différentes parties ne sont pas clarifiées, accueillies, respectées, prises en compte...

jeudi 7 août 2008

Coaching et John Lennon

Le COACHING : un accompagnement qui permet au COACHE d'apprendre à accueillir et goûter la vie.

Un lieu d'apprentissage qui permet de reprendre contact avec ses élans, de s'autoriser à suivre le flot de la vie en se respectant soi et les autres... plutôt que de continuer à lutter et apprendre toujours à nager plus à contre courant ?

COACHING = espace où on s'exerce à se mettre dans une énergie d'accueil, d'écoute de soi.

"La vie est tout ce qui t'arrive quand tu es en train de faire d'autre projets" - John Lennon


lundi 4 août 2008

Coaching : pour sortir de la soumission.

La misère émotionnelle entraîne à la révolte ou à la soumission.

Le COACHING permet de sortir de ces 2 extrêmes...

"La soumission à un homme faible est discipline,
La soumission à un homme fort est servilité".

Gilbert Keith Chesterton.


"Soumission.
Patience dans l'inconfort, mais dans l'espoir d'une revanche qui en vaille la peine".

Ambrose Bierce.

dimanche 3 août 2008

Humilité ou humiliation (mésestime de soi) ?

L'humilité est un cadeau quand elle est accueillie en retour avec humilité.

Elle devient marque de soumission pour ceux qui veulent la voir ainsi et asseoir leur pouvoir...

Hélas. Car tout le monde a à gagner à partager dans l'humilité.
L'humilité permet à soi et aux autres de se considérer à sa juste valeur.
Ni plus, ni moins. Personne n'a rien à prouver. Tout est déjà parfait.

L'humilité est la vertu qui s'oppose à l'orgueil, à la suffisance ou à l'arrogance.
La personne humble est celle qui reconnaît, écoute et accueille ses limites et ses fragilités.
N'est-ce pas cela, la connaissance et l'estime de soi

samedi 2 août 2008

COACHING & IMPLICATION

Dans le COACHING, être concerné par son propre changement n'est pas suffisant. Le COACHE comme le COACH doivent être impliqué dans le processus de COACHING.


"Dans une omelette au lard,
la poule est concernée,
le cochon est impliqué"...

;-)

vendredi 1 août 2008

DEVELOPPEMENT PERSONNEL : devenons toujours plus légers de nos certitudes !!!!

Certitudes sur soi
certitudes sur le monde
certitudes sur les autres

... qui n'entraînent que des limitations, des contractions de nous-mêmes.

Toutes nos peurs viennent de notre volonté de "prétendre" être nos certitudes et gérer les certitudes que nous avons du monde et des autres...

-> triangle dramatique "victime-bourreau-sauveur"

jeudi 31 juillet 2008

BIEN-ETRE = prendre conscience et avoir foi que tout est déjà parfait ?

" Le merveilleux n’est pas içi ou là, il est en face, toujours en face.

Inutile de regarder ailleurs, ni plus haut ni plus bas."

Pierre Reverdy

mercredi 30 juillet 2008

claudia Rainville en vidéo

La seule vidéo de Claudia RAINVILLE en conférence... en italien.

Si vous avez d'autres liens concernant les apparitions de Claudia Rainville à me communiquer, n'hésitez pas, je les publierai.

D'ici là, bonne vision



mardi 29 juillet 2008

La peur du bonheur : A réfléchir...

"Le plus clair de mon temps, je le passe à l’obscurcir, parce que la lumière me gène."

Boris Vian

vendredi 25 juillet 2008

COACHING & EGO : quand on révèle ses ombres, elles ont moins de prise...

L'EGO fait partie du tout alors qu'il pense être tout !!!

En psychologie, il faut d'abord avoir un EGO afin de pouvoir le lâcher ensuite.
La souffrance vient quand l'EGO devient TOUT. Nous sommes alors très REACTIFS à nos pré-programmations (à ce que nous pensons de nous, des autres, du monde).

