samedi 23 janvier 2010
jeudi 14 janvier 2010
Message de Bill Gates à la Génération Y ;-)
Bill Gates a récemment donné un discours dans une école secondaire à propos de 11 choses qu'ils ne font pas et ne veulent pas apprendre à l'école.
Il parle de bons sentiments et d'enseignements politiquement corrects, qui ont créé une génération de jeunes avec aucun concept de la réalité, et comment ce concept les prédispose à l'échec dans un monde réel.
Règlement 1 :
La vie est injuste : habituez vous!
Règlement 2 :
Le monde se fout de votre amour-propre.
Le monde s'attendra à ce que vous accomplissiez quelque chose AVANT que vous ne vous félicitiez vous-même.
Règlement 3 :
Vous ne gagnerez pas $60,000 l'an en sortant de l'école.
Vous ne serez pas vice-président avec cellulaire fourni avant d'avoir gagné ces deux privilèges.
Règlement 4 :
Si vous croyez que votre professeur est dur avec vous, attendez d'avoir un patron.
Règlement 5 :
Travailler dans une friterie n'est pas s'abaisser, vos grands-parents avaient un mot différent pour ça; ils appelaient ça une opportunité.
Règlement 6 :
Si vous gaffez, CE N'EST PAS LA FAUTE DE VOS PARENTS, arrêtez de chialer et apprenez de vos erreurs.
Règlement 7 :
Avant que vous naissiez, vos parents n'étaient pas aussi ennuyants qu'ils le sont maintenant, ils sont devenus comme ça
* En payant vos factures,
* En nettoyant vos vêtements
* Et en vous entendant raconter combien bons et cool, vous vous croyez.
Ainsi, avant de sauver les forêts tropicales des parasites de la génération de vos parents, commencez donc par faire le ménage dans la garde-robe de votre propre chambre
Règlement 8 :
Votre école s'est peut-être débarrassé du système gagnant-perdant, mais PAS LA VIE.
Dans certaines écoles, on a aboli les notes de passage et on vous donne autant de chances que vous voulez pour obtenir la bonne réponse.
Ceci ne ressemble d'aucune façon à la vraie vie.
Règlement 9 :
La vie n'est pas divisée en semestres.
L'été n'est pas une période de congé.
Et très peu d'employeurs sont disposés à Vous aider à VOUS TROUVER, faites ça sur votre propre temps.
Règlement 10 :
La télévision n'est pas la vraie vie.
Dans la vraie vie, les gens quittent le café et vont travailler.
Dure vie d'artistes ;-)))
Il parle de bons sentiments et d'enseignements politiquement corrects, qui ont créé une génération de jeunes avec aucun concept de la réalité, et comment ce concept les prédispose à l'échec dans un monde réel.
Règlement 1 :
La vie est injuste : habituez vous!
Règlement 2 :
Le monde se fout de votre amour-propre.
Le monde s'attendra à ce que vous accomplissiez quelque chose AVANT que vous ne vous félicitiez vous-même.
Règlement 3 :
Vous ne gagnerez pas $60,000 l'an en sortant de l'école.
Vous ne serez pas vice-président avec cellulaire fourni avant d'avoir gagné ces deux privilèges.
Règlement 4 :
Si vous croyez que votre professeur est dur avec vous, attendez d'avoir un patron.
Règlement 5 :
Travailler dans une friterie n'est pas s'abaisser, vos grands-parents avaient un mot différent pour ça; ils appelaient ça une opportunité.
Règlement 6 :
Si vous gaffez, CE N'EST PAS LA FAUTE DE VOS PARENTS, arrêtez de chialer et apprenez de vos erreurs.
Règlement 7 :
Avant que vous naissiez, vos parents n'étaient pas aussi ennuyants qu'ils le sont maintenant, ils sont devenus comme ça
* En payant vos factures,
* En nettoyant vos vêtements
* Et en vous entendant raconter combien bons et cool, vous vous croyez.
Ainsi, avant de sauver les forêts tropicales des parasites de la génération de vos parents, commencez donc par faire le ménage dans la garde-robe de votre propre chambre
Règlement 8 :
Votre école s'est peut-être débarrassé du système gagnant-perdant, mais PAS LA VIE.
