dimanche 28 avril 2013

COACHING - Vivre pour travailler ou travailler pour se sentir vivant?

Le bonheur ; le bien le plus précieux dont nous disposons... qu'en faisons-nous?

"A poor person is not someone who has little, but one who needs infinitely more, and wish, and wish, more and more..."

Nous devons changer notre modèle de civilisation pour ne plus travailler au dépend du bonheur humain, mais pour celui-ci! A quoi cela rime-t-il de se laisser étrangler par le cycle infernal de l'hyper-consommation : mettre sur le marché des produits très vite obsolètes pour vendre plus, travailler toujours plus pour pouvoir s'offrir ces produits de consommation...


mercredi 24 avril 2013

BUSINESS COACHING & gestion du temps - travailler oui, mais être productif?

«Tout travail tend à se dilater pour remplir le temps disponible.»
– Cyril Northcote Parkinson

"Si tu travailles beaucoup, tu vas réussir et tu seras quelqu'un d'important"...
"C'est en consacrant beaucoup de temps à une tâche qu'on accomplit beaucoup"...
"C'est mieux de prendre un peu d’avance"...

Avez-vous remarqué que ce n’est pas toujours/souvent le cas (surtout avec Internet et toutes les autres technologies de pointe qui ont tendance à nous disperser, en plus de nous aider ;)) )? C’est parfois même le contraire! On cherche souvent à s'occuper sans être nécessairement productif. Parfois même, nous aurions pu accomplir la même chose trois fois plus vite.

D’une certaine façon, ce n’est pas le temps que l’on a à notre disposition qui détermine nos résultats, mais notre niveau d’énergie. Et souvent, le fait d’avoir relativement peu de temps pour accomplir une chose nous rend justement plus vifs, plus "to the point". C’est comme si notre énergie était intensifiée et mieux canalisée, sachant qu’avec de tels délais, on n'a plus beaucoup de temps de tergiverser, se questionner, douter, pinailler sur des détails.

Selon la Loi de Pareto, nous passons 20% de notre temps pour atteindre 80% de résultats, et puis nous passons les 80% du temps restant pour ajouter 20% d'améliorations supplémentaires (qui ne font pas nécessairement la différence).


... pourquoi ne pas changer notre manière de faire, de nous organiser?
Plutôt que de nous culpabiliser parce que nous n’utilisons pas notre temps efficacement, peut-être pourrions-nous nous donner simplement des délais un peu plus serrés, et profiter pleinement du temps qu’il nous reste à côté. Peut-être pourrions-nous lâcher sur notre perfectionnisme dans les détails qui est contre-productif et si énergivore! Peut-être pourrions-nous être davantage vigilants à tous les 'pièges à temps' qu'offrent nos outils de travail?

Une bonne nouvelle pour tout ceux qui ont tendance à tout faire à la dernière minute!! Accepter enfin que ce soit le cas, plutôt que de se juger et de passer des heures à faire plus ou moins semblant de travailler. Ce qui n'est pas une mince affaire, dans notre monde qui valorise et donne de l'importance aux personnes affairées, voire submergées de travail!!!

A nous de choisir : entre consacrer notre énergie et notre liberté à construire une image valorisante au yeux d'une majeure partie de la société capitaliste, ou bien assumer le fait que l'on veut se sentir vivant et répartir de manière plus juste les temps de travail avec "les autres temps de vie"...

:)))

vendredi 19 avril 2013

PNL & COACHING - la réflexion et l'introspection comme outils de développement personnel



A certains moments de notre vie, nous pouvons ressentir de l'irritation, de la frustration, de l'envie, de la haine, de la jalousie, de la peur, des doutes, de l'humiliation, de la honte, des remords... Difficile d'accueillir tout cela et en même temps de "garder bonne figure".

Oser voir ce qui se passe à l'intérieur de nous, écouter "cette petite voix" qui parle de toutes ces émotions ou ressentis, mettre des mots sur ce qui se vit, c'est aller à la rencontre de soi pour pouvoir poser ses limites et faire des choix ajustés.