C'est pourquoi, en accompagnement, il est important de mettre l'EGO en lumière afin qu'il ne nous détermine plus. Si je vois mon EGO, mon EGO n'a plus de prise. LA CONSCIENCE DE L'EGO GUERIT.

mercredi 23 juillet 2008

COACHING : la conscience guérit

En COACHING, le plus gros challenge est d'accompagner le COACHE vers une PLUS GRANDE CONNAISSANCE DE SOI.

Dans cette recherche de la CONNAISSANCE DE SOI, il y a une grande différence à faire entre la découverte de notre "PETIT MOI"(= l'égo) et celle de notre "GRAND SOI" (BETTINA DE PAUW l'explique si bien!)

Car c'est une évidence, nous tenons tous très fort à notre EGO.
Nous tenons finalement autant à nos qualités et à nos défauts ;-), pensant qu'ils nous définissent et font donc de nous des personnes uniques.

Or, notre EGO n'est qu'une partie limitée de ce que nous sommes chacun!!!! : il n'est que notre "petit moi" déterminé par nos pensées... qui sont nos limitations !

Quand on croit que notre EGO est tout ce que nous sommes, il nous coupe de notre "grand soi", de notre potentialité réelle (infiniment plus grande que celle à laquelle notre "petit Moi" nous donne accès).

jeudi 17 juillet 2008

LA COMMUNICATION INTERNE, un outil stratégique

93,5% des responsables des ressources humaines, de la communication ou de la gestion, au sein d’entreprise privées et publiques, estiment que la communication interne a gagné en importance ces cinq dernières années. Telle est l’une des principales conclusions de l’enquête internet, réalisée par Corporate Creative, auprès de 100 personnes.

Dans les entreprises concernées, la communication interne sert surtout à transmettre de l’information opérationnelle - organisation, sécurité, savoir-faire, départ d’un collègue, etc. (89%). Au-delà ce cette utilisation pragmatique, la communication interne sert à transmettre de l’information motivante ou à véhiculer la culture d’entreprise (58%); entretenir et/ou améliorer le climat social (48%); développer l’esprit d’équipe (44%); écouter et comprendre les collaborateurs de l’entreprise (41%) et, le cas échéant, résoudre/prévoir les situations de crise comme une restructuration (22%). D’aucuns précisent que les effets de communication interne rejaillissent sur l’image externe de l’entreprise.

Du côté des outils de communication les plus fréquemment utilisés, on notera: l’intranet (39%), les e-mails quotidiens (36,78%), le journal d’entreprise généralement trimestriel (23%), une newsletter hebdomadaire (14%) ou mensuelle (16%). Sur le lieu de travail, les valves et notes de service ont toujours du succès ainsi que la fameuse fête annuelle du personnel (40%). Les nouveaux collaborateurs font l’objet d’un suivi attentif et quotidien pour 28% des entreprises.
Au niveau de l’efficacité, les réunions sont toujours très appréciées. Les réunions en face-to-face (25% mensuelles, environ 18% hebdomadaires ou annuelles) sont utiles pour gérer des questions personnelles, instaurer la confiance, échanger les points de vue et négocier. Les réunions entre équipes de travail (31% mensuelles) ou avec le management (27,5% toutes les semaines ou 25% un fois par mois) constituent également des rendez-vous essentiels. Du point de vue de la rapidité, l’intranet, qui permet un accès aisé aux informations et offre des possibilités de réactions, et les e-mail occupent des places de choix. Le papier n’est pas pour autant jeté à la poubelle: les newsletters ou le journal d’entreprise présentent bien les messages et sont distribués à tous, y compris ceux qui n’ont pas accès à un pc. En général, les entreprises utilisent conjointement plusieurs méthodes pour plus d’efficacité.

