La créativité n’est pas seulement dans l’aspect artistique mais dans
tous les aspects de notre vie quotidienne.
La créativité
existentielle c’est donner forme à notre vie selon nos propres besoins et en
empathie avec les autres et l’univers.
C'est avec grand plaisir que nous vous invitons à notre weekend "Créativité Existentielle" ou nous allierons la Biodanza, l'expression créative et la peinture intuitive...
Ce stage aura lieu du 5 au 7 juillet 2013 au Moulin d'Hermeton, un endroit magique entouré de bois, de collines, d'une rivière...
Un stage pour se connecter à notre essence, à nos instincts pour sentir quel est notre motivation profonde à vivre, ce qui est essentiel pour nous pour vivre une vie heureuse, joyeuse, créative, amoureuse, pleine de sens....
Savourer intensément ensemble fait parti intégrante du programme !
Et pour pouvoir
savourer encore plus chaque instant, nous vous proposons une formule « pension complète ». Une
excellente cuisinière nous gâtera avec des repas sains et savoureux. Samedi
soir nous ferons un barbecue !
Quand : du vendredi 5 juillet 18h au dimanche 7
juillet 18h
Lieu : Le Moulin
d’Hermeton à Hastière (près de
Dinant)
Christiane Singer s'est toujours émerveillée devant la vie. C'est peut-être
sa manière de mettre l'accent sur cette part d'éternité qui se cache
en chacun de nous...
Parmi ses œuvres majeures : Où
cours-tu? Ne sais-tu pas que le ciel est en toi? Du bon usage des crises Eloge du mariage, de l'engagement et autres folies.
"Le Club
: Le titre de votre nouveau livre, Où cours-tu
? Ne sais-tu pas que le ciel est en toi ?, évoque les
métamorphoses d'un vieux slogan de mai 68 : "Cours, camarade,
le vieux monde est derrière toi..."
Christiane Singer: Je ne renie pas cette époque, elle a
donné à nos vies une dimension de générosité qui leur manquait.
Depuis, j'ai appris que je n'étais pas responsable du salut du
monde, mais seulement de la petite parcelle qui m'est confiée.
Je continue, pourtant, à regarder par dessus les murs du jardin,
et je vois avec effroi, ceux que nous écrasons par notre fondamentalisme
économique. Je suis farouchement opposée à la recette universelle
de l'american way of life. Nous devons apprendre à résister au
harcèlement mercantile.
Le Club : C'est le fait d'habiter dans
une forteresse du XIIe siècle, en Autriche, qui vous donne tant
de recul sur le monde contemporain?
Christiane Singer: J'ai toujours vécu dans des
lieux imaginaires, Rastenberg est seulement un lieu réel aussi
beau qu'un lieu imaginaire. Mais il serait vain d'imaginer que
j'aurais pu habiter ailleurs, être une autre... J'ai besoin de
mettre un espace de respiration entre le monde et moi, mais je
ne me sens pas en décalage. Seulement, je suis sans doute plus
consciente que beaucoup de mes contemporains qu'une part de moi
échappe au temps, à cette hypothèse de vie moderniste un peu étroite.
La prétention de l'homme contemporain, son arrogance face à la
création, sont grotesques. "Ils s'en croient...", comme on disait
chez moi, à Marseille : " On aura bientôt décrypté les mystères
de la vie "; " on a vaincu l'Anapurna ". Une fourmi qui, arrivée
en haut d'une botte de foin, affirme l'avoir vaincue... c'est
comique, non ? Le Club : Vous êtes
très sévère avec notre société, au point d'assimiler mercantilisme
et dictature...
Christiane Singer: Nous vivons au cour d'une secte
où notre cerveau est lavé cent fois par jour avec la publicité,
et cette secte-là, pour lui échapper, il faut se lever de bon
matin ! Tout ce qui est inspirant et beau est exploité par la
pub. Le sacré absolu du corps humain, la grâce de la femme sont
utilisés, rentabilisés. Le Club : Au point
que vous qualifiez la télévision de " bouche à ordures "...
