mercredi 31 octobre 2007

Claudia Rainville : Relation à l'argent

Dans son séminaire du 18/10/2007, Claudia Rainville nous a parlé de la peur du manque d'argent -> "Du bonheur", moi ça m'a donné un nouveau regard sur ce moyen d'échange "qui fait tourner le monde"...

Qu'est-ce que l'on met derrière la notion d'argent???
Qu'est-ce que nos parents nous ont transmis / nous ont dit de l'argent?
Quelle influence ça a eu sur ma vie?
Quels comportements avaient-ils vis à vis de l'argent?
La proposition est d'aller voir ce que l'on met derrière l'argent / le matériel :
Argent = pas d'amour? (compensation matérielle du manque d'attention)
Argent = culpabilité? (il y en a qui meurent de faim)
Argent = valeur de l'individu? (je suis riche, j'ai de la valeur / je suis pauvre, je ne vaut rien)
Argent = pouvoir? (privilège, tout s'achète)
Argent = effort ("je ne l'ai pas volé !", "gagner sa vie")? etc...

Si je dis que l'argent ou le matériel n'est pas important pour moi, ce n'est peut-être pas si étonnant que je ne sois important pour l'argent non plus (= je me refuse - inconsciemment ? - d'en avoir) !!!! :-/
La loi de l'abondance ne commencerait-elle pas par la loi de l'appréciation? J'attire ce que j'apprécie, je perds/ne veut pas ce que je dénigre?
Et si on faisait de l'argent/du matériel un ami ?
Si on changeait "l'équation", comme dit Claudia Rainville ?
Matériel = confort
Argent = moyen de m'offrir des plaisirs et de partager avec les autres, = permet de voir + large, d'avoir du recul et d'aider davantage, = rend libre et rend les autres libres ???
A méditer...

Le lâcher prise = détachement

Devoir lâcher prise, c'est parfois aussi difficile que de sauter à l'élastique...
Plutôt que le terme de "lâcher prise", je lui préfère de concept de "détachement"...


Parce qu'il permet bien de faire la différence entre lâcher prise et renoncer.
Renoncer, c'est essayer d'étouffer un désir ou une attente. Mais comme un ballon que l'on enfoncerait dans l'eau, plus on essaie de renoncer, plus on donne de la force à ce désir, cette attente -> obsessions, frustrations !!!! :-/

Le détachement, lui, passe par la satisfaction - jusqu'à écoeurement ???? (voir pour le chocolat !!!) :-) de nos désirs, de ce dont on veut se détacher. Car on a plus facile d'être détaché(e) de ce qu'on a eu, que de ce qu'on a pas eu !!!!

Les étapes pour se détacher :
  • transformons nos désirs et attentes en termes de besoins non satisfaits,

  • vérifions s'ils n'ont/ne sont effectivement pas satisfaits d'une autre manière,

  • et décidons alors des actions à mettre en place pour les satisfaire... de 1001 autres manières !!!!

  • Donnons-nous le meilleur et goûtons à la joie dans ces 1001 manières de les satisfaire !
Et c'est marrant, avez-vous remarqué comme c'est une fois qu'on est détaché(e) (ex: de la nécessité d'être aimé d'une personne, de posséder un bien matériel, d'avoir de l'argent...) que ce que l'on attendait si fort arrive d'une manière ou d'une autre, naturellement, comme par enchantement !!!

Pas belle, la vie ???
:-)

lundi 29 octobre 2007

17 et 18 novembre : Séminaire de développement personnel à Wavre

Axé sur le quotidien, ce séminaire donne des clés pour (re)prendre son destin en main, comprendre son fonctionnement, détricoter ce qui sous-tend les tensions relationnelles, (re)construire l’estime de soi et prendre sa place.

INFOS PRATIQUES

Joëlle Huaux : Maître Praticienne en PNL - Life coaching et business coaching, thérapie brève.
Technique de développement personnel créé sur base de la PNL, CNV, Intelligence Emotionnelle et Ecoute Active.
Adresse : av. du centre sportif 59/99 - 1300 Wavre (Parkings aisés)
Participants : 10 à 12 personnes



Participation : 150.00€ TVAC/ 2 jours
Inscriptions : 0476/ 67 16 16, sur le site http://www.joellehuaux.be/ ou via ce blog.

jeudi 25 octobre 2007

COACH: 11 qualifications essentielles !!!!