Enfin, soulignons que près de 47% des sociétés mesurent l’efficacité de leur communication, via un “audit” interne (évaluations, enquêtes, critiques, réunions, etc.).

mardi 15 juillet 2008

COACHING : je pense donc je suis????? (Descartes)

La peur contracte,
L'Amour (la connexion à soi, aux autres, au monde) dilate.


Nous sommes sans cesse traversés de mouvements dans notre conscience (pensées, émotions)
-> quelle capacité de créativité nous avons de nous mettre dans des états internes différents!!!! Nous n'arrêtons pas de jouer le rôle principal du film de notre vie !
-> mais aussi, qu'est-ce que je peux me limiter quand je m'identifie à mes pensées (surtout quand elles ne sont pas constructives pour moi, pour les autres et pour le monde) !!!

La majorités de nos peurs aujourd'hui sont engendrées par notre mental (fantasmes, chimères, croyances effrayantes...)
... L'important n'est pas de changer mais de s'ouvrir!!!! DE CHANGER DE REGARD ! Ce qui demande un véritable déconditionnement...

Finalement, ne sommes-nous pas venus là sur terre pour nous déconditionner???
Bettina de Pauw parlait de "vidange personnelle" plutôt que de "développement personnel"
;-)

vendredi 11 juillet 2008

COACHING : Amour et temps

Manque de temps = manque d'amour*

* manque d'amour de soi (ex: je ne vais pas bien, mais j'ai trop de boulot pour aller voir quelqu'un qui pourrait m'aider), manque d'amour des autres (ex: plus tard, plus tard, ma chérie, j'ai pas le temps: trop de boulot pour rentrer, tu comprends, ma chérie!), manque d'amour de quelque chose auquel on tient (ex : j'aimerai bien faire de la danse mais j'ai pas l'temps!)

A bien réfléchir..

mercredi 9 juillet 2008

IPhone et negociations politiques ou... pression (manipulation?) commerciale?

L'iPhone d'Apple arrive officiellement en Belgique vendredi. A des prix exorbitants : 525 (8Go) et 615 euros (16Go).


C
e téléphone va coûter très cher chez nous, en Belgique. Mais ce n'est pas la faute d'Apple, c'est la faute du législateur belge. » Pour le ministre des Télécoms, Vincent Van Quickenborne (Open-VLD), le lancement de l'iPhone illustre une fois de plus les conséquences de l'interdiction, en Belgique, de lier la vente d'un téléphone mobile à un abonnement. « Le consommateur est victime d'une législation qui ne permet pas assez de concurrence. Voyez l'iPhone aux Pays-Bas : il coûtera tout juste un euro car il sera lié à une formule d'abonnement de vingt-quatre mois. »

Une analyse que ne partage absolument pas Karine Lalieux. « Apple est extrêmement contrarié sur le marché belge par l'interdiction de la vente conjointe, lance la députée PS. Sa politique commerciale, partout dans le monde, est de signer des accords exclusifs avec des opérateurs mobiles.

Et c'est pour mettre la pression sur le pouvoir politique qu'il a décidé de punir le consommateur en plaçant très haut le prix de l'iPhone. (un peu dingue, ça!!!!!) Il faudra qu'un débat sur la question ait lieu au Parlement mais pas sous la dictée d'une multinationale américaine. » Selon Karine Lalieux, « toutes les études montrent que lorsque la vente d'un appareil est liée à la fourniture conjointe d'un service, le consommateur est toujours perdant et cela peut le conduire à acquérir des choses dont il n'a pas vraiment besoin »

extrait d'un article du Soir de ce jour...

mardi 8 juillet 2008

COACHING & DEPENDANCE - le gsm : une drogue nocive que l'on ignore????

L'effet dépendance du gsm...

Allo, allo, difficile de partir le matin sans.
Une journée sans gsm, un trajet sans gsm, et pour certains faire des courses sans gsm semble être devenu une grande aventure.