Christiane Singer:Je lui reproche principalement
d'accompagner la vie de millions d'êtres en leur apprenant l'impuissance
et la passivité. Un écran de verre nous sépare de tout. L'interaction
est impossible. Le Club : Ne peut-il
y avoir d'arrangement entre matérialisme et spiritualité?
Christiane Singer: L'opposition est irréversible.
Le premier fonctionne sur le manque, l'autre sur la plénitude.
Le premier nous propose un saladier plein de bonbons sirupeux
: impossible de s'arrêter de mettre les bonbons à la bouche...
L'accès à l'intériorité me révèle au contraire que je suis " entier
". Il faut tenter de reprendre pied en soi même. Le Club : Mais comment?
Christiane Singer: Il y a une vingtaine d'années,
je suis passée par une crise très profonde que l'enseignement
de Graf Durckheim m'a aidé à traverser. Ce travail sur l'ancrage
en soi, sur la conscience accrue de notre présence au monde, j'ai
eu envie de le transmettre. C'est le sens des stages que j'organise.
Il s'agit de ne plus être manipulable, de ne plus chercher dehors
un havre comme une réponse. De retrouver ses racines intérieures. (...) Le Club : Lorsqu'à
trente-cinq ans, vous avez publié la Mort viennoise, votre quatrième
roman, on vous prédisait une belle carrière de romancière... Pourquoi
vous être tournée vers les essais?
Christiane Singer: Roman ou essai, il s'agit de
la même source. Je n'ai jamais écrit pour être lue, mais pour
faire passer du souffle, pour rendre hommage à la vie. Je suis
une enfant d'après-guerre qui n'a jamais pu s'habituer au fait
d'être vivante. C'est étonnant d'être vivant, c'est saisissant.
Il faut apprendre à dire merci. J'ai parfois affaire, dans mes
séminaires, à des gens brisés par une séparation, un échec, un
divorce. Il est essentiel de leur apprendre à dire: " Tu m'as
fait du mal, mais je te remercie pour cet amour que nous avons
partagé, je te remercie, je remercie la vie et je te laisse aller.
" Nos erreurs nous apportent beaucoup, elles nous poussent à nous
interroger. Rien ne nous est dû sur cette Terre. Tout est cadeau.
Les bureaux de réclamation sont clos. Le Club : L'évolution de notre société
vous désespère-t-elle?
Christiane Singer: Quand les dinosaures ont disparu,
l'univers ne s'est pas arrêté dans son évolution... Notre société
ne détruit pas la nature, elle se détruit elle-même. Mais il n'y
a pas que les maladies qui sont contagieuses : la tendresse, la
foi dans la vie, l'espoir de vivre, le sont aussi. Mille fois,
j'ai vu des familles réparées par le travail d'un seul. Un seul
être peut transformer tout un village. Le Club : Comment
retrouver l'émerveillement devant la vie? Christiane Singer: Peut-être par le goût de l'aventure.
Il ne faut pas confondre la vie avec cette petite cage dans laquelle
nous nous sommes laissés enfermer. Il faut chausser les "semelles
de vent" de Rimbaud, se mettre debout dans le vent de la vie."
Que l'on soit parent, conjoint, ami, collaborateur, coach ou autre thérapeute, accompagner l'autre sur son chemin de vie (l'aimer et/ou l'aider à s'aimer tel qu'il est???) demande de développer tant d'aptitudes!!!! Aptitudes d'écoute, d'empathie, de tolérance, de soutien, de présence, de solidarité, etc...
Une aptitude qui ne semble pas naturelle quand il s'agit de lien affectif ou d'entre-aide est celle, essentielle, d'être capable d'ignorer l'autre!!!! :-0
Bien que l'on puisse tous les uns et les autres s'entre-aider, et cela de 1000 et une manières (n'est-ce pas en cela que l'on transcende notre humanité comme le dit si bien Christiane Singer?), il y a une chose qui restera toujours impossible de faire pour l'autre ou que l'autre fasse pour nous-même... : Être Soi-même!