Les 11 qualifications essentielles pour exercer le coaching, selon le processus d’accréditation de l’International Coach Federation :

A. Etablir les fondations

1. Respecter les directives éthiques et les normes professionnelles. Comprendre les normes éthiques du coaching pour les appliquer de façon appropriée dans toutes les situations.

2. Etablir le contrat de coaching. Comprendre ce qui est exigé dans une interaction spécifique de coaching et se mettre d’accord avec le nouveau client sur les procédures et la relation de coaching.

B. Cocréer la relation avec le client.

3. Construire un climat fondé sur la confiance et l’intimité. Savoir créer un environnement instaurant respect mutuel et confiance continue.

4. Faire vivre une relation de qualité : présence et rayonnement. Etre pleinement présent et créer une relation spontanée avec le client, avec un style de communication ouvert, flexible et rassurant.

C. Communiquer avec impact
5. Ecouter avec attention. Savoir se focaliser sur ce que le client dit et ne dit pas afin de comprendre le sens véritable de ce qu’il dit lorsqu’il parle de ses désirs et favoriser l’expression personnelle du client.

6. Poser des questions fortes ayant du sens. Poser des questions qui permettent de révéler les informations nécessaires pour profiter au maximum de la relation de coaching et en faire bénéficier le client.

7. Pratiquer une communication directe et indirecte. Communiquer efficacement pendant les séances de coaching et utiliser un langage ayant l’impact positif le plus fort possible sur le client.

D. "Apprendre à apprendre" à réussir

8. Enrichir et ouvrir le champ de conscience. Etre capable d’intégrer et d’évaluer avce précision les sources multiples d’informations et présenter des suggestions qui aident le client à atteindre les résultats fixés.

9. Dessiner les actions à entreprendre. Cocréer des opportunités d’apprentissage continu, pendant les séances de coaching et les situations quotidiennes, afin d’entreprendre de nouvelles actions qui génèreront le plus efficacement possible les résultats souhaités.

10. Planifier et établir des objectifs. Etre capable de développer avec le client une démarche de coaching efficace.

11. Gérer les progrès et la responsabilité. Etre capable de centrer son attention sur ce qui est important pour le client et le laisser assumer la responsabilité de ses actions.

mardi 23 octobre 2007

Quelques postures d’accompagnement...

Difficile de s'y retrouver dans tous les accompagnements à disposition aujourd'hui !!! Et pourtant, mieux vaut savoir ce que l'on cherche et ce que l'on peut attendre de la personne à qui on s'adresse...

  • Conseil : Délibération, ouverture des choix, décision, projet, orientation, avis.

  • Coaching : Efficacité, efficience, performance, excellence, réussite, projet personnel, agir (non-agir).

  • Pratique « thérapeutique » : Aide, soin, questionnement, compréhension, (re) construction identitaire, contact, relation.

  • Tutorat : Production, conformité, adaptation, insertion, formation, encadrement, apprentissage.

  • Mentorat : Orientation, projet actualisation de soi, guidance, transmission, filiation, protection.

  • Counseling : Orientation, guidance, développement, adaptation, maturation, actualisation, construction identitaire.

... Voilà de quoi bien choisir son a ccompagnement ! :-)

lundi 22 octobre 2007

Colère ou violence?

L'intelligence émotionnelle permet de faire la différence !!!!
Selon l'intelligence émotionnelle, la colère permet de respecter notre intégrité, de nous protéger, de nous réparer des "blessures" que l'autre nous fait. La colère n'est pas une hyper-reaction : pas besoin de grands gestes. Elle permet d'exprimer nos limites, de "nous remettre droit". La colère est un magnifique moteur du changement quand on prend le temps d'écouter les frustrations qui l'ont entraînée. Quand la colère n'est pas accueillie ou entendue, elle fait place à un comportement "exagéré", à une hyper-réaction.

La colère impuissante se transforme en rage, elle entraîne la violence (tournée vers soi et/ou vers l'autre).
La violence est une agression, c'est être "hors de soi". Et là : c'est chaud cacao !!!! :-/ Mais pas de panique : c'est là qu'il y a une bonne nouvelle ! Quand on est face à un comportement "exagéré", à une hyper-réaction, c'est que l'autre (ou soi) a besoin de quelque chose !!!!!
Le problème n'est pas d'avoir été blessé, mais de s'obliger à (r)avaler, digérer, de ne pas s'autoriser à mettre de mots sur cette souffrance.