Pourtant, généralement, on cherche tout ce qui pourrait nous distraire de nous écouter (et les occasions ne manquent pas!!!! :). On compense, on raisonne nos contrariétés et nos frustrations pour fuir ce que l'on ressent profondément et surtout ne rien changer à ce que l'on connait, même si cela ne nous convient pas!!
C'est vrai, s'y confronter engendre une peur et peut être douloureux : la peur et la douleur de s'écouter s'additionne d'une peur de changer qui entraîne une peur de l'inconnu. 

Mais néanmoins, rien ne devrait être fait pour éviter cette souffrance, pour y échapper... car c'est un véritable acte de déni de nous-même, un manque de courage et d'amour envers Soi!
 

Cette souffrance, cette douleur sont simplement le signe qu'on peut "s'offrir une nouvelle naissance", elle nous encourage à faire une prise de conscience pour croître.


Comprendre pourquoi cette douleur est là aide à traverser consciemment le malaise et à en sortir plus facilement et plus tôt.

Nous ne risquons pas de mourir de cette douleur, car cette douleur ne cherche qu'à réduire l'asservissement, la prise de pouvoir de notre Ego sur nous-mêmes. Cette douleur est là pour nous forcer à remettre de l'ordre dans la situation dans laquelle on s'est mis(e) en suivant notre Ego, parfois tyrannique avec tout ce qu'il convoite et se raconte. 

Et au plus vite on entend et on écoute cette douleur (qui n'est qu'un malaise au départ), au moins on se perd. Au plus on résiste et persiste à ne mettre en œuvre aucun ajustement concret, au plus le malaise va s'intensifier voire se transformer en violence ou en maladie.  

L'introspection, écouter ce qui se passe à l'intérieur de nous-mêmes est un apprentissage à la disposition de chacun d'entre nous!!!

Le problème, c'est que nous confondons l'Ego avec nous-mêmes. 

Nous confondons identité (le Soi) avec personnalité ou image de Soi (l'Ego). Notre identité n'a pas besoin d'être reconnue, validée, légitimée pour exister!!! Mais nous sommes tellement persuadés qu'il faut mériter le droit d'exister! Persuadé(e)s que l'identité = la personnalité, nous faisons tout pour qu'elle soit remarquable, et au plus elle sera remarquable, au plus on aura le sentiment d'exister! 

Bref! Étant donné que nous nous sommes tellement identifié(e) à notre Ego, on existe, on s'exprime à travers lui et on le protège! En étant son meilleur ambassadeur, nous nous identifions à ses idées, ses croyances, ses pensées et ses schèmes de comportements, parfois limitant, figeant ou bloquant (ex : je suis nul(le), personne ne m'aime, je ne vaux rien, tout le monde me rejette...). Nous nous mettons la pression pour y obéir le mieux possible, quitte à être déconnecté de Soi. Jusqu'au moment où le malaise, cette douleur de déconnexion de Soi est telle qu'on n'arrive plus à nourrir ce "Faux-Soi" qu'est l'Ego. 

Parfois hélas, il arrive qu'une personne soit tellement déconnectée d'elle-même (tellement asservie par un Ego destructeur ou tyrannique) qu'elle ne sait plus que son identité (son Soi) est resté(e) intacte, et le suicide devient alors la seule stratégie pour détruire le Faux-Soi (l'image de Soi, la personnalité)... 

Accueillons nos malaises, écoutons ce que dit la "petite voix" à l'intérieure de nous : tout ce qui est faux et qui occupe le trône doit être détrôné :). me si ce faux qui doit disparaître est quelque chose dans lequel on a tellement investi et que tous nos espoirs s'y accrochent. Bien sur, lorsque le faux commence à se dissoudre, on ressent des doutes : "Je détruis ma vie, toute la structure".

La peur sera là, mais nous devons passer par cette peur.  
L'on devient sans peur seulement lorsque l'on a traversé la peur la plus profonde d'entre toute : celle de la dissolution de l'Ego, de l'image de Soi, de la personnalité.
 
C'est une petite mort parce qu'on ne sait pas quelle nouvelle vie va en émerger. Nous pouvons nous retrouver à nu, tous les rôles et les artifices sont emportés. 

Durant ce processus la peur peut-être là, mais cette peur est basique, nécessaire et inévitable, libératrice, l'on doit la traverser. 