Personne ne peut à la place d'un autre ressentir dans sa chair ses élans, ses doutes, ses peurs, ses attentes, bref : entendre ce que la vie crie :))) ou murmure doucement.
Difficile parfois, dans notre désir plus ou moins inconscient de fusion, de besoin de sécurité affective et/ou de reconnaissance, d'accepter le fait que nous avons chacun un chemin de vie propre, que l'on est appelé à prendre, à incarner et à poursuivre, d'une manière unique et plus ou moins originale - voire marginale. C'est si dur d'exister de manière marginalisée...
Toutes les "crises existentielles"(certains disent que le "Démon de Midi" en fait partie) seraient un appel de l'âme, qui rappelle au chemin de vie, qui réveille à se sentir vivant dans son quotidien... Bonne nouvelle: on n'est pas obligé de "tout foutre en l'air", mais c'est en tout cas toujours nécessaire de faire le tri, de transformer ce qui est! ;) Cette crise existentielle peut se gérer de manière plus ou moins
écologique, selon le degré de "conscience" et d'"éveil" pour aborder
cette étape.
Difficile parfois d'admettre que suivre ce chemin particulier (qui parfois peut nous éloigner les uns des autres) est une clé essentielle pour le bien-être. Et plus difficile encore d'intégrer que nous n'avons pas toutes les donnes pour juger (ou se laisser juger) de ce chemin de vie "si personnel". Que chacun a des ressources particulières (en spiritualité on parle de "Darma") et des obstacles ("Carma") pour le parcourir. Et parfois, le plus judicieux conseil peut devenir un ennemi, en distrayant la personne de ce qui l'habite profondément.
Qui ne se reconnaîtra pas dans ce réflexe? Parfois on craint tant le pire pour l'autre (n'est-pas en réalité la crainte du pire pour soi??!!!) qu'on ferait tout pour lui éviter une partie de son chemin de vie ou l'en détourner complètement : manipulation, effets de persuasion, simulation, rétention d'information, dissimulation, mensonge, disqualification, moquerie, dénigrement, harcèlement, punition psychique et/ou corporelle, chantage affectif, rejet, rupture, menaces, tentative de suicide, prises de pouvoir et autres jeux de domination relationnelle... Vive l'amour! :-/
Apprendre à ignorer les autres est donc aussi important que de savoir quand les écouter. On a/aura tous besoin, à un moment de sa vie, d’un silence complet et total – d'avoir le courage de s'exclure de toute stimulation extérieure – pour pouvoir entendre ce que nous sommes appelés à être, à créer ou à transformer.
Il y a un temps pour échanger (voire consulter)… et il y a un temps aussi
pour s’isoler pour n'écouter que ses "références intérieures", créer un espace dans lequel notre appel
de vie – tellement unique! – peut émerger.
Au plus on est inquiet pour l'autre,
Au plus on projette sur lui des attentes,
Au moins on est à même de l'accompagner sur son chemin de vie.
L'Amour, ce n'est pas de l'Attachement.
Donc cultivons le "Don't worry be happy"...
:)))
Extrait de Matin Magique : http://matinmagique.com
La question :
"Bonjour Marie,
Il y a longtemps que je me pose cette question : comment se défendre quand quelqu’un nous rabaisse? Dernièrement, un collègue de travail me dévalorise, c’est incroyable. Je
ne sais pas comment m’en sortir. Ça commence à me stresser, à me
préoccuper. Chaque fois qu’il dit quelque chose de blessant, je ne m’y
attends pas… Les pensées comme «non mais ça n’a pas de bon sens»
viennent plus tard. Toute ma vie j’ai travaillé sur moi-même, et j’ai grandement amélioré
mon estime. Je sais qu’elle pourrait être encore mieux et j’y travaille
chaque jour. Mais c’est toujours le même problème qui arrive quand
quelqu’un décide de manquer de respect à mon égard. Quoi faire dans l’immédiat qui serait correct? La réponse des autres est
souvent de répondre avec colère, dire ce qu’on pense… Rabaisser celui
qui nous rabaisse! Mais je ne crois pas que ce soit la solution. Un gigantesque merci d’avance… Et je te remercie d’être là pour nous tous.
