mercredi 28 décembre 2011

COACHING & discipline



Ecouter, comprendre, suivre et adhérer directement aux règles qui régissent un système mène souvent à davantage d'efficacité et de liberté :)...

Parfois, on cherche tellement à rester en connexion avec soi et à (im)poser notre "liberté individuelle" qu'on perd de vue qu'il y a un courant et que l'on peut tout simplement suivre ce courant : nous pouvons aussi nous laisser porter en respectant simplement les procédures du système.

mardi 20 décembre 2011

COACHING & discernement :)


... Vérifions bien nos objectifs avant de foncer tête baissée pour les atteindre...

"L'avenir a suffisamment de ressources pour répondre aux besoins de tous.
En revanche, elle n'en a pas assez s'il s'agit de satisfaire le désir de possession ou bien la cupidité de chacun."
Gandhi

dimanche 18 décembre 2011

COMMUNICATION NON VIOLENTE et agressivité saine : comment exprimer son désaccord en prenant ses responsabilités

Souvent, dans le développement personnel, on apprend à gérer le conflit de manière harmonieuse, sans avoir préalablement suffisamment fait le tour de son territoire et de son intégrité.

Cette étape me semble essentielle pour développer une "agressivité saine" qui me permet de me respecter et de faire respecter mes limites. Sans cette agressivité saine (que l'on retrouve chez les animaux), nous n'avons pas vraiment notion des contours de notre territoire et manquons de clarté vis à vous des autres et de nous-même. Ce qui finit par entraîner la violence.

1ère étape - Le "spectacle chacal" ou ma lecture" subjectivement négative" de la situation, en tant que victime agressé(e) par un bourreau (que ce soit un autre ou ma "chienne de Vie").
A faire seul ou avec un témoin neutre qui "oubliera tout" ensuite :))
Videz votre sac, donnez de la place à votre agressivité, écoutez l'enfant intérieur qui se sent blessé/non satisfait :
Clarifiez les différents aspects de la situation qui vous mettent en conflit et décrivez le ressenti qui y correspond.
Utilisez un langage et des expressions qui vous positionnent en tant que victime (ex : "je me sens trahi(e), humilié(e), contrôlé(e), non respecté(e), abusé(e), agressé(e)"...).
Utilisez des mots impliquant que l'autre personne "fait en sorte" que vous éprouviez ceci ou cela".
Seulement ensuite, quand vous vous êtes entendu, que vous avez suffisamment fait le tour de son territoire et de votre intégrité, vous pouvez passer à l'étape suivante :)

2ème étape - la clarification de mes besoins : quand j'ai bien fini de vider mon sac, je prends mes responsabilités par rapport à ce qui m'arrive...
Transformez l'enfant intérieur qui se sent blessé/non satisfait en adulte responsable de ses besoins et capable de clarifier et (faire) respecter son territoire :
Trouvez le besoin qui correspond aux différents ressentis mis en lumière lors de la 1ère étape.
Ex : quand il me dit "xxx", je me sens infantilisé, or j'ai besoin de m'affirmer".

2ème étape : l'expression de vos besoins, en veillant à faire une demande claire à l'autre de respecter vos limites, votre territoire. Pour sortir de la plainte ou de l'état de victime, rien de tel que de clarifier ses besoins et faire des demandes claires!!!!
Tandis que vous lui décrivez votre ressenti, utilisez un langage qui ne reflète que les sentiments pour lesquels vous êtes responsable (je me sens fatigué(e), perdu(e), en désaccord...)
Evitez les expressions qui vous positionnent en tant que victime (trahi(e), abusé(e), agressé(e)...).
Evitez d'utiliser des mots impliquant qu'une autre personne "fait en sorte" que vous éprouviez ceci ou cela"
Si vous utilisez ces mots pour identifier vos sentiments, c'est que vous donnez aux autres trop de pouvoir sur vos émotions. Et donc vous aurez tendance à attirer des gens qui suscitent chez vous ces sentiments et serez pris dans un cercle vicieux.

jeudi 15 décembre 2011

Entamer la Nouvelle année 2012 sur un mode biocentrique :)


A ne pas manquer...
Ouvert également au non biodanceurs... l'opportunité de faire votre 1ère vivencia???

11ème édition du Réveillon de l'An organisée par Kevin Bathe.


Vivencia animée par Géraldine Abel (facilitatrice Biodanza).


Plus d'info ci-joint...
ou appelez le +32 10 61 21 66 ou +32 0496 27 87 98 (Kevin)
Prix de 37€ plutôt que 57€ jusqu'au 20/12

mardi 13 décembre 2011

Coaching & Biodanza : deux outils magnifiques pour développer son potentiel, à tout âge...


La Biodanza - un outil d'intégration de l'identité, qui permet d'exprimer tout nos potentiels, de découvrir et de développer chaque jour un peu plus qui on est dans notre part vivante...

Le Coaching
-
à tout âge, le coaching permet de renouer avec soi - et donc avec les autres - dans le respect et la douceur, de repérer et accueillir ces croyances bloquantes ou limitantes afin de les transformer en croyances-ressources.

lundi 12 décembre 2011

COACHING RELATIONNEL : c'est quoi prendre soin d'une relation??

Dans une relation, il y a soi, il y a l'autre et il y a la relation.
Chacun est responsable de prendre soin de soi et de la relation... pas de l'autre...

Chacun doit veiller à ce qu'il n'y ait pas une "triangulation" qui vienne remplacer la relation à 2 :
La 3ème partie de la triangulation peut être un enfant, un travail, des tâches ménagères, un problème, un projet de vie, un autre homme ou une autre femme... Cette 3ème partie empêche la connexion de qualité entre les 2 personnes... et est souvent le symptôme d'une difficulté à se mettre en lien, à s'engager affectivement totalement dans le lien. La triangulation permet d'être "trop occupé/préoccupé/distrait", souvent pour les meilleurs raisons du monde, pour être entièrement engagé dans le lien.

Avec un travail sur les croyances limitantes et bloquantes liées au lien ou à l'engagement affectif, on peut sortir de cette "triangulation"dans la relation. Il y a un temps pour le couple, il y a un temps pour la 3ème partie (enfant, problème, travail, tâches ménagères...).

Facile! ;) hmmmm? :)

mardi 6 décembre 2011

COACHING RELATIONNEL : être en lien c'est...

Être en lien avec l'autre, l'aimer ou l'apprécier, c'est être capable d'aller le connecter dans son monde à lui, avec ses codes et ses valeurs... sans jugement ni résistance. Tout en veillant à ce que ce ne soit pas au dépend de soi ou d'un autre.

Cela vaut pour toutes les relations : parentales, amoureuses, d'amitié...

lundi 5 décembre 2011

COACHING : l'art d'associer l'accueil et la protection du vivant à la volonté et à l'action



Les limites désastreuses de nos "JE VEUX" qui ne sont pas connectés au vivant.

Si nous ne respectons et ne protégeons pas la vie, qui le fera?
Nous serons tous égaux devant les conséquences...

Il y a des volontés constructives, qui vont dans le sens de l'épanouissement de soi, des autres et de l'environnement.
Il y a des volontés (ou compulsions?) qui manquent de discernement : des volontés au service de l'individualisme, qui tiennent compte davantage de l'intérêt pour soi ou pour un petit groupe d'individus... parfois même au dépend de la Vie.

Il serait bon que chacun de nous vérifie, quand nous agissons avec détermination, quelles sont/seront (à court, moyen ou long terme) les conséquences de nos actions en terme de Vie (et non uniquement en terme d'intérêt personnel).



Dubai : un exemple des défis que la "volonté humaine" peut relever...
Un exemple aussi du piège de l'aveuglement de l'esthétique sur le coût environnemental de la construction et de la maintenance d'une telle ville en plein désert...
La chose la plus rare dans le désert c'est l'eau... dit la vidéo.
Deux manières de ce positionner face à cela :
> être de ceux qui savent se le payer et en profiter > participer à ce que Dubai se développe encore
> la protéger et l'utiliser avec bon sens
...

mercredi 2 novembre 2011

Questions à La Une : grandes surfaces et promotions bidons - Emission du 19/10/2011 - RTBF Vidéo

1 cas sur 5 d'incitations peu éthiques à la consommation en Belgique!!!!

