mercredi 29 décembre 2010
COACHING et actes conscients, ou comment passer de la réaction à l'action
Un chouette livre à lire à propos de l'effet de nos pensées sur notre ressentis et nos émotions, puis sur nos comportements : "Le tueur de dragon au coeur lourd" de Marcia Grad-Powers et François Minaudier.
Presque sur le ton d'un livre pour enfant (dans un univers qui apporte beaucoup de fraîcheur et un soupçon bien présent d'humour), cet ouvrage illustre de manière extrêmement limpide l'avantage d'opter pour des comportements plus "conscients" dans notre quotidien. A lire absolument.
mercredi 22 décembre 2010
COACHING et estime de soi - notre valeur vaut plus que celle d'un billet de banque
Petite réflexion de COACHING à propos de la valeur et de l'estime de soi...
Quand un billet de banque est fabriqué, il a une valeur. Qu'il soit sale, plié ou déchiré, personne ne contestera que sa valeur ne change pas.
Incroyable que l'on puisse si bien percevoir la valeur d'un billet de banque, et que l'on doute, passe à côté de notre propre valeur, non??? !!!! Pourtant, pour nous c'est pareil que pour le billet :). Le simple fait d'être né nous a donné une valeur.
Et si nous comprenons que nous sommes ce qui est le plus important pour nous-même, nous pouvons vivre des situations blessantes, dans lesquelles des personnes (surtout si elles sont essentielles pour nous) nous négligent, nous nient, nous humilient, nous agressent, la vie peut nous salir, nous plier ou nous déchirer, notre valeur ne changera jamais.
Notre valeur ne dépend pas de ce que nous possédons ou de ce que nous avons réalisé. Notre valeur ne dépend pas de ce que les autres pensent de nous ni de la manière dont ils nous traitent. Qu'ils nous traitent avec révérence ou comme de la m... :) n'augmente ne diminue notre valeur intrinsèque. Il ne faut pas confondre valeur et estime de soi. La valeur est. L'estime de soi s'acquiert...
Notre estime de soi dépend uniquement de notre capacité à être et rester connecté(e) à notre propre valeur. C'est tout.
Si vous dites à haute voix "J'ai de la valeur" et que vous ressentez de la tristesse ce n'est pas parce que vous n'avez pas de valeur, mais parce que vous êtes incapable de la voir.
Un petit truc si c'est le cas :)) : répétez-vous cette phrase chaque jour, dès que vous y pensez, tout au long de la journée... jusqu'à ce que vous arriviez à sourire. Encore mieux : yeux dans vos yeux devant le miroir!!!! Cet exercice ne consiste pas à essayer de vous persuader que vous êtes ce que vous n'êtes pas, l'objectif est de vous faire prendre conscience de ce que vous êtes vraiment.
Chacun de nous est exceptionnel et unique. Parmi les milliards d'êtres vivants de cette planète, il n'y a pas 2 personnes identiques. Notre valeur n'est même pas "rare", elle est "unique" ! Ne passons pas à côté d'elle! Ni à côté de celle des autres.
A réfléchir...
Quand un billet de banque est fabriqué, il a une valeur. Qu'il soit sale, plié ou déchiré, personne ne contestera que sa valeur ne change pas.
Incroyable que l'on puisse si bien percevoir la valeur d'un billet de banque, et que l'on doute, passe à côté de notre propre valeur, non??? !!!! Pourtant, pour nous c'est pareil que pour le billet :). Le simple fait d'être né nous a donné une valeur.
Et si nous comprenons que nous sommes ce qui est le plus important pour nous-même, nous pouvons vivre des situations blessantes, dans lesquelles des personnes (surtout si elles sont essentielles pour nous) nous négligent, nous nient, nous humilient, nous agressent, la vie peut nous salir, nous plier ou nous déchirer, notre valeur ne changera jamais.
Notre valeur ne dépend pas de ce que nous possédons ou de ce que nous avons réalisé. Notre valeur ne dépend pas de ce que les autres pensent de nous ni de la manière dont ils nous traitent. Qu'ils nous traitent avec révérence ou comme de la m... :) n'augmente ne diminue notre valeur intrinsèque. Il ne faut pas confondre valeur et estime de soi. La valeur est. L'estime de soi s'acquiert...
Notre estime de soi dépend uniquement de notre capacité à être et rester connecté(e) à notre propre valeur. C'est tout.
Si vous dites à haute voix "J'ai de la valeur" et que vous ressentez de la tristesse ce n'est pas parce que vous n'avez pas de valeur, mais parce que vous êtes incapable de la voir.