Permettons à ce qui est là de se produire, cela s'en ira de lui-même. Accueillons, accompagnons ce qui se vit en nous, n'essayons pas de l'éviter ou de le réprimer. Chaque évasion nous ramène de nouveau en arrière, sous le joug de l'Ego.
Il n'y a rien à faire. Si des tremblements se produisent, tremblons. Si une peur intérieure est là et que nous tremblons avec elle, tremblons avec elle, permettons-lui simplement d'être, et en la laissant être, elle nous quittera et lorsqu'elle sera partie, nous serons tout différent, plus connecté(e) à nous-mêmes.

mardi 16 avril 2013

COACHING - développer sa créativité pour transformer les situations...

«La créativité peut résoudre presque n'importe quel problème. L'acte créatif, la victoire de l'originalité sur l’habitude, surmonte tout.»
– George Lois

> Lorsque l'on est forcé(e) de faire quelque chose qui ne nous fait pas (vraiment) plaisir, on a le sentiment d'être pris(e) en otage dans cette contrainte! :))
Une bonne manière de sortir de ce sentiment : changer la donne! Accueillir la situation (obligatoire) avec créativité, la transformer en s'investissant pour y ajouter quelque chose qui nous fasse plaisir >>> alors on ne subit plus la situation! :)

mercredi 10 avril 2013

COACHING - Apprendre les codes d'un système = la première étape pour en faire partie...

Se sentir intégré est essentiel pour développer un sentiment d'appartenance, pour stimuler notre sens des responsabilités, nous pousser à offrir tout notre potentiel pour participer au bon fonctionnement du milieu dans lequel on est, qu'il s'agisse d'une famille, d'une culture, d'un pays, d'une entreprise ou de tout autre "système collectif"...

L'immigration pose régulièrement la question d'intégration-immigration...
Nous pouvons y trouver quelques pistes pour comprendre la problématique de l'intégration, et les transposer dans d'autres domaines collectifs...

Ancien ingénieur d'affaires et de recrutement de cadres de PME, aujourd'hui membre du Haut Conseil à l'intégration, Malika Sorel a passé ses dix premières années en France, avant de suivre ses parents en Algérie où elle suit sa scolarité. Après avoir terminé l'école polytechnique d'Alger, elle revient en France, où elle suit le troisième cycle de Sciences po.

En 2007, elle publie : "Le Puzzle de l'intégration et les Pièces qui vous manquent" (Mille et une nuits). Elle y explique que la question de l'immigration-intégration doit être traitée globalement et non plus de façon sectorielle, qu'il faut cesser d'octroyer la nationalité française à des personnes qui ne sont pas prêtes, psychologiquement et moralement, à l'assumer, et s'appliquer, en revanche, à faire respecter la loi française par tous, sans exception.

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Pourquoi avez-vous écrit ce livre ?
Les émeutes de 2005 m'ont poussée à écrire ce livre parce que je me sentais responsable de n'avoir, alors, rien dit. Les Français, quand ils osent s'exprimer, on leur fait un procès en racisme ou en xénophobie alors qu'ils veulent simplement préserver leur identité. Mes origines me permettaient peut-être, de dire que la véritable victime de l'immigration est le peuple français.
L'intégration exige une capacité de communication, une ouverture psychologique et morale des 2 parties... 

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Vous parlez beaucoup du rôle délétère de la « repentance ». Non seulement pour les Français, mais pour les immigrés eux-mêmes.
Le rôle des élites françaises a toujours été déterminant dans l'instrumentalisation de l'histoire. La décolonisation a traumatisé tout le monde, soit ! Mais il devrait tout de même être possible, cinquante ans après des drames partagés, de traiter sereinement du passé, avec ses ombres et ses lumières, au lieu de renier son histoire en se laissant enfermer dans la dialectique culpabilisation - victimisation.
Or, c'est malheureusement ce qui se passe. Le discours dominant ne parle que des « horreurs » de la colonisation , et plus personne n'écoute le peuple français, qui est pourtant le plus légitime pour parler objectivement des problèmes engendrés par l'immigration.
De surcroît, transformer les Français de souche en bourreaux, n'a fait qu'injecter le poison de la haine dans le cœur des enfants issus de l'immigration..
La France fait beaucoup pour les immigrés et leurs descendants, et ceux-ci ont encore énormément à faire pour se rapprocher des Français de souche européenne, en particulier les Maghrébins et les Africains dont la culture reste très éloignée de celle de leur pays d'accueil. Il aurait fallu d'emblée être ferme et affirmer que nos valeurs fondamentales ne changeraient pas. On a fait l'inverse. Dans ces conditions, il est naturel qu'ils développent de moins en moins d'efforts pour respecter les normes collectives françaises. Ils sont convaincus que celles-ci vont changer pour s'adapter à eux.
Stop à la dialectique "si facile" de culpabilisation-victimisation qui désigne nécessairement des bourreaux!