1 - Prix dans les grandes surfaces : le grand bazar ?
De retour de commissions, êtes-vous bien certain de toujours rentrer gagnant ?
Vérifiez-vous bien toujours votre ticket de caisse lors de vos achats ? Utilisez-vous les bornes de contrôles de prix dans les grandes surfaces ?
Assurément, cette va vous pousser à plus de méfiance lors de vos prochaines courses.
Durant 3 semaines, une équipe de Questions à la une a farfouillé dans les rayons des plus grandes enseignes à la recherche d'anomalies, d'erreurs de prix et autres entourloupes dont seul, le marketing a le secret.
Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils ont bien rempli leur caddie.
Le reportage vous décrit avec précision, nombreuses preuves à l'appui, les promotions bidon à éviter, les étiquettes trompeuses et les paquets mensongers à boycotter.
Mais aussi quelles sont les réelles intentions de certaines marques et enseignes de la distribution ?
Une enquête d'Olivier Badart et Fabrice Lestarquit

2- Consommateurs : comment bossez-vous sans le savoir ?
Faire le plein d'essence, envoyer un virement bancaire par internet, scanner ses articles dans un grand magasin, encoder son menu dans un restaurant, réserver un vol : chaque jour, nous passons du temps à consommer. De plus en plus de temps. Les entreprises profitent-elles de nous ? Nous considèrent-elles comme une main d'oeuvre bon marché ? Travaillons-nous pour elles sans vraiment le savoir ? Quel avantage en tirons-nous ? Quelles conséquences cela a-t-il sur le marché de l'emploi ?
Une enquête d'Olivier Corroenne et Yves Crasson



Questions à La Une : grandes surfaces et promotions bidons - Emission du 19/10/2011 - RTBF Vidéo

mardi 25 octobre 2011

Quand solidarité et conscience se mettent en route : "Message in a bottle"... Bien reçu!!!!

Pour l'avenir de la planète et de l'homme : continuer à veiller à ses intérêts personnels et matérialistes immédiats au dépend de la Vie... ou se décider à "jouer la Vie de manière altruiste"????

"Courriel du 24 octobre 2011 de Jean-Jacques Crèvecoeur.

Le 19 septembre dernier, je vous envoyais un courriel à propos de Fukushima (pour le relire, cliquez sur ce lien). La question que je posais à l'époque, je la formulais comme suit :

Comment réveiller les consciences ? Comment faire en sorte qu'une frange beaucoup plus large de la population comprenne les dangers réels que nous courons au quotidien avec le nucléaire ?

Et je vous invitais à contribuer financièrement à la première étape d'un documentaire sur Fukushima en faisant un don de 10 euros minimum. Ce projet de documentaire qui sera produit en français, en anglais et en japonais s'intitule « Message in a bottle from the kids of Fukushima to the world », ce qui veut dire « Une bouteille à la mer, adressée au Monde, de la part des enfants de Fukushima ».

Lorsque je vous ai lancé cet appel, mon objectif était clair : réunir 10.000 euros pour permettre au réalisateur belge Alain de Halleux, l'initiateur de ce projet, de financer la préproduction du documentaire (dont le budget global est de 300.000 euros). Si je vous avais lancé cet appel, c'est parce que j'avais été touché par l'engagement courageux d'Alain. Alors qu'il n'avait pas un euro devant lui, alors qu'aucune télévision ne manifestait d'enthousiasme à l'égard du projet, alors que se rendre à Fukushima constitue — encore aujourd'hui — un risque réel pour sa santé, il me confiait : « Jean-Jacques, c'est plus fort que moi, il faut que je fasse ce film ». Ce n'est pas tous les jours qu'on rencontre des hommes et des femmes qui redonnent au mot sacrifice ses lettres de noblesse à travers sa dimension sacrée ; Alain fait partie de ceux-là.

Aujourd'hui, je suis heureux de vous annoncer officiellement que, grâce à vous, une série de miracles se sont produits. Tout d'abord, nous avons dépassé l'objectif. Douze mille euros ont été récoltés en un mois. Ça, c'est le premier miracle. Deuxième miracle : en apprenant la vague populaire de soutien dont bénéficiait soudainement le projet « Message in a bottle », la télévision belge (la RTBF) décidait soudainement de changer sa position et de s'engager comme un des producteurs du film. Du coup, d'autres télévisions ont marqué leur intérêt pour participer, elles aussi au projet - troisième miracle. Mais le plus beau de tous, c'est que pendant tout ce mois, Alain a pu contacter des familles japonaises vraiment exceptionnelles qui s'annoncent déjà comme d'excellentes messagères du film…

Ce lundi 24 octobre, Alain de Halleux s'envole de Bruxelles pour Fukushima. Il me confiait, il y a quelques jours, qu'il avait le trac. Plusieurs personnes de son entourage ont cherché à le dissuader de partir, tant les informations au niveau de la radioactivité ambiante sont floues et contradictoires. Il a peur pour sa santé — et je le comprends —, mais aussi peur de ce qu'il va découvrir sur place. « À côté de Fukushima, mon film sur Tchernobyl, c'était une vraie balade de santé » me lançait-il avec humour. « Tout est beaucoup plus compliqué au Japon, et il y a une véritable omerta sur la question du nucléaire. »

À mes yeux, ces réflexions donnent encore plus de sens à ce projet. Nous, les citoyens de la Terre, nous avons besoin d'hommes et de femmes qui osent exposer au grand jour la vérité toute crue, pour que nous puissions faire nos choix en réelle connaissance de cause.

Si vous le permettez, je continuerai à vous tenir au courant de l'avancement de ce projet qui est devenu, par la force des choses, notre projet. Je rencontrerai Alain de Halleux à son retour à Bruxelles, fin novembre. Et nous réfléchirons ensemble comment vous impliquer encore davantage dans la chaîne d'information autour de ce film. Pour qu'au moment de sa sortie (en automne 2012), il joue vraiment son rôle de déclencheur pour les consciences endormies…

Mais pour l'heure, réjouissons-nous de notre capacité à nous mobiliser et à manifester de véritables liens de solidarité, au-delà des frontières, au-delà des différences.
Restons debout, conscient et sans peur !

Jean-Jacques Crèvecoeur, Montréal (Québec) - www.jean-jacques-crevecoeur.com

PS : Je vous autorise à reproduire, à diffuser, à traduire, à publier sur vos sites et vos blogs le présent courriel. Merci, simplement, de le publier intégralement et d'en citer la source.

Si vous souhaitez visionner le dernier documentaire d'Alain de Halleux : CHERNOBYL 4 EVER, cliquez sur : http://www.ubest1.com/?page=video/29166/Tchernobyl-forever#

Si vous voulez entendre l'entrevue qu'Alain de Halleux a accordée à la chaîne de télévision ARTE, à la sortie de son documentaire, en plein début de crise de Fukushima, cliquez sur :
http://videos.arte.tv/en/videos/_tchernobyl_forever_interview_d_alain_de_halleux_1_9-3837526.html

jeudi 13 octobre 2011

COACHING PERSONNEL - Prendre en charge la satisfaction de mes besoins

Prendre en charge la satisfaction de mes besoins, ce n'est pas les combler moi-même*°, mais plutôt de prendre l'initiative de faire ce qu'il faut pour les combler.

* Il est agaçant d'entendre, par exemple, que pour combler mon besoin d'être aimé, il faut d'abord que je m'aime moi-même. En fait, le fait que j'apprenne à m'aimer - et donc prendre des décisions bonnes pour moi - est essentiel pour que je puisse être en contact avec des personnes capables d'aimer et de m'aimer.

° Parfois je peux répondre moi-même à mes besoins, mais d'autre fois il me faut faire des demandes, exposer mes besoins, négocier et même les défendre pour qu'il soit possible de les satisfaire.

Pour plusieurs d'entre nous, il est difficilement acceptable de porter l'entière responsabilité de nos besoins.
> Certains refusent parce qu'ils voient dans l'initiative des autres à leur égard, une preuve de considération ou d'amour. ("N'est-ce pas une grande preuve d'amour d'être deviné", pensent-ils.)
> D'autres s'y objectent parce que faire connaître leurs besoins, dire ce qui leur importe, c'est trop se dévoiler et surtout, c'est informer l'importance qu'ils lui accordent. ("Je ne vais quand même pas lui dire que j'aimerais voir plus directement son appréciation; il va penser que je le prends pour mon père !")

En prenant mes besoins en charge, en effet, non seulement j'expose ce que je suis, mais en plus j'avoue à d'autres l'importance qu'ils ont dans ma vie! Il y a là un risque: celui de n'avoir pas la même importance pour l'autre ou que le besoin de l'autre ne coïncide pas avec le mien. Il se peut que je vive cette différence comme un rejet, que j'en sois dévalorisé ou que cela blesse mon orgueil. Si considère comme dramatique l'un ou l'autre de ces scénarios, il est évident que je m'abstiendrai. Je choisirai alors de renier mon besoin ou d'attendre que l'autre le prenne en charge.

Si au contraire je suis prêt(e) à risquer de faire face à un refus, j'aurai fait un pas de plus vers le respect de ce qui m'importe. Même insatisfait(e), j'en sortirai alors plus libre, grandi(e).

mardi 11 octobre 2011

Intelligence émotionnelle : Qu'est-ce que l'amour ?

L'amour est un mouvement affectif spontané vers un être qui nous procure une satisfaction. Cet attrait émotif peut s'appliquer à une personne, un objet ou même une idée. On peut aimer intensément son enfant, un endroit, ou les manifestations de courage, pourvu qu'on y trouve des satisfactions spéciales. On peut même éprouver de l'amour lorsqu'on n'a encore que l'espoir d'une satisfaction, un potentiel de bonheur.

