lundi 21 septembre 2009

vendredi 18 septembre 2009

Time Management... et conseils de coaching (2)

  1. Limitez le nombre de post-its; ils se perdent facilement. De plus, après un certain temps, vous perdrez du temps à interpréter ce qui se trouvait dessus.
  2. Notez tous vos rendez-vous directement dans votre agenda. Marquez la date et l'heure du rendez-vous, l'adresse et le numéro de téléphone. Prenez l'habitude de toujours emporter votre agenda.

  3. Ne placez sur votre bureau que les choses auxquelles vous travaillez. Dans votre armoire devraient se trouver les compte-rendus des réunions passées ou les documents de dossiers à modifier dans le futur.

  4. Un bureau en désordre est le reflet d'un esprit mal stucturé. Vous ne vous en rendez peut-être pas compte, mais vos collègues et les personnes extérieures le remarquent.

  5. Faites, chaque jour, un peu de classement. Vous éviterez que des documents inutiles ne s'amoncellent.

  6. Consultez votre courrier tous les jours. Rangez les documents selon leur urgence ou jetez-les si vous n'en avez plus besoin.

  7. Appliquez un système de classement au lieu de déposer vos documents n'importe où. Votre recherche en sera plus efficace.

  8. Un document qui vous semble inutile aujourd'hui, le sera encore probablement demain. Osez jeter au lieu de tout classer inutilement.

mercredi 16 septembre 2009

Time Management... et conseils de coaching

Quelques conseils de coach pour augmenter votre efficacité :
  1. Rédigez chaque jour une liste de "To do": vous éviterez ainsi de gaspiller du temps à mémoriser les tâches à effectuer.

  2. Evitez de faire 2 ou 3 choses à la fois. Vous perdrez trop de temps en passant d'une chose à l'autre et en reprenant le travail interrompu.

  3. Soyez réaliste en fixant vos deadlines et ceux de vos collègues. Un deadline doit stimuler et non stresser.

  4. Simplifiez-vous la vie. Devez-vous vraiment lire le journal de A à Z chaque jour? Devez-vous assister à toutes les réunions du département Marketing?

  5. Osez prendre congé et vous détendre. N'oubliez pas que les vacances de travail sont une contradictio in terminis.

  6. Instaurez des moments de réflexion afin d'élaborer des idées ou de mettre de l'ordre dans vos pensées.

  7. Afin de ne pas prolonger une discussion de façon inutile, évitez de poser des questions ouvertes.

  8. Faites les choses que vous aimez le moins lorsque vous êtes de bonne humeur, surtout pas quand vous êtes fatigué.

  9. Essayez d'arriver à temps à vos réunions, rendez-vous,... Vous éviterez de perdre du temps à attendre.

  10. Déléguez certaines tâches afin de récupérer du temps.

  11. En tant que manager, des piles de lecture vous attendent. Certaines techniques de lecture (lecture rapide, lecture diagonale, screening,...) peuvent vous faire gagner du temps.

  12. Même si vous vous entendez bien avec vos collègues, il y a des moments où vous ne souhaitez tout simplement pas être dérangé. Fermez la porte ou, si vous vous trouvez dans un espace de travail ouvert, faites comprendre à vos collègues que vous êtes occupé: évitez de leur adresser la parole; évitez d'échanger des regards. Si vous n'arrivez toujours pas à travailler en paix, dites-le tout simplement à vos collègues.

lundi 14 septembre 2009

Time Management... une clé de coaching pour gagner du temps


Les éléments essentiels d'un planning bien élaboré

Un bon planning doit répondre aux questions suivantes:

  1. Où en sommes-nous? Il convient de partir de la situation actuelle.

  2. Quels sont les objectifs à atteindre? Définissez les objectifs du projet.

  3. Comment réaliser les objectifs définis? La réponse à cette question est une énumération des tâches à exécuter. Lorsque vous savez ce qui doit être atteint, vous savez aussi sur quoi vous devez vous focaliser et quelles sont les choses de moindre importance.