Dans certaines écoles, on a aboli les notes de passage et on vous donne autant de chances que vous voulez pour obtenir la bonne réponse.
Ceci ne ressemble d'aucune façon à la vraie vie.
Règlement 9 :
La vie n'est pas divisée en semestres.
L'été n'est pas une période de congé.
Et très peu d'employeurs sont disposés à Vous aider à VOUS TROUVER, faites ça sur votre propre temps.
Règlement 10 :
La télévision n'est pas la vraie vie.
Dans la vraie vie, les gens quittent le café et vont travailler.
Dure vie d'artistes ;-)))
lundi 11 janvier 2010
COACHING & Cinéma : Avatar, porteur de plein de messages de développement personnel et d'écologie
Avez-vous vu "Avatar"?
Je vous le conseille : derrière ce film fantastique et féérique, il y a un magnifique parallèle à faire avec ce qui se passe réellement sur notre belle planète : la lutte entre 2 idéologies : être (en conscience/respect de l'essentiel) ou avoir (obtenir et posséder quitte à sacrifier une partie de moi ou de ce qui m'entoure).
Le développement personnel ou agricole durable ("les actes que je pose ont des conséquences + ou - , donc autant agir avec conscience! ;-) ) ou le consumérisme à tout va ("ce que je convoite, je l'aurai" ... quitte à ce que ce soit par la violence : pollution, manipulation, domination)?
Une belle manière d'introduire la notion de développement personnel et d'écologie...
Je vous le conseille : derrière ce film fantastique et féérique, il y a un magnifique parallèle à faire avec ce qui se passe réellement sur notre belle planète : la lutte entre 2 idéologies : être (en conscience/respect de l'essentiel) ou avoir (obtenir et posséder quitte à sacrifier une partie de moi ou de ce qui m'entoure).
Le développement personnel ou agricole durable ("les actes que je pose ont des conséquences + ou - , donc autant agir avec conscience! ;-) ) ou le consumérisme à tout va ("ce que je convoite, je l'aurai" ... quitte à ce que ce soit par la violence : pollution, manipulation, domination)?
Une belle manière d'introduire la notion de développement personnel et d'écologie...
dimanche 10 janvier 2010
Développement durable & développement personnel : Le Bénin, modèle du bio africain
Un modèle agricole écologique construit autour du respect de soi, des autres et de son environnement:
Le père Godfrey Nzamujo, prêtre dominicain, d’origine nigériane et de passeport américain, est arrivé au Bénin en 1985 pour créer un modèle agricole alternatif : le Centre Songhaï. «Je voulais construire une économie durable qui convienne à l’Afrique, une économie basée sur la nature, raconte-t-il. Pour cela, il fallait amorcer de nouvelles forces, développer le capital humain et la technologie.» Le gouvernement marxiste-léniniste de l’époque lui alloue un hectare de terres à Porto-Novo, la capitale.
Vingt-quatre ans plus tard, Songhaï s’étend sur 17 hectares. Le centre regroupe une immense exploitation bio (agriculture, élevage et pisciculture), des sites de transformation de la production et une école. Une initiative modèle. Promu «centre d’excellence pour l’agriculture» par les Nations unies, le modèle Songhaï va être reproduit dans douze pays africains (1). Parce qu’il s’efforce de donner les moyens techniques aux paysans de renforcer leur sécurité alimentaire. Et développe un savoir-faire local qui vise à l’autonomie, évitant l’érosion des terres ou l’utilisation d’engrais.
Le lieu a des allures de fourmilière. Près de 400 employés s’y bousculent, autant d’étudiants venus se former à l’agriculture durable. Car, dans cette ferme-école, on applique un principe simple : rien ne se perd, tout se transforme. Nzamujo résume le principe ainsi : «Dans la nature, il n’y a pas de perte, le végétal nourrit l’animal qui nourrit le végétal. C’est efficace. En Afrique, on est mieux placés pour reproduire ce cycle car la nature fonctionne douze mois sur douze. Elle nous bombarde d’énergie.» L’élève-agriculteur consacre, lui, son énergie à un autre cycle. Produire, transformer et commercialiser. Fabriquer ses machines en recyclant des métaux ou récupérer les déchets agricoles. Jusqu’aux déjections animales.