L'amour n'est pas une émotion en soi; c'est une expérience émotive complexe qui comprend plusieurs émotions. C'est peut-être même la plus complexe de toutes les expériences émotives. On y retrouve souvent, par exemple, de la joie, de l'attrait ou du désir, de la tendresse, de l'estime, de l'attachement, etc. L'expérience de l'amour inclut aussi bien souvent de la colère ou du ressentiment ainsi qu'un sentiment de vulnérabilité.
Ce qui demeure constant toutefois, dans les différentes expériences d'amour, c'est le bien être ou le bonheur que nous procure l'être aimé. Plus précisément, nous considérons comme "bons pour nous" les êtres et les réalités qui suscitent notre amour. C'est parce que nous les percevons, plus ou moins explicitement, comme aptes à répondre nos besoins. Qu'ils y répondent déjà ou qu'ils soient porteurs d'une promesse de satisfaction, ils demeurent, subjectivement, une source de bonheur.

Les amours fortes et profondes sont, quant à elles, empreintes d'estime. Elles ont sur nous un effet d'élévation. Les personnes qui l'inspirent ont un effet stimulant; à leur contact, nous sommes portés à être de meilleures personnes, à exploiter davantage nos ressources, à nous dépasser.

Parfois on confond l'amour en imagination avec un amour réel. L'expérience subjective de l'adolescente amoureuse du chanteur populaire ressemble à l'amour par les émotions qui en font partie et par leur intensité, mais il manque un ingrédient essentiel: le contact réel avec l'être aimé. La satisfaction éprouvée est déclenchée par les fantasmes uniquement. Comme simulation pour découvrir l'expérience amoureuse, il s'agit d'une méthode extrêmement utile et d'un bon apprivoisement de l'intensité affective.

L'amour romantique est une autre expérience qu'il faut distinguer de l'amour réel. Dans cette forme de relation, l'important est le plaisir d'être aimé et non l'amour de l'autre pour ce qu'il est. Je me délecte de son penchant pour moi et des les avantages qu'il me procure: marques d'attention, réactions fortes à ma présence, sentiment d'être désirée, etc... C'est l'effet de son regard sur moi qui me satisfait et non le contact réciproque. Que l'homme ou la femme en soit l'objet, c'est le regard admiratif de l'autre qui constitue l'essentiel de la relation.

Comme l'illustre la série d'exemples présentée plus haut, on se sert du même verbe, "aimer", pour exprimer différents genres d'attraits. Il s'agit toujours essentiellement de la même expérience d'amour, mais les dimensions impliquées et l'intensité des émotions varient énormément.

Exemple #1.
J'aime la justice et l'honnêteté: ce sont des valeurs importantes à mes yeux. Je suis satisfaite lorsqu'elle sont exercées; je réagis né gativement lorsque elles ne le sont pas.

Exemple #2.
Mon contact avec la nature me procure toutes sortes de satisfactions. J'éprouve divers sentiments qui expliquent le plaisir qu'elle me procure: plaisir esthétique, émerveillement devant la force, la fragilité et les subtilités du vivant, jouissance sensuelle dans certaines activités, joie des nombreux ébats physiques qu'elle permet, etc... Au total, la nature me fournit la possibilité de répondre à plusieurs besoins

Exemple #3.
Mon amour pour mes parents est composé de divers sentiments. Je suis attachée à eux; je tiens à notre relation et j'éprouve de l'affection pour eux. Il se pourrait que mon amour contienne aussi de l'estime pour ce qu'ils sont et de la reconnaissance à l'égard de ce qu'ils ont accompli pour moi. Mais il se peut aussi que mon amour recouvre uniquement une sorte de compassion pour eux, avec une propension à leur faire du bien.

L'amour recouvre donc à diverses réalités émotives. Lorsqu'il s'applique à des êtres vivants, il implique habituellement une certaine dose d'affection.

Exemples #4 et #5.
L'amitié, l'amour, l'amour passion sont des variations sur le même continuum. Ils expriment, comme les autres formes d'amour, la valeur nourricière de l'objet pour nous. La passion peut être vécue pour une personne mais aussi pour une activité. Ce que ces deux objets d'amour ont en commun, c'est la capacité de remplir un grand besoin et la manière agréable par laquelle ils le remplissent.

Ainsi, ma passion pour un homme est déclenchée par l'intense agrément de nos contacts physiques et sexuels. Elle est sous-tendue par mon intense besoin d'être aimée de même celui de confirmer ma valeur comme femme en faisant un effet puissant sur un être qui me plaît. De même, mon immense amour pour cette femme repose sur le bien-être inégalé que j'éprouve en sa présence. C'est la seule personne qui m'ait jamais acceptée telle que je suis! En sa présence j'ose être et cela est pour moi plus précieux que quoi que ce soit d'autre.

Par ailleurs, ma passion pour la planche à voile s'explique par la satisfaction intense que j'ai à composer avec des éléments de la nature qui font appel à ma force subtile, mon agilité et mon sens de l'é quilibre. Ce sport englobe en plus mon amour de la nature et le plaisir sensuel du contact avec l'eau, l'air et le vent. De plus, et ce n'est pas là la moindre des choses, il me permet d'admirer en me confondant avec elles, la beauté puissante de la nature qui se manifeste dans la force de la mer, la puissance des vagues et des tempêtes. Ces situations me transportent et j'adore cette sensation forte.

À quoi sert l'amour ?

L'amour est un indicateur de besoins. Il révèle parfois la présence de besoins cruciaux, d'autres fois celle de besoins moins urgents comme des aspirations. Il révèle aussi qu'on croit, à tort ou à raison, trouver auprès de l'être aimé la satisfaction de ces besoins. C'est le cas, qu'il s'agisse de l'amour pour une satisfaction potentielle ou réelle.

L'amour d'un être potentiellement nourrissant

Le besoin d'être reconnu comme être sexué et le besoin de contacts physiques de l'adolescent sont forts et même envahissants. Ce dernier est prêt à jeter son dévolu sur le premier inconnu qui, à première vue, présente des caractéristiques qui laissent croire qu'il pourrait combler ces besoins. Il est beau donc attirant, fort donc capable d'avoir un ascendant sur moi, sûr de lui donc pouvant être affirmatif et rassurant, etc...

Le besoin impérieux d'être aimé ou confirmé dans sa capacité d'avoir un impact sexuel n'est pas spécifique à l'adolescent. On le retrouve aussi chez la personne qui recherche le coup de foudre. Celle-ci voit, dans l'attrait intense et spontané, la preuve irréfutable qu'il peut trouver tout ce qu'il recherche pour répondre à ses besoins affectifs. La découverte éventuelle de la personne réelle entraîne souvent le désenchantement. Le coup de foudre est le prototype de l'amour d'une personne pour son potentiel de satisfaction.

Aimer dans une relation toxique est un autre exemple de l'amour d'une personne pour son potentiel de satisfaction. Cet attrait est incompréhensible sans l'éclairage du phénomène du transfert. Dans cette situation celui qui aime tente d'obtenir de l'autre des confirmations essentielles à son identité. Habituellement ses tactiques sont infructueuses

L'amour pour une relation ou une activité réelle

L'amour est la réaction au fait d'obtenir la nourriture affective que nous cherchons dans une relation. L'amour d'une activité exprime la satisfaction qu'elle nous procure sur des dimensions importantes de notre vie. Selon son intensité et la qualité de la satisfaction, l'amour prend la forme de sympathie, d'affection et peut aller jusqu'à la passion.

Il est utile de préciser sur quoi porte notre amour si on veut y voir plus clair. En spécifiant ce que l'on aime on peut identifier plus facilement les besoins auxquels il répond ou les aspirations qu'il éveille en nous. On peut aussi cerner son besoin en identifiant les genres de satisfaction que nous procure le contact avec la personne ou l'objet aimé.

samedi 16 juillet 2011

COACHING DE COUPLE : Les étapes de la vie amoureuse et le paradoxe de la passion - 3

3ème étape - Le partage du pouvoir

Pour bien comprendre la dynamique du couple, comparons-le à une journée. Une journée est constituée d'un jour et d'une nuit dont la durée varie selon les saisons. Le jour est rempli de lumière et d'activités. La nuit est remplie d'obscurité et de repos. À l'aube et au crépuscule, le jour et la nuit se rencontrent. Ces deux périodes sont remplies d'harmonie et de paix : il ne fait ni jour, ni nuit, il ne vente pas, les oiseaux ne chantent plus, le temps est comme suspendu. Nous le voyons, le jour et la nuit se complètent pour former la journée, comme le yin et le yang le font pour constituer le Tao.

L'homme possède des facultés qui lui sont uniques et une façon bien à lui d'envisager la vie et le couple ; la femme possède des facultés qui lui sont uniques et une façon bien à elle d'envisager la vie et le couple. La femme peut remplir des fonctions (grossesse, enfantement et allaitement, séduction, préoccupations relationnelles, réceptivité, capacité de relation symbiotique) que l'homme ne peut remplir, ni même comprendre. L'homme possède des capacités (force physique, créativité matérielle, esprit de compétition, intrusivité, instinct de chasseur, besoin d'indépendance) que la femme ne peut égaler ni même comprendre.