  4. De quoi avons-nous besoin pour y arriver? Dressez un aperçu détaillé des frais et du matériel nécessaire (aussi bien sur le plan humain que sur le plan logistique) à l'achèvement du projet.

  5. Quels aspects méritent notre attention? Attention, tous les facteurs doivent entrer en ligne de compte, même ceux qui peuvent faire échouer le projet.

  6. Existe-il plusieurs approches? La réponse à cette question vous donnera une idée des différentes options.

  7. Une fois le projet réalisé, quelles en seront les conséquences? La réponse à cette question vous éclairera sur l'impact du projet sur votre entreprise et vos collègues.

  8. L'objectif est-il proportionnel aux efforts déployés? Evaluez si les efforts, les frais et l'impact en valent la peine.

  9. Comment contrôler le bon déroulement projet? Déterminez les mécanismes de contrôle indispensables au bon déroulement du projet (bulletins, contrôle de qualité, contrôle des frais)
Pourquoi le planning est-il si souvent dédaigné?

Un bon planning sert à produire de meilleurs résultats. Sur ce point, tout le monde est d'accord. Le problème est que le planning fait souvent défaut. Quelles en sont les raisons?

  1. La culture de l'entreprise: l'élaboration d'un planning est souvent considérée comme une perte de temps. Or, le temps, c'est de l'argent...

  2. La structure de récompenses au sein d'une entreprise: certaines entreprises trouvent évident qu'un projet soit mené à bien et n'accordent pas d'attention supplémentaire à un tel succès. En revanche, les échecs sont très mal acceptés. L'effet pervers d'une telle approche est que les employés auront tendance à rester passifs plutôt que de s'engager dans un projet qui pourrait échouer.

  3. 'Fire-fighting': imaginez un pompier qui, jour et nuit, ne fait qu'éteindre des incendies au lieu de prendre le temps d'appliquer les mesures de prévention. Il arrive qu'une entreprise soit tellement occupée à corriger certaines situations ou que sa gestion demande tant de travail qu'elle n'a pas le temps d'établir un planning.

  4. Les facteurs individuels: apparemment, l'utilité d'un planning n'est pas toujours claire. Certains employés préfèrent ne pas changer leur mode de travail en établissant un planning. Ils estiment qu'ils n'en ont pas besoin, puisqu'ils ont déjà mené différentes tâches à bonne fin. D'autres ne savent pas comment élaborer un planning...

dimanche 13 septembre 2009

Week-end de Constellations Systémiques et de Kinésiologie

Week-end de Constellations Systémiques et de Kinésiologie les 2, 3 & 4 octobre 2009, animé par Hélène Huberty

Atelier : L'Argent
Argent gagné, argent reçu, manque d'argent, argent "sale"...
Un week-end pour identifier et transformer notre perception et attitude face à l'argent .
Un week-end pour aller voir quel est l'héritage systémique que nous avons reçu autour de la question de l'argent.

La méthode des constellations est une technique thérapeutique de groupe. Elle consiste à rechercher de quelle façon le système familial d’une personne (ou son système social plus large) l’influence dans ses comportements ou dans ses ressentis et ce, souvent à son insu.

Durant ce week-end nous travaillerons sur toutes ces différentes transformations qu’un éclairage de notre système pourrait débloquer et nous ancrerons nos nouveaux comportements grâce à l'outil de kinésiologie, autre technique évolutive. Nous ressentirons également ces nouvelles perceptions dans notre corps à l'aide d'exercices corporels.