Il semblerait que gsm et blackberry nuisent aux négociations quotidiennes politiques (ex : formation avortée de l'orange bleue et difficulté de trouver un consensus dans le gouvernement actuel).
Le nouvel attirail du parfait communicateur facilite... les manipulations et le torpillage des discussions!!! Impossible désormais de se couper véritablement du monde extérieur pour forcer le compromis gouvernemental ou communautaire!!!! Plus de place à la confidentialité dans cette foire aux textos, e-mails et coups de fils discrets aux partis (ou aux journalistes!!!!!).

Nos politiques deviennent des "exaltés de l'immédiat" qui envoient compulsivement des sms (souvent) irréfléchis (on doit parfois ensuite essuyer les plâtres!!!). Sont-ils devenus incapables de prendre des décisions seuls ????

Ils ne sont pas les seuls!!! Le gsm est devenu l'outil indispensable pour une grande majorité d'adultes "branchés". Les "grands" enfants et les adolescents ne savent plus non plus s'en passer. Seuls Papy & Mamy semblent encore en réchapper - et encore!!

Le gsm, nouveau cordon ombilical auquel nombre d'entre nous se raccroche (désespérément) ?
Le gsm : une drogue d'aujourd'hui???

samedi 5 juillet 2008

Le COACH doit rendre le COACHE enthousiaste de faire des changements



"C'est un signe de médiocrité que d'être incapable d'enthousiasme" de Rochefoucault

"Le propre de la médiocrité est de se croire excellent" de Balsac

mercredi 2 juillet 2008

COACHING : Comment vérifier l'efficacité de mon expression???

Pour évaluer le succès de mon expression, il est utile de commencer par être à l'écoute des réactions de mon corps. Mes sensations m'aident à voir plus clairement mes émotions à la suite de cette expression.

A chacun de décoder par lui-même le sens de ses sensations, car on ne peut établir une "symbolique universelle" qui viserait à traduire l'expérience de tous.
Par exemple, la même sensation d'épuisement après une expression difficile et intense peut avoir un sens différent pour l'un ou pour l'autre. Ca peut être pour l'un le signe qu'il a réussi à maîtriser chacune des conditions de l'expression, et en éprouve une très grande satisfaction. Alors que pour l'autre, sa fatigue peut traduire un sentiment d'échec important. Il appartient donc à chacun à décoder le sens propre de sa sensation.

Une fois que j'ai fait cette première vérification générale à partir de mes sensations, je peux chercher à identifier de façon plus systématique ce qui a ou n'a pas bien fonctionné :
  • "Ai-je dit ce qui était important pour moi?"
  • "Ai-je respecté l'importance et l'intensité réelle de mon ressenti ?"
  • "Suis-je demeuré ouvert pendant mon expression?"
  • "Ai-je parlé à la bonne personne?"
La vérification du contenu de l'expression est particulièrement cruciale. Quand j'exprime ce qui est important pour moi, je me réfère à ce que je ressens et non pas simplement à dire des choses à l'autre sur ce qu'il dit et fait !!!! Attention au tu qui tue!!!!

lundi 30 juin 2008

COACHING : comment le dire ???

Quelque chose me dérange dans ma relation et je ne sais pas comment le dire... La relation s'en fait ressentir...

Le plus important, c'est d'être vraiment fidèle à ce que je ressens dans la façon dont je l'exprime, dans l'insistance que j'y apporte et dans les gestes que j'utilise. Ainsi, le ton avec lequel je m'exprime peut faire ressortir l'importance que j'accorde à mon expérience ou peut la dissimuler. Par exemple, même si j'arrive à dire les mots justes, mon message ne sera pas entendu et il ne sera pas satisfaisant si je m'exprime sur un ton neutre, comme si je parlais d'une chose anodine. Cette expression ne sera pas utile, car elle ne traduira pas adéquatement mon expérience réelle. Elle ne me permettra pas d'assumer vraiment ce que je vis.