On ne peut demander à l'homme de remplir les fonctions féminines et vice-versa, tout comme on ne peut demander à la nuit de remplir les fonctions du jour et vice-versa. On ne peut demander aux deux que de se compléter pour former un tout. La femme ne peut demander à l'homme de vibrer en symbiose avec elle comme elle peut le faire avec son fœtus ; l'homme ne peut s'attendre à ce que la femme « embarque » dans ses activités comme il peut le vivre avec ses amis ou ses associés. Ces deux attentes sont des illusions parmi tant d'autres.

Dans le partage du pouvoir, l'un et l'autre, après avoir pris connaissance des particularités individuelles de cet homme et de cette femme, acceptent d'utiliser ces particularités, différentes et parfois contradictoires, pour former leur couple. L'un et l'autre ne cherchent plus à transformer l'autre pour répondre à ses attentes propres ; l'un et l'autre n'accusent plus l'autre d'être le responsable de la frustration de ses illusions adolescentes face au couple. Les deux prennent conscience qu'ils sont amants et ennemis intimes (il y aura toujours des différends, même dans les couples les plus heureux), mais les deux mettent dorénavant l'accent sur l'intimité et l'apport personnel, quoique différent, de chacun dans ce couple unique. Les deux exploitent les qualités de l'autre au profit du couple (et de la famille). Les deux partagent le pouvoir qu'ils transfèrent maintenant au couple, comprenant que seul le couple, et non pas l'autre, peut satisfaire les besoins de chacun.

Passages choisis d' Yvon Dallaire - S'aimer Longtemps, Éditions Option Santé © 1996

dimanche 10 juillet 2011

COACHING DE COUPLE : Les étapes de la vie amoureuse et le paradoxe de la passion - 2

2ème étape - La lutte pour le pouvoir :))

... Mais voilà que votre corps et votre tête se sont accoutumés aux effets de la phényléthylamine et des endorphines. Vous êtes toujours heureux, heureuse, mais l'intensité de votre bonheur s'est atténuée et vous revenez progressivement sur terre. Surpris vous vous rendez compte que votre prince charmant se conduit parfois comme un crapaud, que votre princesse charmante sort de plus en plus régulièrement ses griffes et ses crocs. Vous prenez contact avec la personne réelle avec laquelle vous êtes en amour.

Vous entrez dans la deuxième phase de votre relation de couple : la lutte pour le pouvoir. L'anxiété et l'insécurité de la séduction et de la passion vous forçaient à vous montrer sous votre meilleur jour ; la sécurité de votre bonheur et la certitude que l'autre vous aime vous permettent de vous laisser aller et de vous montrer sous votre vrai jour. Vous ne faites plus semblant, vous êtes vous-mêmes et vous commencez à dire et même à exiger ce que vous attendez de votre relation de couple. Vous l'aviez déjà dit, mais l'autre vous admirait et il(elle) n'avait pas réellement entendu ce que vous disiez. S'il est vrai que l'amour est aveugle, il rend sourd aussi.

C'est alors que vous vous apercevez que l'autre ne partage pas tout à fait vos points de vue sur les loisirs, l'argent, le choix de la maison, la répartition des tâches ménagères, le nombre et l'éducation des enfants, les ami(e)s, la fréquence des rapports sexuels, le type et l'endroit de vos vacances, le choix des films... en fait, il ne partage pas tout à fait la façon d'aimer et de s'investir dans le couple.
Vous vous rendez compte qu'il met l'accent sur sa carrière, alors que vous voudriez qu'il s'occupe davantage de la famille. Vous constatez qu'elle veut bien faire l'amour, mais à sa manière. Vous êtes méticuleuse, il laisse tout traîner. Vous adorez les argumentations serrées, elle met de l'émotion partout. Vous aimez les grands rassemblements de famille, il préfère aller à la chasse ou à la pêche avec ses amis. Vous aimez lire votre journal le matin, elle a toujours quelque chose à vous reprocher. Vous aimez les téléromans ; il préfère les émissions sportives. Il projette une retraite dans le sud ; vous préféreriez être près de vos petits-enfants. Ainsi de suite.

Cette lutte pour le pouvoir est inévitable et même nécessaire. C'est cette lutte qui nous permet de savoir à qui nous avons affaire et qui nous permet d'affirmer nos besoins et nos attentes face au couple. Cette lutte amène les deux partenaires à se situer l'un par rapport à l'autre. Malheureusement la majorité des couples s'enlise dans cette lutte et s'engage dans des impasses : « C'est toi qui as commencé ! » « Non, c'est toi ! », « Si tu m'écoutais aussi quand je te parle. », « Si tu faisais un homme (une femme) de toi. », « Qu'est-ce j'ai fait au bon Dieu pour me retrouver avec toi? », « On dirait que tu le fais exprès. », « Je te l'avais bien dit. », « Tu veux toujours avoir raison. », « De toute façon, tu ne comprendras jamais rien. », « Bon, c'est reparti ! », « C'est ça, va-t-en ! »...
Ces paroles vous sont familières. Ne vous en faites pas, vous êtes normaux. Nos deux amants intimes et passionnés deviennent, lors de cette phase, deux ennemis intimes. Tous les deux s'aiment et veulent continuer à s'aimer, mais les frictions sont de plus en plus nombreuses. Ces frictions sont dues aux différences existant entre les hommes et les femmes, aux différences existant entre cet homme particulier et cette femme particulière ; nais elles sont aussi dues à nos attentes frustrées face à la vie de couple et au paradoxe de la passion.
À ce stade, se joue l'avenir du couple. Plus de la moitié des couples divorceront et beaucoup répéteront la même dynamique avec un nouveau partenaire. Trente pour-cent 30% des couples se résigneront, développeront une relation de couple déséquilibrée, se feront une guerre entrecoupée de périodes d'accalmies (sursaut de production de phényléthylamine) et chercheront des compensations dans le travail, la famille ou ailleurs.
À peine 20% des couples réussiront à transformer cette lutte inévitable pour le pouvoir, en partage du pouvoir, troisième étape de la vie de couple.

Passages choisis d' Yvon Dallaire - S'aimer Longtemps, Éditions Option Santé © 1996

vendredi 8 juillet 2011

COACHING DE COUPLE : Les étapes de la vie amoureuse et le paradoxe de la passion - 1


1ère étape - La passion
"Pendant la séduction qui culmine dans la phase de la passion, première étape de la relation amoureuse, vous n'êtes pas encore certain que la relation est bien établie ; hommes et femmes se montrent alors sous leur plus beau jour afin de séduire et de conquérir l'autre. C'est pendant cette phase que les hommes sont les plus communicatifs et les plus attentifs : ils soignent leur image et sont intéressés par tout ce que vous dites ; ils n'ont d'yeux que pour vous et vous complimentent sans cesse. C'est pendant cette phase que la femme regarde et écoute l'homme avec la plus grande admiration : elle est toujours prête à se coller et à faire l'amour avec vous, aussi souvent que vous le désirez ; elle ne vous critique jamais et est prête à vous suivre dans tous vos projets.
En même temps, vous auréolez la personne convoitée : c'est votre âme sœur, votre prince, votre princesse et l'amour que vous éprouvez l'un pour l'autre surmontera toutes les épreuves. Vous passez vos nuits à bavarder et à faire et à refaire l'amour. Vous ne pouvez plus vous passer l'un de l'autre : vous êtes éperdument amoureux, peut-être même pour la véritable première fois de votre vie. C'est la phase que nous voudrions faire durer toujours.
Les biochimistes ont démontré que, pendant cette phase, le cerveau humain produisait une hormone appelée la phényléthylamine. C'est cette hormone qui serait responsable des états euphoriques que nous vivons lorsque nous sommes en amour. Cette hormone aurait les mêmes effets que la cocaïne.
Si la personne désirée vous quitte lors de cette période, c'est le manque, la peine d'amour. Si vous êtes un drogué de la phényléthylamine, c'est vous qui partirez, lorsque vous sentirez votre passion diminuer pour trouver ailleurs une nouvelle flamme qui stimulera de nouveau la production de phényléthylamine. Vous irez de passion en passion, incapable d'un véritable engagement amoureux.
Par contre, si vous acceptez la baisse de la passion, votre cerveau remplacera la production de phényléthylamine par la production d'endorphines qui, elles, possèdent les mêmes propriétés que la morphine. Vous vivrez alors des jours de bonheur tranquille : vous pourrez dormir en paix, en silence, dans les bras l'un de l'autre. Vous n'aurez jamais été aussi bien, aussi en harmonie de toute votre vie. Votre couple vous comblera.
Hélas, la passion... passe ! En fait, pendant la phase de passion, vous n'étiez pas réellement amoureux de l'autre personne : vous étiez amoureux des sensations provoquées dans votre corps et votre tête par l'idée que vous vous faisiez de l'autre personne. Vous avez ignoré tous ses petits défauts ; vous n'avez vu et entendu que ce qui faisait votre affaire ; vous avez mis de côté tout ce qui pouvait émousser votre passion. Et vous vous êtes mariés ou, comme disent les Espagnols, vous vous êtes « mis en maison » (casarse), vous avez commencé à cohabiter".