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Pourquoi l'idée de « discrimination positive » est-elle dangereuse à vos yeux ?
Parce que c'est une escroquerie. L'intégration n'est pas un ascenseur automatique, mais un parcours semé d'obstacles ! L'idée que l'on puisse progresser dans la société de manière passive est absurde. C'est un engagement sur plusieurs générations, la famille entière doit s'engager autour du projet éducatif. Aujourd'hui, beaucoup d'élèves ne font plus rien. Il faut arrêter de les bercer de mensonges ! Pour réussir, il faut se prendre en main.
Et puis la « discrimination positive » est injurieuse pour les immigrés eux-mêmes : on part du principe que les gens issus de l'immigration n'y arriveront pas seuls parce que les Français les détesteraient. C'est zéro pointé sur toute la ligne. Quand vous travaillez dans une équipe, il faut acquérir sa légitimité auprès des autres. Si vous n'avez pas respecté le même processus de sélection, c'est impossible. Pour devenir légitimes, les personnes issues de l'immigration doivent se plier aux mêmes exigences que les autres.

L'intégration demande un engagement actif : notamment se plier au exigences du système auquel on veut adhérer.

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Vous êtes également très sévère avec la Halde !
Elle joue un rôle d'exaspération et de crispation entre les groupes. Elle passe le plus clair de son temps à exacerber les tensions en disant que les gens issus de l'immigration sont victimes de notre société, alors que c'est l'ignorance des codes sociaux et culturels qui empêche les jeunes d'être recrutés. Cela avait été parfaitement mis en évidence par l'analyse d'entretiens d'embauche auxquels la sociologue Jacqueline Costa-Lascoux avait assisté. Le fait qu'on accepte d'eux ce qu'on n'accepterait jamais des autres ne fait que les enfermer dans leurs propres codes culturels.
J'ajoute que je prends comme une bonne nouvelle la mise sous tutelle de la Halde. Mais il faut, à terme, qu'elle disparaisse. Le système judiciaire français est là pour traiter des vraies affaires de discrimination. On n'a nul besoin d'une institution qui participe, vraisemblablement sans le vouloir, à dresser les gens les uns contre les autres.

L'intégration demande d'intégrer et de respecter les codes culturels et sociaux du système si on veut pouvoir en faire partie.

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Qu'opposer, alors, aux doctrines que vous dénoncez ?
Rien d'autre que le modèle d'intégration républicain qui fonctionnait très bien! On doit accueillir les gens dans la communauté française et non l'inverse. Ils doivent respecter le système français. Si on avait fait ça, on aurait suscité le désir d'intégration. Mais comment y parvenir quand on injecte 200 000 nouveaux entrants par an dans une société déjà en proie à des difficultés majeures ? C'est irresponsable, grave et fondamentalement dangereux.
Il est évident que là réside le défi des prochaines années : si l'on continue comme aujourd'hui, nous irons vers des troubles majeurs. Trop de gens arrivés récemment n'éprouvent plus le besoin de respecter la loi de la République, et reconstituent leurs sociétés d'origine sur le territoire français. Si rien n'est fait pour y mettre un terme, la pression va devenir rapidement intenable. 

Au plus les codes et règles d'un système sont clairs et explicites, au plus l'intégration est facilitée. C'est au système qu'appartient la responsabilité de créer son référentiel et de le faire valoir.