Pour reprendre le pouvoir sur soi et ne pas se mettre sous l'emprise des événements, des autres (et rentrer dans la spirale infernale "victime-bourreau-sauveur"), il est important d'écouter les frustrations, ce qui est blessé chez soi/chez l'autre. Une fois l'info prise/partagée, on peut lâcher l'émotion.

Yeeeeepeeeee ! C'est vraiment, l'intelligence émotionnelle !!!

vendredi 19 octobre 2007

Système de croyances ou monde réel ???

LES CROYANCES FONT NOTRE REALITE.
Pour fonctionner dans le monde de la matière, l'être humain utilise son mental avec lequel il prend des décisions. Ces décisions sont basées sur son "système de croyances".

Au cours de notre enfance (déjà in utéro?!), nous avons interprété tout ce qui nous arrivait. Il nous a fallut échafauder des hypothèses à propos de la réalité pour établir nos repères, s'adapter, vivre ou "survivre"
ex:
bb: si je veux qu'on ne m'abandonne pas, il faut que je souris / que je fasse "agueuuu agueuuu"
petite fille : si je veux qu’on m’aime, alors il faut que je sois bien gentille
petit garçon : si je veux avoir ma place, il faut que je sois le premier de ma classe / que je sois fort, etc.
Ces hypothèses ont constitué petit à petit nos critères de décision, notre système de croyances (à propos de soi, des autres et du monde).
Ces croyances élaborées, ces interprétations de nos expériences vécues au cours de notre enfance peuvent être erronées. Elles créent donc la plupart du temps des conflits et des frustrations. Par exemple: si je suis bien gentille pour être aimée, mon besoin d’Amour va être satisfait mais au détriment de mon besoin de Liberté, c’est-à-dire d’exister telle que je suis vraiment.
Or, ces croyances, nous avons rarement remis leur validité en question, et elles ont donc à notre insu dans notre conscience pris le statut de “vérités”.
Et, sur la base de croyances erronées, nous ne pouvons évidemment prendre que des décisions elles-mêmes erronées, c’est-à-dire inutiles, voire nocives en ce qui concerne notre équilibre et notre bonheur.

Résultat: un sentiment d’insatisfaction, une perte de motivation et l’impression que la vie n’a pas beaucoup de sens. Il est donc nécessaire de “faire le ménage” dans notre système de croyances pour devenir capable de prendre des décisions justes qui tiennent enfin compte de tous nos besoins fondamentaux et de notre potentiel. Si parfois des croyances nous boostent, parfois certaines nous bloquent... c'est alors qu'il y a un réajustement à faire... Et cela peut se faire à tout âge !!!!

mercredi 17 octobre 2007

Coaching : changer, un engagement perso !!!

J'adore cette petite animation. Elle illustre bien le "développement personnel" que demande tout coaching pour accéder à un nouveau potentiel...


http://alanbecker.deviantart.com/art/Animator-vs-Animation-34244097



Prendre conscience de ses croyances bloquantes, figeantes ou limitantes... ahhhh ...
... mais que fait-on quand on a trouvé le "chemin de libération" ?
Et si on préfère garder son problème bien connu ? Ah que c'est compliqué de changer...





On change quand l'inconfort devient plus lourd que les bénéfices secondaires du non changement... (ex: Il est parfois bon d'être victime. Confondre "être sauvé = être aimé" / "sauver = aimer" est un piège dans lequel on se jette souvent !!!)


Changement = inconfort x projet x vision

Tant qu'il n'y a pas de réel inconfort, il n'y a pas de changement,
S'il n'y a pas de projet, il n'y a pas suffisamment de motivation au changement,
Tant que l'on ne sait pas comment s'y prendre (= vision), il n'y a pas de changement...


Que faut-il travailler????

Le coaching demande un investissement personnel.
C'est un réel engagement de soi à soi que de prendre conscience de ses shémas limitants, de les repérer dans la vie courante et de choisir de ne plus se laisser "haper", partir en vrille et faire de la poussière...

:-)

mardi 16 octobre 2007

Rapport parents - enfants : une conférence à Huy le 27 novembre !!!

« Tous les parents du monde devraient rêver que leur enfant devienne un jour un navigateur solitaire, signe qu’ils ont tenu leur rôle, avec suffisamment de bienveillance et de distance pour l’aider à trouver le chemin de l’indépendance ».