Passages choisis d' Yvon Dallaire - S'aimer Longtemps, Éditions Option Santé © 1996

«Les statistiques sont alarmantes : 67% des couples mariés après 1990 divorceront. La plupart le feront la 4e ou 5e année de leur mariage ; les autres attendront le départ de leurs enfants. La bonne nouvelle, c'est que de moins en moins de couples acceptent de se résigner et de se faire la guerre pendant un demi-siècle. Ce qui ne laisse qu'un maigre 20% des couples qui, la plupart du temps, sont heureux. Pourtant, selon l'auteur, ce n'est pas faute d'amour et de bonne volonté de la part des partenaires. Les raisons seraient plutôt le manque de connaissances des différences existant entre les hommes et les femmes, l'ignorance des dynamiques inhérentes à la vie de couple et la non-compréhension ou le refus de la manière de l'autre de s'investir dans le couple.
Basé sur les récentes découvertes de la neuropsychologie moderne et de la nouvelle science de l'homme et de la femme, ce livre explique les relations homme-femme et permet aux couples de mieux comprendre l'Autre pour pouvoir vivre plus heureux et plus longtemps avec cet Autre. Tous les couples se reconnaîtront dans cette seconde édition, complètement revue et augmentée, de S'aimer longtemps. Un livre à lire en couple».

COACHING DE COUPLE : stop aux rapports de pouvoir!

Avoir de l'emprise sur quelqu'un ou être sous l'emprise de quelqu'un, c'est pas bon pour l'amour ;)

Rien de pire que les "JE VEUX QUE TU..." car c'est comme nier qu'il y a deux "JE" :)))


!!! Toujours vérifier que l'autre est d'accord avec nos projets pour ne pas blesser la relation.

> Ce qui n'est pas une mince affaire, car on ne se rend pas souvent compte de ce que l'on impose à l'autre ou de ce que l'autre nous impose, sous prétexte que "c'est normal"...
> D'où l'importance de laisser de l'espace à la discussion, apprendre à dire non, à accueillir le non, apprendre à dire des vrais oui, à faire des demandes concrètes qui ne sont pas des exigences, à sortir des attentes qui sont des attentats, s'exercer à être plus fins dans nos feedbacks et dans l'écoute du feedback de l'autre...

Le couple est un bel espace de développement personnel!!! :)))

dimanche 3 juillet 2011

A réfléchir... coup de gueule de Jean-Jacques Crèvecœur

"Avertissement.
Ce courriel fait une rapide synthèse de la situation à Fukushima. Il a pour but surtout de vous faire réfléchir sur la manière dont l'information est traitée par les médias qui sont censés nous informer. Je vous autorise à reproduire, à diffuser, à traduire, à publier sur vos sites et vos blogs le présent courriel. Merci, simplement, de le publier intégralement et d'en citer la source.

Bonjour ,

Non, ne comptez pas sur moi.
Ne comptez pas sur moi comme vous l'avez fait en automne 2009, lorsque je me battais contre les projets de vaccination massive obligatoire contre la grippe H1N1.
Ne comptez pas sur moi pour mener un nouveau combat contre le nucléaire, suite aux événements catastrophiques qui ont lieu à Fukushima Daiishi.

Pourquoi ? Parce que ce combat que j'ai mené il y a près de deux ans m'a coûté très cher. Très cher en temps, très cher en énergie, très cher en argent, très cher en réputation, très cher psychologiquement, très cher émotionnellement, très cher spirituellement. Je savais intellectuellement que lorsqu'on lutte CONTRE ce qui nous semble le mal, on devient semblable à ce mal qu'on combat. Je le savais intellectuellement, mais je ne l'avais pas ressenti dans ma chair.

Avec le recul de ces dix-huit derniers mois, j'ai compris qu'une facette de mon action avait été très utile à des centaines de milliers de personnes qui ont reçu l'information dont elles avaient besoin pour prendre la décision de ne pas se faire vacciner avec ce vaccin dangereux et parfois mortel. Mon action (et celle des autres militants) a été utile pour faire reculer les gouvernements dans le projet de vaccination obligatoire (j'avais reçu la confirmation confidentielle de la part de militaires qu'ils attendaient les ordres pour encadrer par la force les opérations de vaccination - heureusement, ces ordres n'ont jamais été donnés, finalement, par crainte d'une guerre civile dans nos pays).

Par contre, une autre facette de mon action (celle où mes émotions ont pris les commandes de mes messages) a alimenté ce que je voulais combattre. Et ça, je ne suis pas près d'oublier la dure leçon de vie qui fut la mienne…

Néanmoins.
Je suis frappé de constater qu'une fois de plus, les industries et les gouvernements confirment leur sainte alliance avec les grands médias pour protéger leurs intérêts, en se moquant totalement de nos vies, de notre santé et de notre intégrité physique.

Je le répète. Je n'ai vraiment plus l'intention de partir en guerre contre qui que ce soit. Et je n'ai pas l'intention d'y passer des heures. Il me suffit de poser quelques questions, de vous transmettre quelques références informatives (pour vérifier le contenu de mes questions) et de vous laisser tirer vos propres conclusions. Voici les questions que je me (vous) pose :
Pourquoi les médias ont cessé de nous informer dix jours après la catastrophe nucléaire de Fukushima, alors que la situation là-bas ne cesse de s'aggraver ?
Pourquoi une des premières décisions prises par les autorités de santé publique a été de relever le niveau des doses acceptables qu'une population peut encaisser ? Comme si l'imminence de la catastrophe avait tout à coup rendu nos organismes plus résistants à la radioactivité…
Pourquoi les autorités de santé publique et les gouvernements ont-ils donné l'ordre de ne plus publier les mesures de radioactivité depuis fin mars ?
Pourquoi ces mêmes autorités ont-elles donné l'ordre d'arrêter de mesurer le taux de radioactivité dans l'hémisphère Nord, alors que nous payons avec nos impôts, les stations de mesure ?
Pourquoi nous a-t-on caché pendant deux mois et demi que les coeurs des réacteurs 1, 2 et 3 avaient fondu dans les heures et les jours qui ont suivi le 11 mars dernier, alors que plusieurs experts indépendants l'annonçaient dans les jours qui ont suivi la catastrophe ?
Pourquoi aucun conseil de protection ne nous est donné de la part des autorités de santé publique, à nous qui sommes concernés par la contamination de l'air, du sol et de l'eau ?
Pourquoi ne nous dit-on pas que, chaque fois qu'il pleut, nous devrions éviter de sortir, ou alors, utiliser un large parapluie pour ne pas ramener chez nous, de l'eau et des particules contaminées ?
Pourquoi presque aucun média n'a révélé que, dès la fin du mois de mars, le lait de plusieurs états américains avait un taux de radioactivité anormalement élevé (depuis lors, les mêmes constats ont été faits en France) ? En nous expliquant que la pluie avait contaminé l'herbe des prés broutée par les vaches…
Pourquoi ne nous révèle-t-on pas que la mortalité des bébés a brusquement augmenté ces deux derniers mois, dans les états de l'Ouest américain ? À Philadelphie, par exemple, la mortalité a augmenté de 48 % en un mois, à cause du lait contaminé et de l'eau contaminée du robinet… (référence)
Pourquoi ne nous dit-on pas que les centaines de milliers de tonnes d'eau déversées sur les réacteurs sont sur le point de déborder des sous-sols des centrales, et donc de contaminer encore davantage la région, les nappes phréatiques et l'océan ? Et que les Japonais n'ont aucune solution pour régler ce problème…
Pourquoi nous fait-on croire que la situation est sous contrôle, alors que les déversements d'eau n'ont fait que retarder le moment où une explosion majeure surviendrait ?
Pourquoi ne nous dit-on pas que le bâtiment numéro quatre est sur le point de s'effondrer, avec les risques de relâcher dans l'environnement, d'énormes quantités de plutonium capables de rayer le Japon de la carte pour 100.000 ans (référence) ?
Pourquoi toutes les vidéos d'un ressortissant français vivant au Japon ont-elles été supprimées de son compte Youtube depuis ce lundi 20 juin ? Il faut préciser qu'Alex mettait une vidéo quasi-quotidienne sur Youtube pour informer de la situation vécue depuis le Japon. Jusqu'à présent, ses vidéos étaient vues par deux à quatre mille personnes. Sa vidéo de ce week-end, dans laquelle il exprimait sa colère et son désespoir avait déjà reçu 67.000 visiteurs en 48 heures, au moment où son compte a été fermé ! Liberté de l'information, vous dites ? Heureusement, des internautes malins avaient eu la bonne idée de copier sa vidéo et de la remettre en ligne.
Une petite dernière, juste pour la route !
Pourquoi l'administration Obama vient-elle de donner l'ordre d'interdire le survol de la centrale de Fort Calhoun (Nébraska) par les avions de tourisme et les hélicoptères, empêchant les journalistes d'informer la population par la situation très préoccupante qui s'y déroule suite aux inondations provoquées par le débordement du Missouri ?
Pourquoi cette même administration a-t-elle ordonné qu'aucune information sur la situation périlleuse de la centrale ne soit divulguée (voir photo ci-dessous) ?