Ainsi, certaines volailles sont élevées dans des abris sur pilotis pour récolter plus facilement les fientes sous le plancher. Entassés sous de grandes branches de palmiers, ces déchets servent à la fabrication du compost utilisé pour les cultures maison, ou revendu par sacs de 50 kilos. Les eaux usées sont recyclées en passant dans des bassins communicants couverts de jacinthes, une plante qui purifie l’eau. Des canaux acheminent ensuite l’eau propre dans l’étang où sont élevés des milliers de poissons, nourris avec des résidus agricoles. Après, les jacinthes sont ramassées. Mélangées à des excréments d’animaux, elles se décomposent et donnent du biogaz utilisé pour les fours. Il y a aussi quelques panneaux solaires. Importés. Donc chers.
Mais les rendements sont en plein boom. Songhaï produit par exemple six tonnes de riz par hectare trois fois par an, contre moins d’une tonne par hectare une fois par an à ses débuts. Les prix, compétitifs, sont obtenus avec des installations d’une simplicité déconcertante. Le père Nzamujo, docteur en électronique, en microbiologie et en sciences de développement, a conçu lui-même la plupart des outils et des machines. Les pièces sont fondues et fabriquées sur place avec des débris métalliques. «Il faut que les producteurs aient accès aux moyens de production. Cette technologie doit être simple, réfléchie, peu coûteuse. Pas besoin de l’importer, on fait avec ce qu’on a.»
Sur une des allées en terre, Tony, un solide Nigérian, pousse une brouette remplie de sciure. Après deux ans et demi de formation pour un coût modique, il rentrera bientôt chez lui, au Nigeria. «Je suis l’aîné, j’ai donc hérité des terres familiales. Je vais créer une ferme. Avec ce que j’ai appris ici, je n’ai pas besoin de gros moyens.» Grâce à un système de crédits, l’école soutient l’installation de ses élèves devenus des entrepreneurs agricoles. En partie subventionné par des bailleurs internationaux, Songhaï cultive son indépendance et génère un bénéfice d’un million de dollars (700 000 euros). Mais réinvestis pour développer les capacités du centre et mieux s’émanciper de l’assistanat.
Le gouvernement béninois l’a compris et veut s’appuyer sur cet exemple pour freiner l’exode rural. Il va aussi donner 6 hectares supplémentaires pour l’extension du site de Porto-Novo. C’est là que sera implanté le futur centre régional. Il pourra accueillir jusqu’à 1 000 personnes, tous ces voisins africains qui viendront voir, apprendre pour adapter la recette Songhaï à leur milieu et à leur climat. Recette miracle ? Plutôt symbole d’une émancipation loin des modèles de copié-collé importés des pays du Nord. De la créativité et du système D. «Dans chaque pays, ça va demander de l’engagement et de la volonté politique dans un contexte de ressources limitées», dit Erick Abiassi, du Programme des Nations unies pour le développement, à Cotonou. Le père Nzamujo le sait bien. Il a résumé son expérience dans un livre, Quand l’Afrique relève la tête (2), mais reste modeste : «Il reste encore beaucoup de chemin à parcourir pour aboutir à la création d’une nouvelle société africaine.»
(1) Nigeria, Togo, Burkina, Ghana, Côte-d’Ivoire, Guinée, Liberia, Sierra Leone, Gabon, Zambie, Malawi, et Kenya. (2) Ed. du Cerf, 2002, 14,40 euros.
Article écrit par DELPHINE BOUSQUET envoyée spéciale à Porto-Novo (Bénin).
http://www.biodiv.be/benin/cooperation/fol740729/doc222785
Le père Godfrey Nzamujo, prêtre dominicain, d’origine nigériane et de passeport américain, est arrivé au Bénin en 1985 pour créer un modèle agricole alternatif : le Centre Songhaï. «Je voulais construire une économie durable qui convienne à l’Afrique, une économie basée sur la nature, raconte-t-il. Pour cela, il fallait amorcer de nouvelles forces, développer le capital humain et la technologie.» Le gouvernement marxiste-léniniste de l’époque lui alloue un hectare de terres à Porto-Novo, la capitale.