Marcel Rufo est pédopsychiatre et un des plus grands spécialistes de l'enfance et de l'adolescence et tout spécialement des rapports parents-enfant.

Il est l’auteur de nombreux ouvrages connus comme « Si bébé pouvait parler », « Comprendre l’adolescent », « Œdipe toi-même », « Frères et sœurs, une maladie d’amour », « Tout ce que vous ne devriez jamais savoir sur la sexualité de vos enfants », « Détache-moi » et enfin en octobre, il sort « "La vie en désordre, Voyage en adolescence"

A vos agendas: conférence-débat du Professeur Marcel Rufo le mardi 27 novembre 2007 à 20h à Huy au CAF.
Le thème de la soirée portera sur les liens parent-enfants de la naissance à l’âge adulte, sur l’importance du lien et corollairement sur le fait de laisser peu à peu son enfant se séparer de soi pour qu’il puisse grandir et atteindre petit à petit de nouveaux horizons.

Entrée : 5 € - Contact : - UFAPEC (Union des Fédérations des Associations de Parents de l’Enseignement Catholique), Dominique Houssonloge, 02 230 75 25 - http://www.ufapec.be/ - E-mail : info@ufapec.be

vendredi 12 octobre 2007

Métamédecine : stage "ados" pendant les congés de la toussaint !

Juste pour vous prévenir... A vos agenda !!! Le mercredi 17 octobre à 20h à Namur, pour les adolescents et leurs parents : soirée d’information gratuite pour présenter le stage de 3 jours en résidentiel durant les congés de la Toussaint :

« Je me crée une vie formidable »

Pour les jeunes de 12 ans à 17 ans : un séminaire exceptionnel de la Métamédecine créé par Claudia Rainville.

Renseignements et inscriptions : Martine Dussart : 0479/705.804 - 081/74.38.10
E-mail : martinedussart@gmail.com
http://www.metamedecine.be/

jeudi 11 octobre 2007

Coaching parental : de l'Enfant Roi à l'Enfant Chef... de l'Enfant Chef à l'Enfant Tyran ???

Tiens donc... J'en parlais il y a quelque semaines, la Libre en fait un article... Ouf !!!! Vive les prises de conscience !!!! :-)

J'extrais pour vous les passages qui me touchent le plus, mais si le sujet vous intéresse, aller lire "Papa, je vais le dire à maman", ou la destitution des pères de Diane DRORY, psychanaliste. Mis en ligne le 10/10/2007 sur http://www.lalibre.be/article.phtmlid=11&subid=118&art_id=375800

"Affiches massives le long des autoroutes, spot publicitaire à la Une, oui, le ton est donné, on officialise l'autorité enfantine : "Papa, mets ta ceinture ou je vais le dire à maman." (...)Force est de constater que le rôle des générations s'y retrouve raboté, voire même inversé.

(...) l'enfant, qui, depuis les années septante, avait acquis pas à pas le grade d'Enfant Roi, se voit adouber du devoir d'être un Enfant Chef. (...) Dans un premier temps, le jeune passager sourit et jubile d'avoir à tenir son chauffeur bien à l'oeil. Il n'empêche, la ceinture de sécurité, ce n'est pas pour rigoler. (...) Imaginez une seconde qu'un papa soit blessé dans un accident, parce que son fils aurait oublié de le sommer de mettre sa ceinture ? Voilà de quoi semer, dans les âmes enfantines, de solides graines d'angoisse, des pousses de responsabilité et éventuellement des fruits de culpabilité. (...) Surtout qu'il est plutôt mal barré en ce qui concerne la sanction. Que faire si papa n'obéit pas ? Puisqu'il y a pas moyen de l'interdire de sortie ou de lui supprimer son argent de poche, il ne reste qu'à aller le dénoncer au chef suprême : maman.

(...) Se voir considérer comme l'équivalent, voire le supérieur d'un parent, malgré que cela puisse se révéler gratifiant pour l'amour-propre de l'enfant, est un rôle lourd à porter.