Voici quelques références à partir desquelles vous pourrez faire vos propres lectures. J'ai mis ces références sur mon site Internet, dans un dossier nucléaire. Chaque fois que je verrai passer un article de synthèse, je l'ajouterai sur mon propre site.

J'y ai passé une petite centaine d'heures, pour me faire une opinion personnelle, en vérifiant à chaque fois quel était l'intérêt de la personne qui parlait. C'est intéressant de remarquer que tous les experts indépendants, sans exception, sont critiques et inquiets de ce qui se passe et des conséquences pour l'environnement, la santé des populations et l'avenir de la planète. Par contre, aucun expert travaillant pour l'industrie du nucléaire, aucun gouvernement impliqué fortement dans le nucléaire (comme la France et les USA) n'est inquiet de ce qui se passe. Au contraire, ils réaffirment, haut et fort, que le nucléaire est irremplaçable, sûr et même bon pour lutter contre le réchauffement climatique… Alors, de quoi nous plaignons-nous ?

À vous de réfléchir à ce qui se passe dans notre monde.
À vous, à présent, d'oser sortir de votre naïveté à propos de la manière dont le monde fonctionne et est dirigé.
Croyez-vous franchement que les médias ont pour mission de nous informer ? Le croyez-vous vraiment ?
Croyez-vous franchement que les industries se préoccupent de notre bien-être, de notre santé, de notre vie ? Le croyez-vous vraiment ?
Croyez-vous franchement que les gouvernements sont là pour défendre les faibles que nous sommes contre les puissants de ce monde ? Le croyez-vous vraiment ?

C'est plus fort que moi. Mais je ne peux pas m'empêcher de faire un parallèle très simple avec l'affaire de la grippe H1N1.
Pour la grippe, il n'y avait aucun danger de pandémie. Des experts, comme le professeur Debré l'ont dit et répété dès juillet 2009. On voyait bien que dans l'hémisphère Sud (en plein hiver entre juin et septembre 2009), il y avait moins de morts que les autres années, malgré le fait qu'ils ne disposaient pas du vaccin salvateur… Malgré l'absence de danger, les médias ont entretenu un climat de peur quotidiennement depuis le 25 avril 2009 jusqu'au 15 décembre 2009 ! Quotidiennement. Avec quoi comme résultat ? 17.000 morts de la grippe en un an (contre 250.000 à 500.000 morts annuels dus à la grippe saisonnière), c'est-à-dire rien du tout !
Pour Fukushima et Fort Calhoun, il y a un vrai danger. Des milliers de kilomètres carrés sont déjà perdus pour des centaines d'années au Japon. Les bébés meurent aux USA, les produits laitiers sont contaminés, des centaines de millions de litres d'eau sont contaminées dans les sous-sols des centrales et dans l'océan. Des particules radioactives sont rejetées dans l'atmosphère en continu depuis trois mois. Que font les médias ? Rien. Ils ne disent rien.
Mon commentaire : pour la grippe H1N1, il fallait que les médias amplifient la peur face à un danger inexistant pour servir les intérêts d'une industrie en perte de vitesse (les compagnies pharmaceutiques). Pour Fukushima et Fort Calhoun, il faut que les médias se taisent face à un danger bien réel pour servir les intérêts d'une industrie en perte de crédibilité et de contrôle (le nucléaire).

Vous voulez un autre parallèle ?
Pour la grippe, l'OMS a abaissé ses critères de seuil de pandémie le 29 avril 2009 (quatre jours après la première alerte). Ce qui lui a permis de déclarer que la pandémie avait atteint le niveau 6 (le plus élevé) le 11 juin 2009, déclenchant automatiquement l'exécution des contrats qui avaient été signés quatre ans auparavant entre les gouvernements et les compagnies pharmaceutiques. Dans ces contrats, il était spécifié que si l'OMS éclarait une pandémie de niveau 6, les gouvernements s'engageaient automatiquement à commander les vaccins pour lutter contre cette pandémie.
Pour Fukushima, l'OMS et les autorités sanitaires ont relevé les seuils acceptables d'irradiation des populations et des travailleurs du nucléaire. Ce qui permet de ne pas être obligé d'ordonner des évacuations massives des populations, puisque ces nouveaux seuils ne sont pas atteints !
Mon commentaire : les notions de seuil biologique et les critères d'acceptabilité ne sont pas déterminés sur base médicale ou biologique, mais bien sur des bases politiques, économiques et financières.

Un dernier parallèle ?
Pour la grippe, les experts qui se sont prononcés en faveur de la vaccination et qui ont défendu la réalité de la pandémie étaient tous payés par les compagnies pharmaceutiques qui fabriquaient les vaccins. Ceux qui se sont prononcés contre la vaccination et qui ont dénoncé la manipulation des chiffres, des faits et de l'information n'avaient rien à gagner, au contraire (je suis bien placé pour en témoigner). Mais ce sont ces derniers qui se sont faits traités de menteurs, de conspirationnistes, de théoriciens du complot, de gourous de sectes, et j'en passe. Jusqu'à ce que quelques équipes de journalistes viennent confirmer ce qu'ils disaient, mais avec six à neuf mois de retard… Quand les caisses des compagnies pharmaceutiques étaient bien remplies et lorsque des milliers de personnes souffraient des effets secondaires du vaccin (décès, paralysies, neurodégénérescences, narcolepsies, malformations cardiaques chez les nouveaux-nés, etc.).
Pour Fukushima, les experts qui prennent la parole pour nous rassurer sur la sécurité du nucléaire, sur l'inocuité des rejets de Fukushima et sur la maîtrise de la situation sont, comme par hasard, tous payés par l'industrie du nucléaire. Ceux qui dépensent leur énergie sans compter pour relayer les quelques informations disponibles dans le monde n'ont rien à gagner, de nouveau. Pourtant, il suffit de se balader quelques minutes sur les forums pour voir comment ils se font agresser par ceux qui refusent de voir. Pendant ce temps-là, les bébés commencent à mourir dans l'Ouest des États-Unis…
Mon commentaire : tout est dit, c'est bien l'argent qui mène le monde.

Si j'en avais le temps, je recommencerais une même analyse approfondie à propos d'autres événements que nous vivons ou que nous avons vécus. Je vous inviterais à réfléchir, par exemple, à ce qui se cache derrière la bactérie E-Coli qui, soi-disant, provoque une hécatombe en Allemagne. Comme pour le virus de la grippe A H1N1, cette bactérie est jugée par les microbiologistes comme une impossibilité naturelle. Pour eux, il est impossible qu'une même bactérie soit résistante aux huit classes principales d'antibiotiques connus. Mais qui pointe-t-on du doigt comme responsable présumé de cette hécatombe (vous m'excuserez, mais 39 morts, ça n'a rien d'une hécatombe) ? Une vilaine exploitation fermière de produits biologiques en Allemagne… OUH les vilains qui cultivent encore à l'ancienne ! Mais ne vous en faites pas, les scientifiques ont déjà la solution : il suffira d'irradier systématiquement tous les aliments (comme beaucoup le sont déjà dans l'industrie agroalimentaire traditionnelle). Ainsi donc : adieu le bio, adieu les aliments vivants. Bienvenue dans le monde du tout chimique, du tout irradié, du tout aseptisé.

Cette fois donc, les médias ont intérêt à amplifier la peur pour servir les intérêts des industries agroalimentaires industrielles, promotrices des OGM et de la phytopharmacie.

Conclusion provisoire

Comme je vous le disais en commençant, ne comptez pas sur moi pour repartir dans un autre combat.
Car ce combat, comme tous les autres (gaz de schiste, hold-up des pays et des populations par les banques privées, chemtrails, terrorisme d'état, pseudo-réchauffement climatique, etc.), est inutile.

Pourquoi ?

Parce que toutes ces choses que nous vivons actuellement sont le symptôme de l'ancien monde qui s'effondre.
La logique du nucléaire est en train de s'effondrer et ne se relèvera pas.
La logique pharmaceutique est en train de s'effonder et ne se relèvera pas.
La logique agroalimentaire est à bout de souffle et ne se relèvera pas non plus.
La logique de concentration financière vit ses dernières heures avant une faillite globale et systémique.
Toutes les logiques fondées sur la préservation des intérêts d'un petit nombre au détriment de l'immense majorité des êtres vivants sur cette planète ont fait du monde un monde pourri.