Horaire: vendredi 20 de 19h à 21H30, samedi 21 et dimanche 22 novembre de 9h30 à 17h-17h30. Lieu: Centre Manolaya. Drève de Colipain 161. 1420 Braine L'Alleud. À +/- 25 minutes de Bruxelles - accès aisé. Cette journée est animée par : Hélène Huberty, formée en kinésiologie à l'IBK et à la méthode des constellations familiales par Alfred Ramoda Austermann. Membre de la cofasy. Cet atelier est ouvert à toute personne soucieuse de travailler une problématique personnelle au sein enrichissant d'un groupe. Prix : 200€ - L’inscription peut se faire par téléphone au 0477/373252 - Le solde peut-être soit réglé le jour même ou versé sur le compte n°068-2337702-29

lundi 7 septembre 2009

INTELLIGENCE EMOTIONNELLE : La COLERE - une émotion nécessaire mais à ne pas nourrir ;-)


Kaelou 1, 2, 3 Je te saigne ! - Insolite

La colère est un émotion simple qui traduit l'insatisfaction. Elle est vécue à l'égard de ce qu'on identifie, à tort ou à raison, comme étant "responsable" de notre frustration. On éprouve donc de la colère envers "l'obstacle" à notre satisfaction. C'est sur cet aspect que la colère se différencie fondamentalement de la tristesse (qui elle aussi traduit une frustration). Dans la tristesse, on est directement en contact avec le manque lui-même, alors que la colère est une réaction à la cause de la frustration.

La colère est une émotion que nous vivons fréquemment. En effet, il y a de multiples occasions d'insatisfaction durant une journée de vie. De plus certaines d'entre elles perdurent parce que nous négligeons de nous en occuper adéquatement.

Selon l'importance de l'insatisfaction , la colère prend différentes intensités et diverses identités. Pour n'en nommer que quelques-uns, disons que le mécontentement et l'irritation se situent à une extrémité, alors que l'exaspération et la fureur sont près de l'autre extrémité.

Il y a aussi divers genres d'insatisfactions qui s'expriment à travers une gamme d'émotions de colère reflétant leurs particularités. La rage, par exemple, est déclenchée en partie par l'impuissance à se soustraire à la situation non désirée. La révolte est spécifique aux situations où on perçoit une injustice. Plusieurs émotions traduisant de la colère sont composites, comme le mépris, la jalousie, le dépit, la rancune...

À quoi sert la colère?


Les organismes vivants cherchent à maintenir l'équilibre nécessaire pour conserver un degré optimal de vitalité et de croissance. Leur processus d'adaptation fonctionne continuellement pour veiller à cet équilibre. Chez l'homme, les émotions jouent, au plan psychique, un rôle d'informateur spécifiquement sur le degré de satisfaction des besoins.

La colère surgit lorsque l'équilibre est rompu dans un aspect de notre vie. Le déséquilibre prend la forme générale d'une insatisfaction. Celle-ci peut signifier qu'un besoin est insatisfait, qu'un désir n'est pas comblé, qu'une attente est sans réponse ou peut-être même qu'un caprice n'est pas satisfait. La colère porte un double message: elle signale à la fois l'insatisfaction et ce que nous considérons comme "l'obstacle" à notre bien-être. La colère, en effet, est toujours vécue à l'égard de quelqu'un ou de quelque chose. On en veut "à" de nous "faire vivre" telle chose.

La colère déclenche une mobilisation de l'organisme entier. L'esprit est concentré sur le problème (plus particulièrement sur l'obstacle). Plusieurs réactions physiologiques sont déclenchées; elles sont particulièrement visibles lorsque la colère est intense. L'expression "la moutarde me monte au nez" traduit bien la sensation physique que produit le début de cette mobilisation physiologique. La mobilisation nous prépare à "l'attaque". On devient prêt à se défendre, à conquérir ce qui nous apportera la satisfaction désirée. Essentiellement, la colère fournit l'énergie pour vaincre l'obstacle qui se dresse devant nous.

Comme toutes les émotions, la colère est une saine manifestation d'insatisfaction. Mais la façon dont on la vit peut parfois engendrer des problèmes. Souvent, elle apporte une telle "soupape" qu'on a difficile à la lâcher tant que l'on a pas obtenu la réparation attendue. La colère s'auto nourrit alors et dévitalise.