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Quelles pressions, justement, exercent ces sociétés reconstituées ?
Dans les cultures maghrébines et africaines, le groupe prend possession de l'individu. Or, plus la société est déstructurée et permet des accommodements, plus les membres des groupes mieux structurés sont tentés de bafouer les règles françaises, qu'on peut défier à moindre risque. La culture de l'école de la République que les enfants ramènent à la maison est aussitôt rejetée parce qu'elle ne correspond pas aux normes culturelles d'origine.
Le racisme anti-blanc est une réalité. L'insulte suprême utilisée, c'est "céfranc ". Les professeurs nous le disent: être sérieux en cours, c'est déjà, pour certains, vouloir devenir français : une honte, car assimilé à une traîtrise. Les bons élèves sont, de ce fait, de plus en plus soumis à des pressions par les enfants issus de la même origine culturelle. Le fait que les institutions françaises, la police et l'école soient attaquées n'est évidemment pas anodin. Or, on continue à excuser les auteurs de ces attaques, à les déresponsabiliser en invoquant leurs conditions sociales.
Ces mêmes populations, avec des conditions sociales nettement inférieures, ne se comportent pas ainsi dans leur pays d'origine. C'est bien la preuve que l'attitude de notre société a joué un rôle déterminant dans l'apparition des problèmes que nous connaissons.

Difficile (impossible?) de s'intégrer dans un système que l'on tente de détourner, bafouer, défier...

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Vous accusez le droit du sol. Pourquoi ?
Devenir français est un processus qui doit être personnel, car il faut être prêt à assumer d'inscrire ses propres descendants dans un nouvel arbre généalogique qui n'est pas celui de ses ascendants biologiques et culturels. Il y a là, une véritable rupture, très difficile à assumer. C'est pourquoi, aujourd'hui, pour une multitude de raisons, peu de gens ont le désir de devenir français. Ils prennent les papiers parce qu'ils savent que c'est le sésame avec lequel ils n'auront plus jamais faim. Ils sont honnêtes et l'avouent : - " je ne suis pas français, j'ai juste les papiers ! " C'est la classe politique, dans son ensemble, qui ment et occulte ce que signifie l'identité française.
La communauté française reste pour l'instant silencieuse, car elle est bâillonnée, mais, comme dans tous les pays du monde, elle n'est pas prête à accepter comme françaises des populations étrangères à son identité. Il y a aujourd'hui, en France, une négation fondamentale du droit des Français à être français. 

Bien choisir le système auquel on veut s'intégrer, s'identifier est un choix moral et intime personnel conséquent. Est-ce que j'adhère vraiment aux valeurs qu'il porte?

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Quelle distinction faites-vous entre insertion et intégration ?
L'intégration, c'est le fait d'assumer l'héritage du peuple français, de porter soi-même les valeurs et les principes des Français, de les transmettre à ses propres enfants. Il y a une forte dimension affective et morale. On ne peut pas exiger cette étape, elle est trop personnelle, trop intime. En revanche, l'insertion est absolument non négociable, c'est le respect des règles et lois de la société. Nombre de ces règles sont tacites. Elles ne sont pas nécessairement inscrites dans des lois. L'insertion dans la société française constitue une étape indispensable avant l'intégration dans la communauté nationale française. C'est ce que ne respecte pas le droit du sol.
L'intégration = porter soi-même les valeurs et les principes du système auquel on veut adhérer.

L'insertion = non négociable: respect des lois du système dans lequel on vit, sans nécessairement en porter les valeurs et les principes.
 
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L'une des plus grandes erreurs a été, selon vous, de dégrader l'apprentissage de la langue et de la culture française. Pourquoi ?
L'école de la République a un savoir à transmettre, qui crée un référentiel commun à tous les enfants. La langue est un passeport culturel pour naviguer dans la société française. On les a empêchés de pouvoir le faire en revoyant nos exigences sans cesse à la baisse. Pis, l'école s'est mise à verser dans le relativisme culturel, et même à leur transmettre des éléments de leur référentiel culturel alors que, c'est bien la seule chose que leurs familles leur transmettent.
Aimer une langue est un tremplin pour aimer un peuple. Au travers de la langue, des textes de littérature et aussi des contes et des chansons enfantines , c'est bien la culture qui est transmise. Aujourd'hui, dans les rues, dans les cours d'école, on ne parle plus français. C'est un signe, sans équivoque, du réel refus d'intégration. Sans compter qu'un enfant qui ne peut s'exprimer et se faire comprendre du fait de la pauvreté de son langage a une plus grande propension à devenir violent. Commençons donc par accentuer l'effort sur la maternelle et sur les premières classes de l'école primaire, en réduisant les effectifs par classe et en mettant l'accent sur la transmission de la langue. Revoyons aussi le circuit des allocations. Il faut impérativement que cet argent aille, en priorité, au projet éducatif, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. A chaque rentrée scolaire, au lieu de remettre aux parents un chèque qui, souvent, sera envoyé dans le pays d'origine, donnons un cartable, des cahiers et des livres directement à l'enfant.