Vingt-quatre ans plus tard, Songhaï s’étend sur 17 hectares. Le centre regroupe une immense exploitation bio (agriculture, élevage et pisciculture), des sites de transformation de la production et une école. Une initiative modèle. Promu «centre d’excellence pour l’agriculture» par les Nations unies, le modèle Songhaï va être reproduit dans douze pays africains (1). Parce qu’il s’efforce de donner les moyens techniques aux paysans de renforcer leur sécurité alimentaire. Et développe un savoir-faire local qui vise à l’autonomie, évitant l’érosion des terres ou l’utilisation d’engrais.
Le lieu a des allures de fourmilière. Près de 400 employés s’y bousculent, autant d’étudiants venus se former à l’agriculture durable. Car, dans cette ferme-école, on applique un principe simple : rien ne se perd, tout se transforme. Nzamujo résume le principe ainsi : «Dans la nature, il n’y a pas de perte, le végétal nourrit l’animal qui nourrit le végétal. C’est efficace. En Afrique, on est mieux placés pour reproduire ce cycle car la nature fonctionne douze mois sur douze. Elle nous bombarde d’énergie.» L’élève-agriculteur consacre, lui, son énergie à un autre cycle. Produire, transformer et commercialiser. Fabriquer ses machines en recyclant des métaux ou récupérer les déchets agricoles. Jusqu’aux déjections animales.
Ainsi, certaines volailles sont élevées dans des abris sur pilotis pour récolter plus facilement les fientes sous le plancher. Entassés sous de grandes branches de palmiers, ces déchets servent à la fabrication du compost utilisé pour les cultures maison, ou revendu par sacs de 50 kilos. Les eaux usées sont recyclées en passant dans des bassins communicants couverts de jacinthes, une plante qui purifie l’eau. Des canaux acheminent ensuite l’eau propre dans l’étang où sont élevés des milliers de poissons, nourris avec des résidus agricoles. Après, les jacinthes sont ramassées. Mélangées à des excréments d’animaux, elles se décomposent et donnent du biogaz utilisé pour les fours. Il y a aussi quelques panneaux solaires. Importés. Donc chers.
Mais les rendements sont en plein boom. Songhaï produit par exemple six tonnes de riz par hectare trois fois par an, contre moins d’une tonne par hectare une fois par an à ses débuts. Les prix, compétitifs, sont obtenus avec des installations d’une simplicité déconcertante. Le père Nzamujo, docteur en électronique, en microbiologie et en sciences de développement, a conçu lui-même la plupart des outils et des machines. Les pièces sont fondues et fabriquées sur place avec des débris métalliques. «Il faut que les producteurs aient accès aux moyens de production. Cette technologie doit être simple, réfléchie, peu coûteuse. Pas besoin de l’importer, on fait avec ce qu’on a.»
Sur une des allées en terre, Tony, un solide Nigérian, pousse une brouette remplie de sciure. Après deux ans et demi de formation pour un coût modique, il rentrera bientôt chez lui, au Nigeria. «Je suis l’aîné, j’ai donc hérité des terres familiales. Je vais créer une ferme. Avec ce que j’ai appris ici, je n’ai pas besoin de gros moyens.» Grâce à un système de crédits, l’école soutient l’installation de ses élèves devenus des entrepreneurs agricoles. En partie subventionné par des bailleurs internationaux, Songhaï cultive son indépendance et génère un bénéfice d’un million de dollars (700 000 euros). Mais réinvestis pour développer les capacités du centre et mieux s’émanciper de l’assistanat.
Le gouvernement béninois l’a compris et veut s’appuyer sur cet exemple pour freiner l’exode rural. Il va aussi donner 6 hectares supplémentaires pour l’extension du site de Porto-Novo. C’est là que sera implanté le futur centre régional. Il pourra accueillir jusqu’à 1 000 personnes, tous ces voisins africains qui viendront voir, apprendre pour adapter la recette Songhaï à leur milieu et à leur climat. Recette miracle ? Plutôt symbole d’une émancipation loin des modèles de copié-collé importés des pays du Nord. De la créativité et du système D. «Dans chaque pays, ça va demander de l’engagement et de la volonté politique dans un contexte de ressources limitées», dit Erick Abiassi, du Programme des Nations unies pour le développement, à Cotonou. Le père Nzamujo le sait bien. Il a résumé son expérience dans un livre, Quand l’Afrique relève la tête (2), mais reste modeste : «Il reste encore beaucoup de chemin à parcourir pour aboutir à la création d’une nouvelle société africaine.»