Dans la mesure où elle se développe selon le processus vital d'adaptation, elle nous conduit à une action "appropriée" : faire respecter ses limites, se positionner, protéger son intégrité (émotionnelle, affective, physique, philosophique...) .


Une saine gestion de la colère va de pair avec l'attitude qui consiste à porter la responsabilité de sa vie. Lorsqu'au contraire on considère les autres (ou la vie elle-même) comme responsables d'assurer notre bien-être, on est naturellement porté à les accuser de nos frustrations.

Il est donc faux d'affirmer que la colère est "mauvaise conseillère" ou encore qu'elle provoque l'emportement. Ce sont plutôt les blocages dans le processus émotionnel ou les erreurs dans l'attribution des responsabilités de notre satisfaction qui expliquent nos faux pas.

Par exemple, le fait de sauter une seule étape du processus émotionnel de ma colère, m'empêche d'agir en respectant "tout ce qui m'importe". Si je ne prends pas la peine de la ressentir et de comprendre "comment et combien" je suis affecté, je ne pourrai pas trouver une façon d'agir pour "compléter" réellement mon expérience. En négligeant une ou plusieurs étapes du processus, il me sera également impossible de savoir si ma colère est défensive ou fondée. Par exemple je ne pourrai me rendre compte que ma colère sert de camouflage à ma tristesse ou encore que j'attaque au lieu de reconnaître une vérité dénoncée.

Si par ailleurs j'ai tendance à faire porter la responsabilité de ma satisfaction aux autres, ma colère portera souvent sur des cibles impropres. Dans ce cas, je risque souvent de stagner dans mes insatisfactions, car les personnes faussement accusées ne collaboreront pas.

vendredi 4 septembre 2009

CONSTELLATION FAMILLIALE

Qu'est-ce qu'une constellation familiale ?
La méthode des constellations est une technique thérapeutique individuelle ou de groupe.
Elle consiste à rechercher de quelle façon le système familial d'une personne (ou son système social plus large) l'influence dans ses comportements ou dans ses émotions et ce, souvent à son insu.
Les demandes peuvent être fort diversifiées. On peut travailler tant sur sa famille d'origine ou actuelle ( diverses problématiques : perte d'être cher, difficultés avec un parent, séparation etc..) ou sur toutes autres difficultés (maladie, problème d'argent, problème relationnel ,etc...) qu'un éclairage systémique pourrait débloquer.
Comment cela fonctionne ?
En groupe. Au sein de ce groupe, le travail va consister en une mise en scène tridimensionnelle de la difficulté rencontrée par la personne.
Pour mettre en lumière les liens et les dépendances que cette personne entretient avec son système, elle va choisir dans le groupe thérapeuthique des volontaires pour représenter les différents membres de sa famille.
Il s'agit d'une technique phénoménologique : bien que n'ayant aucune connaissance consciente de la composition familiale du demandeur, ces personnes, dès leur mise en place dans le champs d'expérience, vont exprimer des ressentis et effectuer des déplacements dans l'espace.
Ceci va créer un tableau vivant et interactif du système familial inconscient du demandeur.
La résolution de la problématique de la personne viendra de l'équilibre rendu à l'entièreté de son système : équilibre entre toutes les générations confondues et entre tous les actes posés.

mardi 1 septembre 2009

Chanson de l'égo déconnecté de son "Grand Soi"

Une chanson à écouter d'une autre manière : fermez les yeux et imaginez que ce soit notre "faux soi" (ou égo fatigué, sur-adapté au monde qui l'entoure au point de s'être perdu derrière son masque social) qui cherche la connexion avec la partie (moitié???) tellement plus grande de nous (ce que Bettina De Pauw appelle "le grand soi")... C'est magique. :-)))))