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Que pensez-vous de la déchéance de nationalité ?
Il faut la mettre en place, et il faut cesser de donner la nationalité française à tout le monde. Les gens qui risquent aujourd'hui la déchéance de nationalité n'auraient jamais dû l'obtenir. Il faut vraiment que les politiques s'occupent de toutes ces questions très rapidement. Beaucoup, parmi eux, sont habités par la peur car les populations de l'immigration leur apparaissent comme ayant facilement recours à la violence. Il va pourtant falloir avoir le courage de traiter toutes les dimensions de ce sujet. C'est dans l'intérêt de tous. Notre société est chaque jour plus déstabilisée. C'est la cohésion nationale qui est désormais en jeu ! Tout accepter met la France par terre ! Et, si nos dirigeants acceptent que l'Education Nationale enseigne l'arabe dans nos écoles comme certains de nos politiciens le demandent, la France sera foutue et disparaitra sous la domination de l'islamisme !!!

Intégration et insertion rime avec cohésion...

mardi 9 avril 2013

COACHING : développer son intelligence relationnelle


L'intelligence relationnelle, ça s'apprend! :)
On a des tas de mauvaises habitudes relationnelles à lâcher!!! Jean-Jacques Crèvecœur, dans sa première vidéo, en cite 10 qui peuvent faire la différence dans nos relations! :)))

Synopsis de sa vidéo :

Habitude # 1 : Attendre sans exprimer
Attendre implicitement que l’autre me comprenne d’un seul regard. Lâchons le syndrome du prince et de la princesse charmante, qui nous fait croire que celui/celle qui nous aime devine obligatoirement ce dont j’ai besoin ou ce dont j’ai envie. Même attentif, l'autre ne peut se transformer en télépathe en puissance!!! "Les attentes sont des attentats"!
Conseil : prenez conscience de vos attentes, clarifiez vos besoins et explicitez à l’autre vos attentes et vos besoins.

Habitude # 2 : Prendre ses interprétations, ses présuppositions pour la réalité
Agir en fonction de l'interprétation que l'on fait des non-dits de l’autre, de ses sous-entendus (y compris quand il n'y en a aucun!!!), sans même vérifier - ou légitimer l'autre pour vérifier - que nos interprétations sont justes auprès de cette personne. Conséquence : nous ne sommes pas vraiment en relation avec l'autre mais en relation avec nos interprétations de l'autre!!!! Et nous ne lui laissons aucune place pour nous expliciter ses ressentis et ses besoins...
Conseil : demandez clairement à l’autre son avis, ce qu’il attend de vous, ce qu’il veut dire.

Habitude # 3 : Se raisonner, aborder la relation essentiellement par le mental
Et oui! Contre toute attente, il n'est pas toujours bon de se raisonner!!!! Se raisonner, se faire une raison (parce que notre mental nous dit que nous en avons l'intérêt) plutôt qu’écouter son ressenti, son malaise qui nous indique, à coup sûr, que quelque chose ne fonctionne pas/plus dans notre vie relationnelle, qu'il y a quelque chose à ajuster. Cette habitude héritée de notre éducation nous fait perdre confiance en notre ressenti, en nos intuitions. Nous payons parfois un prix très cher les conséquences d'une relation "raisonnable".
Conseil : prenez soin et faites confiance en votre ressenti, en toutes circonstances.

Habitude # 4 : Accepter des choses qui ne sont pas bonnes pour nous
Attention aux concessions qui nous coûtent trop!!! Attention de ne pas faire des concessions inacceptables sur nos besoins fondamentaux, pour éviter des conflits et/ou rester dans la relation. En ne confondant pas, évidemment, nos besoins avec nos désirs, nos attentes ou nos caprices !
Conseil : soyez ferme sur le respect de vos besoins, mais souple dans la manière de les satisfaire.