(1) Nigeria, Togo, Burkina, Ghana, Côte-d’Ivoire, Guinée, Liberia, Sierra Leone, Gabon, Zambie, Malawi, et Kenya. (2) Ed. du Cerf, 2002, 14,40 euros.
Article écrit par DELPHINE BOUSQUET envoyée spéciale à Porto-Novo (Bénin).
http://www.biodiv.be/benin/cooperation/fol740729/doc222785
vendredi 8 janvier 2010
jeudi 7 janvier 2010
COACHING & BIODANCE
"Vivre ce n'est pas attendre que les tempêtes passent, mais apprendre à danser sous la pluie."
:-)
:-)
vendredi 1 janvier 2010
COACHING : préparons 2010 avec LISE BOURBEAU...
Petit exercice de visualisation proposé par LISE BOURBEAU pour accueillir 2010 :
Si vous aviez une baguette magique et que vous pouviez réaliser trois choses que vous avez à cœur, quelles seraient-elles ? Imaginez que vos décisions n’affectent personne et que vous avez tout ce qu’il faut pour les concrétiser. OSEZ IMAGINER AU-DELÀ DE TOUT CE QUE VOUS AVEZ PU IMAGINER JUSQU’À MAINTENANT.
Peut-être faites-vous partie de ceux qui disent vraiment vouloir quelque chose, mais que c’est le contraire qui se manifeste. Si c’est votre cas, sachez que ce que vous récoltez est ce qui est le plus fort en vous. Prenons l’exemple d’une personne qui veut rencontrer un partenaire compatible avec qui elle vivrait une belle relation, mais qui n’y parvient pas. Elle découvre ainsi qu’il y a une peur en elle qui est plus forte que son désir.
Quelle peur ? me dira-t-elle. Je le désire vraiment depuis plusieurs mois. Quand j’y pense, ça m'enthousiasme et je ne ressens pas de peur. Nous sommes conscients d’environ 10 % de nos peurs ? Notre vie est donc contrôlée à 90 % par nos peurs, et ce, à notre insu. Voilà pourquoi il est si important et urgent de devenir plus conscient.
Revenons à mon exemple. Cette personne doit accepter qu’elle crée sa propre vie. Si elle n’a pas de partenaire, c’est qu’il y a quelque chose en elle qui l’en empêche. Elle doit se poser la question suivante : Qu’est-ce qui pourrait m’arriver de désagréable si j'avais un partenaire compatible avec qui je vivrais une belle relation ? Ensuite, elle doit porter attention aux réponses qui montent en elle. Si elles tardent à venir, il est préférable de ne pas forcer de réponses, mais plutôt de continuer à répéter cette même question quotidiennement jusqu’à ce qu’elles viennent. Lorsqu’elle découvre sa peur, entretenue par une ou des croyances, elle doit rassurer cette petite voix en elle en lui disant qu’elle est outillée pour y faire face et en assumer les conséquences.
Afin de vous aider à mettre en mouvement ce que vous voulez vraiment pour cette nouvelle année, laissez-moi vous suggérer un moyen qui a eu d’excellents résultats auprès de milliers de personnes. Écrivez une lettre destinée à un présumé grand ami lointain que vous n’avez pas vu depuis un an. Imaginez que vous écrivez cette lettre le 31 décembre 2010. À titre d’exemple, elle pourrait débuter ainsi…
Le 31 décembre 2010
Mon très cher ami,
J’éprouve un grand plaisir à te donner de mes nouvelles. Je veux te raconter la merveilleuse année que je viens de passer. Voici tout ce qui m’est arrivé et tout ce que j’ai appris durant cette dernière année…
Écrivez tout ce qui vous vient à l’esprit en imaginant que vous avez passé la plus merveilleuse année de votre vie et que tout ce que vous désiriez s’est manifesté.