Le piège dans lequel je me suis pris moi-même fut de croire que ce monde était mon monde. Je croyais que je faisais partie de ce monde, alors qu'il n'en est rien. Je ne partage aucune des valeurs de ce monde-là ; un monde fondé sur l'individualisme, sur la cupidité, sur l'indifférence, sur le cynisme, sur la méchanceté, sur le mensonge, sur la violence, sur l'inconscience. Je ne partage aucune de ces valeurs. Pourtant, je reconnais qu'il y a en moi des zones d'individualisme, de cupidité, de cynisme, de méchanceté, de mensonge, de violence et d'inconscience. Et c'est pour cela qu'un monde pareil peut encore tenir debout, malgré son extrême fragilité.

Depuis que je suis sorti du combat, en janvier 2010, je ne me pose qu'une seule question : COMMENT CRÉER ENSEMBLE UNE MEILLEURE VIE ?
Autrement dit, et si nous laissions ce vieux monde s'effondrer tranquillement, en souhaitant même que les choses s'accélèrent ? Et si nous investissions réellement nos énergies à créer un autre monde. NOTRE monde, celui qui correspond à ce à quoi nous aspirons de tout coeur… Un monde où nous mettrions la conscience au coeur de nos vies, un monde où nous pourrions reconnaître les parts de lumière comme les parts d'ombre qui se trouvent en chacun de nous. Un monde où le respect de la vie, de la nature, de la conscience serait la préoccupation centrale.

En écrivant cela, je suis bien conscient que je n'ai pas de solution concrète à vous partager. Mais sachez que je chemine dans cette voie. J'ai juste l'intuition que ce meilleur monde, c'est ensemble que nous en tracerons les contours et que nous en inventerons les lois. C'est la raison pour laquelle je redouble mes efforts pour incarner dans mon quotidien la voie alchimique, loin de cette dualité BIEN - MAL. J'espère que, vous aussi, vous trouverez la voie qui vous convient pour ne pas vous attacher à ce vieux navire en train de couler et pour sauter, tant qu'il est encore temps.

La seule chose dont je suis certain, c'est que plus nous lâcherons le matérialisme, moins nous subirons les chocs qui nous attendent ces prochains mois. C'est ce à quoi je travaille depuis dix ans maintenant. Je gagne cinq fois moins qu'il y a dix ans, je ne suis plus propriétaire de rien (ni maison, ni voiture), sauf de ma société et de mes ordinateurs, je n'ai plus aucun engagement financier auprès d'aucune institution (j'ai contracté jusqu'à 500.000 euros d'emprunt !). Je me sens prêt et plus léger pour accueillir la vague du changement. Et vous, êtes-vous prêt(e) ?

Restons debout, conscient et sans peur !

Jean-Jacques Crèvecœur
Montréal (Québec)
http://www.jean-jacques-crevecoeur.com

PS : Je vous autorise à reproduire, à diffuser, à traduire, à publier sur vos sites et vos blogs le présent courriel. Merci, simplement, de le publier intégralement et d'en citer la source."

vendredi 24 juin 2011

Coaching & Développement personnel = oser, se dépasser, mais avec du bon sens pour que la vie n'en soit que meilleure...

Chacun de nous a une responsabilité vis à vis de son environnement quand il pose des actes. Il est essentiel de faire la part des choses entre les actes constructifs au service de la Vie et les actes qui nourrissent mes intérêts au dépend de ceux des autres, ceux qui flattent mon petit égo, ceux qui répondent à une compulsion (recherche de pouvoir, de faire de l'argent, etc).

Une vidéo qui est un appel concret au bon sens : n'est-il pas temps d'arrêter l'exploitation et la construction de centrales nucléaires et d'ouvrir les yeux sur le fait qu'elles sont une solution possiblement morbide pour un pays ?
Si elle enrichissent l'économie d'un pays ou démontre une avancée technologique, que reste-t-il de ce pays et de tous ceux qui l'entourent, en terme de vie, en cas de contamination au plutonium???

Quand on pense que le Japon "s'est permis" de construire une 50taine de centrales nucléaires sur un sol où il y a toujours eu tant de tremblements de terre qu'ils ont du mettre au point un système de construction antisismique sur l'île, c'est n'importe quoi... Et maintenant, c'est toute la planète qui trinque...

mardi 14 juin 2011

Coaching & Développement personnel = apprendre à déguster la vie comme on déguste une crème glacée

Avez-vous remarquez comment l'on peut prendre le temps de s’émerveiller devant un coucher de soleil en vacances, de l'autre côté de la planète, alors que l'on peut être quasi insensible à celui qui est chez nous? Qu'est-ce qui nous fait agir de la sorte?

C’est la rareté, bien sûr.
Un réflexe qu'il est bien dommage d'avoir quand on y pense : est-ce le degré d’originalité d’une expérience qui la rend extraordinaire? Ou bien est-ce notre degré de réceptivité et la qualité de l’attention qu’on choisit de lui consacrer?


On peut déguster un simple verre de jus de pomme et en retirer énormément de satisfaction, tout comme on peut s'offrir un super cocktail bien cher sans même le goûter parce qu’on est trop préoccupé. C’est l’état intérieur dans lequel on est qui est délicieux, non pas ce qui est en train de se passer à l’extérieur…

Einstein disait: «Il y a deux manières de vivre notre vie. L’une consiste à penser que rien n’est un miracle, et l’autre, que chaque chose est un miracle.»
S'il est facile de voir le miracle dans le coucher de soleil sous les tropiques, dans la saveur du cocktail somptueux au bord de la piscine d'un 5*, dans tous ces moments "exceptionnels" qui nous entraînent si facilement une fois le moment passé vers de la nostalgie :))), nous pourrions choisir de voir le miracle en tout...

Les moments d’émerveillement qui nous sont offerts sur le plateau d’argent de la vie sont certes extraordinaires (miammm!) et ce serait dommage de ne pas s'en délecter avec délice...
Mais l'astuce, c'est qu'ils ont pour le moins autant de valeur que ceux que nous nous sommes nous-mêmes créés en portant une attention spéciale à ce qui est en train de se passer.
Imaginez le plaisir dès lors que l'on sait profiter et additionner les 2!!! :))))

C’est l’"Attitude Crème Glacée» :)))) : la volonté de goûter le moment présent avant qu’il ne fonde et soit hors de portée... Le déclic qui nous amène à cesser de courir et à déguster chaque bouchée... ;)))

mercredi 8 juin 2011

Coaching & Développement personnel = développer la part saine de soi

"Il a beaucoup fait pour le monde celui qui n'y laisse aucune trace de ses blessures, de ses souffrances et de ses ressentiments."

Rabbi CHARTER, cité par Christiane SINGER

mardi 10 mai 2011

COACHING - Le développement personnel, c'est quoi?


"Passer de la survie à la Vie,
de l’identité à la Relation,
de l’évolution à la Transformation"...

(Maria Verhulst, prof de Biodanza)

A méditer :)))

samedi 7 mai 2011

COACHING : lutte contre MANIPULTION MENTALE ou DESACCORD RADICAL de la différence et PEUR DU CHANGEMENT?

Nouvelles spiritualités et pratiques non conventionnelles : pour ou contre?

La dimension spirituelle fait peur car c’est une dimension d’inconnue et d’ouverture radicale. Une même démarche pourra être vue comme un engagement légitime et important par les uns et comme le résultat d’une manipulation par les autres. L’écrivain Gilles Farcet témoigne de sa compréhension des “nouvelles spiritualités”. Interview par le CICNS.


Là où il y a la compréhension, la peur diminue.
Là où il y a la non compréhension, la peur, l'agressivité, le rejet, l'intégrisme augmentent...
Prendre le temps de comprendre, de s'informer, d'examiner, regarder, réfléchir, plutôt que de juger, trancher, se suffire de quelques slogans.

"La Compréhension est un travail, la Peur est une paresse..."

mercredi 4 mai 2011

COACHING & AMOUR DE SOI

Un texte magnifique que m'a transmis mon ami Marco...

"Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.
Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter. Du chaos naissent les étoiles.
Charlie"

jeudi 28 avril 2011

Le PRINCIPE BIOCENTRIQUE de Rolando TORO- Mettre la vie au centre de l'univers...

Du bonheur pour les yeux...
Une magnifique vidéo qui nous rappelle la diversité inouïe de notre planète :)))
Profitons-en et protégeons-la du mieux qu'on le peut, chacun.



Avant, les érudits pensait que la Terre était au centre de l'Univers ("Principe Géocentrique"), puis Copernic a pensé que c'était le Soleil qui était au centre de l'Univers ("Principe Héliocentrique"), puis Theillam a pensé que c'était l'Homme au centre de l'Univers ("Principe Anthropocentrique"). Les Principes sont importants dans la mesure où ils ordonnent toute la culture et influencent nos décisions au quotidien.