Pour que mon expression soit épanouissante, il est aussi important de demeurer fidèle à ce que je ressentais au moment où j'ai décidé de parler, mais aussi d'être réceptive et ouverte aux nouvelles émotions qui apparaissent au fur et à mesure que je m'exprime, et que mon interlocuteur répond. Ça demande donc une disposition contraire à celle de la personne qui, devant une expression importante et difficile, prend son courage à deux mains, se durcit et "fonce" sur son interlocuteur.

Il est évidemment important d'avoir bien identifié au préalable les aspects importants de ce que je vis dans la situation: mes émotions et les insatisfactions en cause. Mais il est tout aussi important de demeurer ouvert au mouvement en cours entre mon interlocuteur et moi, pendant cette confrontation. Les réactions de mon interlocuteur vont nécessairement changer ma perception de la situation et ainsi influencer mon expérience émotive.

samedi 28 juin 2008

Exprimer : épanouissant ou nuisible???

Qu'est-ce qui fait qu'une expression peut parfois être épanouissante et nous permettre de nous assumer alors qu'à d'autres moments, nos expressions sont inutiles ou même nuisibles?

vendredi 27 juin 2008

INTELLIGENCE EMOTIONELLE & CNV : les bienfaits de l'"expression épanouissante"

Nous avons tous déjà constaté combien il peut être bienfaisant de s'exprimer. Ça permet d'accéder à un sentiment d'harmonie et de bien-être qui se manifeste même dans nos sensations physiques. Le poids que je sentais sur mes épaules est disparu. La compression que je ressentais à la gorge ou à la poitrine s'est dissoute comme par magie. Il est évident qu'une telle expression comporte en soi son propre bénéfice.

L'intelligence émotionnelle
estime qu'il est primordial d'être habile à reconnaître son expérience à travers ses sensations; il est important d'être attentif aux réactions de son corps, à ses points de tension. Être à l'écoute de ces sensations est important, car ce sont ces indices physiques qui nous donnent accès aux émotions qui y sont liées. C'est en me servant de ces données (sensations et émotions) que je peux identifier clairement mes besoins.

Par exemple: ce matin, avant de partir pour le travail, je remets un article que j'ai écrit à mon conjoint, et je lui dis que j'aimerais bien qu'il me fasse part de ses commentaires. En fin de journée, je reviens à la maison. Nous échangeons brièvement sur le "vécu" de la journée. Tout à coup je commence à me sentir triste et déçue, sans savoir à quoi je réagis. Je m'arrête pour ressentir ma tristesse et ma déception.

Assez rapidement je constate que cette tristesse a un sens précis: je suis déçue que mon conjoint ne me parle pas de mon article. J'imagine alors que ce n'est par très important pour lui. J'en suis bien déçue et peinée parce que je tiens à être reconnue et appréciée dans mon travail, particulièrement par lui.

Pour répondre adéquatement aux besoins que j'identifie il est essentiel de poser les actions adéquates. Dans l'exemple ci-dessus, il est très important d'identifier ma tristesse et ma déception. Cependant, si j'en reste là, ces émotions nuiront tôt ou tard à ma relation avec mon conjoint.

C'est ici que l'expression épanouissante prend tout son sens. Il s'agit d'une forme d'action privilégiée qui permet d'affirmer et de communiquer nos besoins et ainsi de parvenir à les satisfaire. Dans l'exemple ci- haut, il est bien important de faire part de mon besoin à mon conjoint. Mais ce n'est pas pour qu'il accepte de le prendre en charge. La raison principale de cette expression c'est que le fait d'en parler est déjà une façon d'y répondre en me donnant l'importance que je recherche. La CNV dit qu'un besoin entendu est à moitié satisfait!!!

Tenir compte de ce besoin en le prenant en charge complètement dans les différentes étapes de mon processus est une façon concrète de m'assumer. Lorsque je m'ouvre, je m'épanouis en me montrant totalement moi-même: à la fois vulnérable et affirmative de mes besoins. J'ose sortir de l'image protectrice que je m'étais bâtie pour me montrer authentique et vivre "au grand jour", en toute liberté!