(...) nous constatons une inversion de parentalité : l'enfant est devenu le parent et le parent est devenu l'enfant. Ce type de situation fragilise l'enfant dans sa construction psychique, car au lieu de se centrer sur lui pour se développer, son attention se focalise sur la protection et le contrôle d'éléments et de personnes extérieurs à lui. La parentalisation, aussi appelée adultisation, est un piège qui empêche l'enfant de trouver sa place dans la hiérarchie des générations. Il y a mélange des genres, mélange des places, mélange des rôles, ce qui incite l'enfant à croire qu'il est un partenaire à part égale, que la société d'aujourd'hui souhaite annuler les différences générationnelles.

Les enfants n'auraient-ils plus droit à l'insouciance ?
N'est-ce pas le rôle des adultes de guider l'enfant et non pas l'enfant de soutenir l'adulte ?
Alors que se multiplient les commissions en tous genres pour la protection de l'enfance, pour favoriser la bientraitance, il est étonnant de voir les instances publiques cautionner l'alliance de l'enfant avec un parent pour mettre l'autre parent au pas.
Rappelons qu'en infantilisant un parent au détriment de la relation de couple, on active les fantasmes oedipiens qui désirent pouvoir faire main basse sur le parent du sexe opposé.
En faisant alliance avec un des parents, l'enfant s'ampute du lien parental que peut offrir l'autre parent.
"Je vais le dire à..." Faut-il éduquer à la délation ?
Et puis, tous les parents sont-ils prêts à obéir à leur progéniture ?
Est-ce à des enfants pas encore pubères de faire la leçon, de donner des ordres, de pointer à l'adulte les comportements adéquats à avoir ?
N'est-il pas temps d'endiguer cette mode qui considère les parents, et surtout les pères, comme des irresponsables ?

(...) Une publicité si peu gratifiante à l'égard des pères ne les rassure pas dans le droit d'être des chefs de file. Ce n'est pas la première du genre et finalement nos regards d'adultes s'habituent et banalisent. Mais les enfants, eux, sont attentifs à notre monde d'adulte et à tout ce qu'il leur transmet. Leur asséner moins de messages paradoxaux, c'est les respecter dans leur désir de comprendre, de donner un sens et une place à ce qu'ils vivent quotidiennement. (...)

Sans doute, faudrait-il être attentif, dans les messages sociétaux qui circulent vis-à-vis des enfants, à un peu plus de cohérence et penser à réfléchir aux effets que peuvent produire, à un second degré, des publicités adultisant les enfants".

Et je rajouterais que de l'Enfant Roi à l'Enfant Chef, puis à l'Enfant Tyran, il n'y a qu'un pas...

mercredi 10 octobre 2007

Le lâcher prise: à méditer...

Extrait du portail du réseau international COHESION : http://www.cohesion-int.com/pages/boutique/ecard.php
"NE VOUS PRECIPITEZ PAS DANS L'ACTION.
OUVREZ-VOUS TRANQUILLEMENT A L'INSTANT. LAISSEZ VOUS PORTER ET AGIR POUR LUI.
ALORS VOUS VIVREZ PLEINEMENT ET UTILEMENT.
L'absence de lutte est liberté..."

lundi 8 octobre 2007

Les intentions - bonnes ou mauvaises - créent des attentes !


En tant que coach ou thérapeute, il est essentiel de travailler sur l'honnêteté envers soi-même, de prendre conscience à quel point nous sommes sans cesse en train de vouloir un résultat, et donc de limiter notre écoute.


Quelle différence entre un accueil avec et sans intention !!!!!

Bonnes ou mauvaises, les intentions entraînent des attentes...
Et attention aux attentes qui sont parfois des attentats !!!!

samedi 6 octobre 2007

Un besoin entendu = en partie satisfait !!!!


Faites l'exercice! Pas évident car il faut évidemment bien définir le besoin universel (voir billet sur les besoins en CNV plus bas).

!!!!!!! derrière un besoin, il s'en cache souvent un/des autre(s) !!!!!

(besoin qu'on ne s'autorise pas toujours de ressentir parce qu'on le(s) juge honteux, négatif(s), non valable(s) ou pas légitime(s)).


Or, pour rappel, un besoin est universel :
  • il n'est ni positif, ni négatif,
  • partagé par tous les être humains,
  • il n'est ni attaché à une personne, ni à un contexte, ni à un objet,
  • il n'est pas stratégique !!!
  • Et il y a 1001 manière de le satisfaire....



La première manière de satisfaire un besoin, c'est de l'entendre, de lui donner une place !!!