Habitude # 5 : Savoir ce qui est bon pour l'autre
Combien de fois nous sommes persuadés de savoir mieux que l'autre ce qui est bon pour lui, ce sont il a besoin? Alors que c'est impossible! Nous ne sommes pas dans la peau de l'autre, nous ne savons pas exactement où il en est, ce qu'il vit, ce qu'il ressent, ce qui est possible ou non pour lui à cet instant! Rendre en charge la réalité et les besoins de l’autre (sans qu’il n’ait à exprimer de demande) a pour conséquence de mettre en place une relation de dépendance toxique, dans les deux sens...
Conseil : prenez 0 % la responsabilité de la réalité de l’autre. Par contre, prenez bien soin de sa réalité quand elle est exprimée, ainsi que de la vôtre.

Habitude # 6 : Éviter le conflit
Éviter les confrontations, de peur de rompre ou de déplaire finit toujours par poser problème. Car la confrontation, c’est mettre nos fronts ensemble dans une volonté de construire la relation, tout en regardant et en respectant les limites de chacun.
Conseil : osez les confrontations respectueuses.

Habitude # 7 : Accuser l'autre
Utiliser le "tu qui tue", voir la paille dans l’œil de son voisin plutôt que (la paille ou) la poutre dans le sien... Il est tellement plus confortable pour notre Ego d'accuser l’autre d’être entièrement responsable de la dégradation des relations. Or s'il y a une difficulté dans la relation, c'est que chacune des parties est concernée, soit par manque d'ajustement, par erreur ou maladresse, voire par incompatibilité. Chaque conflit est une opportunité de se rejoindre davantage (soi et/ou l'autre).
Conseil : discernez votre part de responsabilité et celle de l’autre.

Habitude # 8 :Manquer de courage face au changement
Manquer de courage, de persévérance, de réalisme, de discernement, croire qu’il existe une solution miracle pour sortir rapidement de nos problèmes relationnels. Chercher la phrase magique, la formule magique, le processus magique. Rêver qu’on peut tout recommencer comme avant, alors que c’est justement cela qui nous a amené là où l’on en est.
Conseil : acceptez d’investir du temps, de la patience et de la conscience pour mettre en place le changement.

Habitude # 9 : S'illusionner, patienter sans discernement
Croire que le temps va arranger les choses, qu'un jour cela ira mieux, que ça va changer... Prendre sur soi toute la responsabilité de la qualité de la relation en s'illusionnant qu'un jour, l'autre prendra enfin sa part... Or, le temps ne guérit jamais ni la qualité de la relation, ni nos blessures à notre place.
Conseil : posez les actes nécessaires pour régler avec conscience vos affaires non terminées et pour guérir vos blessures relationnelles.

Habitude # 10 : Répéter, ne pas tirer de leçon
C'est peut-être bien la pire de nos mauvaises habitudes relationnelles : répéter les mêmes erreurs parce qu’on ne tire pas les enseignements des événements que l’on vit. Du coup, on reproduit les mêmes schémas comportementaux avec les mêmes personnes ou avec des personnes différentes.
Conseil : tirez les enseignements de ce qui vous arrive, des échecs et des erreurs afin de découvrir la pépite d’or cachée au cœur de votre fumier relationnel.

Inspiré de Jean-Jacques Crèvecœur
Accoucheur du potentiel humain et catalyseur des changements durables
Blog : http://creer-une-meilleure-vie.com
École en ligne : http://academie-du-pouvoir.com
Boutique en ligne : http://boutiquejjcrevecoeur.com

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jeudi 4 avril 2013

COACHING : A la recherche de Soi

A la recherche de Soi...
"Une chance que nous ne pouvons pas toujours compter sur le soutien des autres… car apprendrions-nous vraiment à nous tenir debout si nous n’étions jamais obligés de le faire? Une chance que leur opinion de nous est souvent plus ou moins juste, et fluctuante… sinon, nous pourrions décider de nous fier à cette dernière. Une chance que nous sommes occasionnellement jugés, ou rejetés… Car sinon, prendrions-nous vraiment la peine de rencontrer cette partie de nous que la critique ne peut ébranler?

Oui, une chance. Car parfois être privé de ce qu’on veut le plus au monde est la meilleure façon de le trouver… :-)

Passez une belle journée!"
(Extrait de Matin Magique)