IL EST TRÈS IMPORTANT de ne pas relire votre lettre et, surtout, de ne pas la mettre au propre (avis aux perfectionnistes). Cette lettre doit être spontanée. Cachetez-la et écrivez sur l’enveloppe À OUVRIR LE 31 DÉCEMBRE 2010. Prenez note de la lire l’an prochain dans votre agenda et inscrivez l’endroit où vous l'avez placé.
Bon exercice!!!! ;-))) Je l'ai fait il y a des années : c'est surprenant!
Si vous aviez une baguette magique et que vous pouviez réaliser trois choses que vous avez à cœur, quelles seraient-elles ? Imaginez que vos décisions n’affectent personne et que vous avez tout ce qu’il faut pour les concrétiser. OSEZ IMAGINER AU-DELÀ DE TOUT CE QUE VOUS AVEZ PU IMAGINER JUSQU’À MAINTENANT.
Peut-être faites-vous partie de ceux qui disent vraiment vouloir quelque chose, mais que c’est le contraire qui se manifeste. Si c’est votre cas, sachez que ce que vous récoltez est ce qui est le plus fort en vous. Prenons l’exemple d’une personne qui veut rencontrer un partenaire compatible avec qui elle vivrait une belle relation, mais qui n’y parvient pas. Elle découvre ainsi qu’il y a une peur en elle qui est plus forte que son désir.
Quelle peur ? me dira-t-elle. Je le désire vraiment depuis plusieurs mois. Quand j’y pense, ça m'enthousiasme et je ne ressens pas de peur. Nous sommes conscients d’environ 10 % de nos peurs ? Notre vie est donc contrôlée à 90 % par nos peurs, et ce, à notre insu. Voilà pourquoi il est si important et urgent de devenir plus conscient.
Revenons à mon exemple. Cette personne doit accepter qu’elle crée sa propre vie. Si elle n’a pas de partenaire, c’est qu’il y a quelque chose en elle qui l’en empêche. Elle doit se poser la question suivante : Qu’est-ce qui pourrait m’arriver de désagréable si j'avais un partenaire compatible avec qui je vivrais une belle relation ? Ensuite, elle doit porter attention aux réponses qui montent en elle. Si elles tardent à venir, il est préférable de ne pas forcer de réponses, mais plutôt de continuer à répéter cette même question quotidiennement jusqu’à ce qu’elles viennent. Lorsqu’elle découvre sa peur, entretenue par une ou des croyances, elle doit rassurer cette petite voix en elle en lui disant qu’elle est outillée pour y faire face et en assumer les conséquences.
Afin de vous aider à mettre en mouvement ce que vous voulez vraiment pour cette nouvelle année, laissez-moi vous suggérer un moyen qui a eu d’excellents résultats auprès de milliers de personnes. Écrivez une lettre destinée à un présumé grand ami lointain que vous n’avez pas vu depuis un an. Imaginez que vous écrivez cette lettre le 31 décembre 2010. À titre d’exemple, elle pourrait débuter ainsi…
Le 31 décembre 2010
Mon très cher ami,
J’éprouve un grand plaisir à te donner de mes nouvelles. Je veux te raconter la merveilleuse année que je viens de passer. Voici tout ce qui m’est arrivé et tout ce que j’ai appris durant cette dernière année…
Écrivez tout ce qui vous vient à l’esprit en imaginant que vous avez passé la plus merveilleuse année de votre vie et que tout ce que vous désiriez s’est manifesté.
IL EST TRÈS IMPORTANT de ne pas relire votre lettre et, surtout, de ne pas la mettre au propre (avis aux perfectionnistes). Cette lettre doit être spontanée. Cachetez-la et écrivez sur l’enveloppe À OUVRIR LE 31 DÉCEMBRE 2010. Prenez note de la lire l’an prochain dans votre agenda et inscrivez l’endroit où vous l'avez placé.
Bon exercice!!!! ;-))) Je l'ai fait il y a des années : c'est surprenant!
Inscription à :
Articles (Atom)