C'est peut-être ce que dit le conte de la grenouille ensorcelée (besoin d'être aimé non satisfait ?) et de la Princesse qui peut lui redonner figure de prince en l'embrassant ? Pffffffffffffff !!! Qu'est-ce qu'on peut être épouvantable tant qu'on entend pas nos besoins!!!!!!

Bizzzzzzzzzzzzzzzzzouuuuuuuuuuu !


:-)

jeudi 4 octobre 2007

Encore un site belge de référence en CNV






Coucou! Je vous propose d'aller faire un tour sur le site de mon amie Christiane Goffard qui est formatrice certifiée en Communication Non Violente et qui a une asbl à Couvin (Belgique) http://www.eauxvivesasbl.be/Accueil.php



Vous y trouverez des informations sur la Communication NonViolente, mais aussi sur les formations de Peter Koenig "Libérez votre relation à l'argent pour libérer votre vie".

Il parraît qu'il est génial, je pense m'inscrire... 2 choix :
  • week-end des 1er et 2 décembre 07 : Formation à la relation à l'argent accessible à tous.

  • vendredi 1er et samedi 2 février 08 ET vendredi 29 février et samedi 1er mars 08 : Formation à la relation à l'argent pour professionnels (consultants, coachs, banquiers, patrons, formateurs, thérapeutes, psychologues, médiateurs, écoutants, conseils en management d'entreprises...)

Selon moi, la CNV est maîtresse dans l'art de définir ce qu'est un besoin (voir un de mes billets plus bas dans ce blog)... Et une des grosses découvertes pour moi en CNV a été de prendre conscience que tant le temps que l'argent ne sont pas des besoins !!!!

Peter Koenig nous propose d'aller voir ce que signifie pour nous l'argent, quel(s) besoin(s) se cachent derrière notre "besoin d'argent"... Quelques extraits du blog de Peter Koenig http://peterkoenig.typepad.com/fr/

"(...) J’ai créé une compagnie qui offrait des formations reliées à mes nouvelles valeurs. Bien que nous offrions un excellent produit, nous avions toujours des problèmes d’argent. J’ai compris que le problème devait se trouver dans ma relation avec l’argent (...).



«Qu’est-ce que l’argent pour vous?» Si on pose la question à 50 personnes, on obtient 50 réponses différentes. Il est très clair pour moi que l’argent est un écran sur lequel on projette des facettes très intimes de soi-même, donc très spirituelles.



Faisons l’exercice: Qu’est-ce que l’argent pour vous?
Pour moi, l’argent, c’est la liberté. La liberté...
Mais vous êtes libre à l’intérieur de vous, avec ou sans argent! Vous avez donc projeté la partie de vous-même qui est libre sur ce bout de papier qu’est l’argent. Ce n’est qu’un exemple très simple, mais pendant les ateliers, les gens reconnaissent le pouvoir qu’ils accordent à l’argent, et peuvent ainsi se réapproprier leur propre pouvoir".



Pas mal, pas mal, comme piste, hein?



:-)



Petite note: l'asbl "Eaux Vives" de Christiane Goffard (région de Couvin, province de Namur, Belgique) vise depuis 2003 à contribuer à la qualité des relations avec soi et avec les autres en proposant, notamment, des formations qui permettent des prises de conscience et offrent des outils de développement personnel et d'intégration.
tel : 00 32 60 34 61 43 - christiane.goffard@eauxvivesasbl.be

mercredi 3 octobre 2007

Claudia RAINVILLE donne un séminaire ce 18 octobre 2007 à Eghezée

Pour rappel, Claudia RAINVILLE donnera un séminaire ce 18 octobre prochain, et c'est chez nous, à Namur.

Voici le thème du séminaire.

« Comment se libérer de la peur du manque… d'argent. »

Qu'est ce que l'argent représente pour vous?
Quel sont les souvenirs qui s'y rattachent dans votre mémoire émotionnelle?
Etes-vous le maître de votre vie ou est-ce l'argent qui dicte vos décision?
Et si l'argent n'était que de l'énergie?
De l'énergie parfois bloquée que l'on peut apprendre à faire circuler! Découvrez comment vous libérer de la peur d'en manquer !
Et plus encore comment l'attirer à soi!

Réservez dès maintenant auprès de Mariella Pilato pour le séminaire au 00 32 (0)71/ 51 74 90 ou par GSM au0479/ 34 48 51. mariella.pilato@gmail.com