Il est clair que le Principe Anthropocentrique a entraîné l'avènement de progrès magistraux pour le confort de chacun de nous (à commencer par la machine à laver, le frigo, la voiture...). Mais il y a un revers de la médaille dont on commence à subir les effets : dans la mesure où ces progrès n'ont pas été mis au service de la vie, mais uniquement de l'individu, ces progrès ont entrainé dans leur sillon la création des plus grandes pathologies sociales des sociétés industrielles d'aujourd'hui : la pollution, l'égocentrisme, la dépression, le stress et la solitude...

L’idée fondamentale du Principe Biocentrique que propose Rolando Toro est que "le bien" consiste à préserver la vie, à la favoriser, à l’amener à sa valeur la plus élevée (ie veiller à faire des choix et adopter des comportements "pro-vie") et que "le mal" consiste à annihiler la vie, à la blesser, à l’empêcher de fleurir (ie adopter des comportements et prendre des décisions anti-vie).

mardi 12 avril 2011

BIODANZA - Reprendre contact avec les gestes qui font partie du patrimoine de l'humanité, à travers des mouvements habités et vivants



Hélène Lévy Benseft, professeur facilitatrice de Biodanza, directrice de l'école de Biodanza Rolando Toro Méditérannée, nous parle de la Biodanza. Qu'est-ce que la Biodanza.

lundi 4 avril 2011

En avant pour la 3ème révolution! :)

Par Fred Vargas, Archéologue et écrivain

Nous y voilà, nous y sommes.

Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l'incurie de l'humanité, nous y sommes. Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l'homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu'elle lui fait mal.

Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d'insouciance (ndlr : ou telle notre belle vielle fourmi à qui nous prêtons nos qualités de sérieux et prévision... voire de convoitise et d'exploitation), nous avons chanté, dansé. Quand je dis « nous », entendons un quart de l'humanité tandis que le reste était à la peine. Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l'eau, nos fumées dans l'air, nous avons conduit trois voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones, franchement on peut dire qu'on s'est bien amusés.

On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des espèces vivantes, faire péter l'atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu. Franchement on s'est marrés. Franchement on a bien profité. Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu'il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de biner des pommes de terre. Certes.

Mais nous y sommes. A la Troisième Révolution. Qui a ceci de très différent des deux premières (la Révolution néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu'on ne l'a pas choisie. « On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins. Oui. On n'a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis. C'est la mère Nature qui l'a décidé, après nous avoir aimablement laissés jouer avec elle depuis des décennies. La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets. De pétrole, de gaz, d'uranium, d'air, d'eau. Son ultimatum est clair et sans pitié : Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l'exception des fourmis et des araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d'ailleurs peu portées sur la danse). Sauvez-moi ou crevez avec moi

Évidemment, dit comme ça, on comprend qu'on n'a pas le choix, on s'exécute illico et, même, si on a le temps, on s'excuse, affolés et honteux. D'aucuns, un brin rêveurs, tentent d'obtenir un délai, de s'amuser encore avec la croissance. Peine perdue.

Il y a du boulot, plus que l'humanité n'en eut jamais.

Nettoyer le ciel, laver l'eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l'avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où il est, attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce charbon tranquille récupérer le crottin, pisser dans les champs (pour le phosphore, on n'en a plus, on a tout pris dans les mines, on s'est quand même bien marrés).

S'efforcer. Réfléchir, même.

Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire.

Avec le voisin, avec l'Europe, avec le monde.

Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.

Pas d'échappatoire, allons-y.

Encore qu'il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l'ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante. Qui n'empêche en rien de danser le soir venu, ce n'est pas incompatible.

A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie une autre des grandes spécialités de l'homme, sa plus aboutie peut-être.

A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution.

A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore.

Fred Vargas

lundi 21 mars 2011

COACHING - lâcher l'illusion de contrôle et de toute puissance

Voici un texte qui m'a beaucoup touchée. Je ne sais pas de qui il est...

"Axe planétaire & Axe corporel - Il était une fois la chute...

Toutes les traditions des peuples de la Terre nous parlent de la chute de l’humanité. Chaque peuple illustre cet évènement avec des images et des couleurs diverses et variées, tantôt sombres et tristes, tantôt lumineuses et porteuses d’espoir. Les mythes, mystères et légendes trouvent leur place dans ces récits et chacun est ainsi libre de se positionner par rapport à leur contenu. L’époque dans laquelle nous vivons est particulièrement intéressante puisqu’elle apparaît comme un carrefour où semblent se rejoindre plus ou moins joyeusement tous les courants de pensée. La multitude d’informations qui nous traverse à chaque instant est telle qu’il est impossible de se défendre de tel ou tel courant, puisqu’avec un minimum d’honnêteté vis à vis de soi-même chacun se reconnaît au moins un peu dans chaque courant.
Il n’est donc pas question de savoir quelle est la tradition la plus proche de la vérité puisque la vérité est celle de chaque instant.
Toutes les théories ou explications, toutes les hypothèses scientifiques et tous les courants spirituels quels qu’ils soient sont valables et TOUS sans exception sont amenés à mourir tôt ou tard.
Refuser cette mort, c’est refuser le mouvement de la vraie vie, c’est se figer dans des acquis qui confortent ce que nous croyons être nos têtes et dessèchent nos cœurs.

Cette mort n’est pas celle que nous croyons car en fait nous ne savons pas ce que signifie mourir. C’est d’ailleurs ce vide intérieur qui nous pousse à chercher, expérimenter, spéculer dans le seul but de nous prolonger ne serait-ce qu’un tout petit peu ! Mais prolonger qui en nous ????
Le refus individuel de cet état de mort en nous pousse la conscience collective à extérioriser ce fléau par vagues de catastrophes. Tsunamis, inondations, tremblements de terre, ouragans, incendies font des ravages et secouent notre planète. Certains périssent et emportent avec eux les vestiges d’un avant, d’autres restent et posent les bases d’un après.

Quoiqu’il en soit, dans ce genre de catastrophe, chacun d’entre nous, de proche ou de loin, vit une expérience marquante et profonde car ce passage de l’avant à l’après catastrophe implique un pendant. Aussi court soit ce «pendant», il nous relie à des états de conscience précieux et inattendus car non suscités par le mental. Selon nous, ces «catastrophes naturelles» réveillent les mémoires de la chute, quels que soient les évènements extérieurs qui les déclenchent.

L’axe terrestre est toujours impliqué, il est le garde fou de la conscience de l’avant catastrophe. Quand il se décale, il signe un saut de conscience, un pas de l’avant à l’après. Le mot «décalage» traduit à la fois la perturbation de l’avant et le nouvel ordre de l’après. Ce qui s’emboitait avant à tel endroit ne s’emboite plus pareil après mais cela implique aussi des calages pour l’après.

L’important n’est donc pas ce qu’il y avait avant, ni ce qui sera après mais ce qui se vit pendant. Car ce qui subsiste dans l’être et se manifeste lors du passage de l’avant à l’après révèle ses aspects impérissables alors que l’avant meure et que l’après ne vit pas encore.

Le "pendant" équilibre l’"avant" et l’"après", il les contient d’ailleurs en germe; il est un état troublant qui réveille la conscience endormie blottie dans les trous noirs de l’âme. Et si nous n’avions jamais chuté ? Chut, on dort !

Tout déplacement de l’axe terrestre, aussi infime soit-il, fait basculer l’ensemble de l’humanité dans un désordre chaotique sans nom, ne laissant que vide et souffrance dans son sillage. Quel autre choix avons-nous que de subir une telle dévastation ? Aucun. Sur le plan extérieur, ce désordre n’a pas d’autre solution que d’être subi.

C’est justement sur la base de cet insoluble collectif qui fait froid dans le dos que la conscience, et elle seule, peut se retourner et «utiliser» cet influx catastrophique démesuré pour aller dénicher des informations fondamentales, d’ordre ontologique. Ce retournement est le passage du désordre au pré-ordre, véritable signification du mot «chaos».

De ce point de vue, toutes les informations en provenance du monde extérieur trouvent leur écho dans l’intériorité de chaque être: elles ne sont ni bonnes, ni mauvaises, elles sont."

mercredi 16 mars 2011

DEVELOPPEMENT PERSONNEL - Merci pour les cadeaux de la vie!



J'ai envie d'ajouter ceci à la vidéo :
Plus on se maîtrise et possède le juste discernement de "ce qui est à soi" et de ce qui ne l'est pas, plus on lâche nos exigences par rapport à ce que l'on attend de la vie, plus on se trouve au-dessus des circonstances et des conditions qui peuvent sembler gouverner et asservir la vie. En changeant notre perception des événements, en voyant le cadeau que chacune de nos expériences (faciles ou difficiles) offrent, nous pouvons agir sur notre état d'âme et les états d'âme autour de nous et donc sur l'orientation finale des évènements. Ainsi une situation catastrophique peut devenir bénéfique.

"Celui qui ne convoite pas ce qui ne lui appartient pas est libre. Il a trouvé l'essentiel en lui et il en prend soin."

A réfléchir...