Sophie de Québec
Chère Sophie,
Tu pourrais investir des milliers de dollars dans un séminaire de
développement personnel… Mais il semble que le séminaire soit venu à toi
gratuitement. ;-) Il n’y a rien de mieux qu’un collègue comme le tien
(encore mieux si c’est un membre de notre famille!) pour nous aider à
nous libérer de nos petites prisons intérieures. Car comme tu le sais,
ton collègue ne crée rien de nouveau en toi… Il ne fait que mettre en
lumière ce qui était déjà là. Et grâce à lui, tu as une belle raison –
et une belle motivation, surtout – de t’ouvrir à une belle
transformation. (Note à moi-même : essayer de ne plus utiliser le mot
«belle» pour le reste de ce message…)
La première chose que je te suggère est donc d’accueillir la situation.
De l’accueillir comme si tu l’avais choisie, comme si elle avait été
amoureusement déposée sur ton chemin pour une raison… De la voir comme
un jeu, même, peut-être. Oh, il n’est certainement pas agréable de
goûter à ce qui t’habite pendant que ton collègue te parle ainsi… Et
d’ailleurs, si je te sentais plus fragile, ou si les comportements de
ton collègue étaient très violents, je te suggérerais simplement de ne
plus le côtoyer. Mais je crois que tu réussiras à utiliser cette
situation comme un catalyseur, au fil du temps.
Je te propose donc d’être très, très présente, de t’observer avec
intérêt. Quand tu constates que les commentaires de ton collègue (ou de
qui que ce soit) accrochent, respire profondément et dis-toi «Oh,
intéressant… on dirait qu’une partie de moi croit encore qu’il a
peut-être raison». Et plutôt que d’embarquer dans ces pensées,
contente-toi de les observer. En fait, vois ce qui t’habite comme des
pensées et des émotions qui sont en toi, plutôt que comme TES pensées et
TES émotions. Car ce sentiment de petitesse que ton collègue réveille
en toi n’est certainement pas ton essence, et la clé n’est pas de
«l’enlever», mais simplement de le voir pour ce qu’il est. À ce sujet,
je t’invite à lire une édition précédente des Questions à Marie, qui est
ici : http://matinmagique.com/a12.html.
Pour continuer, ta question était spécifiquement «Quoi faire dans
l’immédiat qui serait correct?». Ma réponse : fais-toi confiance. :-)
Car je suis convaincue que tu sais très bien quoi faire, en réalité.
Pour ma part, mon impression en te lisant est que le prochain pas serait
de prendre ton collègue à part et de lui parler, tout simplement. De
lui exprimer que ses commentaires sont inappropriés, et que tu souhaites
un environnement de travail où le respect mutuel règne (la clé est bien
sûr d’incarner ce respect en lui parlant).
Ce sera probablement un
grand défi de le faire, mais c’est justement la raison pour laquelle
c’est si important, et pourquoi tu en retireras autant – qu’il change
ses comportements ou non par la suite. Mettre nos limites, se tenir
droit, et dire NON fermement lorsqu’une personne envahit notre espace
est une des fondations de l’estime personnelle. Chaque fois qu’on est là
pour nous ainsi, on se démontre par nos actions qu’on en vaut la peine.
C’est donc ce que je te propose, chère Sophie. Sois très présente,
prends soin de toi de toutes les façons possibles, et fais confiance en
tes élans. Je n’ai aucun doute qu’il se prépare quelque chose de grand.
Sur ce, je vous souhaite à tous une belle magnifique journée! ;)
Marie(-Pier) xx
P.-S. Si quelqu'un vous a invité sur cette page, notez que vous pouvez vous abonner à Matin Magique sur http://www.matinmagique.com et recevoir de petites doses de magie – comme ce message – du lundi au vendredi. C'est gratuit. :-)"
Malaise = dû à ce qu'on est divisé entre une réaction d'adulte (adaptée) et une réaction d'enfant (inadaptée*)
Cette réaction inadaptée viens d'un manque qui ravive une vieille blessure d'abandon, de trahison... de notre enfance. Le malaise que je ressens me plonge dans mon histoire: l'enfant intérieur qui est en moi exige réparation de sa blessure, et je ressens un grand malaise si cette histoire ne se dénoue pas une fois de plus !!!!!!!
Hélas!!! Tant que l'on tient, que l'on reste dans son histoire, dans ses schémas (auquel notre Ego tient tant!!! parce que l'on croit que c'est justement ça qui fait notre identité, qui fait qu'on est nous!), on ne fait qu'essayer de combler ses manques... et on n'est pas libre de satisfaire ses besoins !!! Passer à l'adulte, c'est parvenir de plus en plus à lâcher notre histoire, nos souffrances, ne plus avoir la nécessité de combler ses manques, et prendre la responsabilité de clarifier et choisir quel besoin je voudrais satisfaire !!!!
Et si les rôles des hommes et des femmes étaient inversés dans la pub ?
Par QUENTIN GIRARD
La réclame tombe parfois, trop souvent, dans des travers sexistes.
Les femmes sont soumises et un peu bêtes, les hommes virils et
dominateurs. Trois étudiants de l'université canadienne
de Saskatchewan, Sarah Zelinski, Kayla Hatzel et Dylan Lambi-Raine, se
sont mis en tête pour un cours sur le genre d'inverser les stéréotypes
des publicités dans une vidéo mise en ligne sur YouTube (et déjà vue
plus de 800 000 fois depuis début avril). En introduction, ils compilent une sélection de campagnes anciennes
et récentes où les femmes ne sont que des objets dédiés au plaisir des
hommes. «Ces standards de beauté mis en avant affectent la manière dont les hommes et les femmes perçoivent le corps féminin, écrivent-ils, entre 2000 et 2009, il y a eu une augmentation de 36% des opérations d'augmentation mammaire.»
Ils jugent également que les «hommes sont aussi victimes des clichés». Ils établissent une corrélation entre le devoir de se conforter à un modèle où ils sont «puissants, dominateurs et agressifs», une «hypermasculinisation» impossible à atteindre, et une forte augmentation des dépressions.
Cette doublette domination valorisée des hommes et femmes soumises a
pour effet selon eux de contribuer à encourager les violences sexuelles
et domestiques. «Les médias jouent un rôle important dans la manière nous voyons les autres et nous-mêmes», rappellent-ils.
(Parodie d’une pub Calvin Klein, extraite de la vidéo. DR)
... Y a du boulot!!! Il est temps que le monde de la pub prenne conscience de son impact et de ses responsabilités sur les comportements des consommateurs et leurs perceptions des rôles féminins / masculins, de son influence sur l'état des rapports hommes-femmes...
Passionnée par l'immense potentiel de l'être humain, captivée par ses capacités de se transcender, de se développer... j'explore et je voudrais partager avec vous mes réflexions...
Biodanza: cours hebdos avec Joëlle et Sabine. Venez essayer!!!
Tous les mardis à 19h45, rendez-vous dans la superbe salle "creativita" d'Overijse. Venez vivre intensément le moment présent! La Biodanza offre un espace pour cultiver la joie de vivre, danser librement sur des musiques variées, se sentir mieux dans son corps, et s'amuser ensemble. Pas besoin de savoir danser!!! Contacts : +32 476 67 16 16 et +32 476 56 78 73. On vous attend!! :)