Un petit truc si c'est le cas :)) : répétez-vous cette phrase chaque jour, dès que vous y pensez, tout au long de la journée... jusqu'à ce que vous arriviez à sourire. Encore mieux : yeux dans vos yeux devant le miroir!!!! Cet exercice ne consiste pas à essayer de vous persuader que vous êtes ce que vous n'êtes pas, l'objectif est de vous faire prendre conscience de ce que vous êtes vraiment.
Chacun de nous est exceptionnel et unique. Parmi les milliards d'êtres vivants de cette planète, il n'y a pas 2 personnes identiques. Notre valeur n'est même pas "rare", elle est "unique" ! Ne passons pas à côté d'elle! Ni à côté de celle des autres.
A réfléchir...
lundi 13 décembre 2010
COACHING et mental - Eckart Tolle
Pouvez-vous vous libérer du mental quand vous le voulez ? Avez-vous réussi à trouver l’interrupteur qui le met hors circuit ? Je veux dire arrêter complètement de penser ?
Si vous n'y réussissez pas, sauf pour un instant ou deux, il est probable que votre mental se sert de vous et que vous vous êtes inconsciemment identifié à lui.
Selon Eckart Tolle, "l'illumination" est la capacité de s'élever au-dessus de la pensée, pour se connecter à notre "ÊTRE".
L’Être est ce qui nous est accessible immédiatement et qui représente notre moi le plus profond, notre véritable nature. Il ne faut pas chercher à le saisir avec notre "mental" ni à le comprendre. Nous ne pouvons l’appréhender que seulement lorsque notre mental s’est tu.
Or nos pensées sont souvent involontaires et compulsives plutôt que constructives. C'est, pour nombre d'entre nous, une véritable "accoutumance" que de penser, d'être dans notre mental (ex: se plonger de manière réflexe dans nos peurs, regrets et remords du passé, ou dans les préoccupations, voire les angoisses du futur, dans nos culpabilités). Comme la cigarette, l'alcool ou les autres dépendances, les pensées nous donnent une fausse sensation de plaisir ou de sécurité. En réalité, quand elles deviennent plus fortes que nous, elles nous mènent au mal-être et à la souffrance...
Le DÉVELOPPEMENT PERSONNEL, la SPIRITUALITE et le COACHING ont pour objectif de nous apprendre à développer une qualité de présence à Soi, une capacité de mettre son attention totalement et intensément dans le présent, afin de pouvoir "Être en conscience".
L'objectif n'est aucunement de comprendre ce qu'est l'Être mentalement (ce serait encore nourrir l'égo et le mental), mais de l'expérimenter (le sentir). Retrouver cette présence à l’Être et se maintenir dans cet état de "sensation de réalisation". C’est cela l’illumination dont parle Eckart Tolle.
L’identification au mental amène la pensée à devenir compulsive et nous empêche de nous réaliser dans l'"Être". L’incapacité à s’arrêter de penser est une épouvantable affliction dont presque tout le monde est atteint, en tous cas dans nos pays industrialisés. C'est une telle pandémie que nous en venons d'ailleurs à considérer l’incapacité à s’arrêter de penser comme normale! - voire comme une preuve de responsabilité ou d'intelligence :-/.
Cet incessant bruit mental nous empêche de trouver ce royaume de calme intérieur qui est indissociable de l'Être. Ce bruit crée également un faux moi érigé par l’Ego qui projette une ombre de peur et de souffrance sur tout.
Si à l’instar du terme "Dieu", le mot "Être" est galvaudé et n’explique rien, il a par contre l’avantage d’être un concept ouvert. Il ne réduit du coup pas cet infini invisible à une entité finie et définie - comme on a tendance à le faire avec Dieu. Il est impossible de se faire une image mentale de "Être"!!!! Personne ne peut se déclarer être l’unique détenteur de l’Être, car il s’agit de notre essence-même, à chacun de nous. Le pas à franchir entre le terme "Être" et l’expérience d’"Être" est donc plus petit. :)))
Le philosophe français Descartes a cru avoir découvert la vérité la plus fondamentale quand il fit sa célèbre déclaration: "Je pense, donc je suis". Ne venait-il pas en fait de formuler l’erreur la plus fondamentale : celle d’assimiler la pensée à l’être et l’identité à la pensée?
Le penseur compulsif, c’est-à-dire presque tout un chacun :), vit dans un état d’apparente division, dans un monde déraisonnablement complexe où foisonnent perpétuellement problèmes et conflits, un monde qui reflète l’incessante fragmentation du mental.
L’expérience d'"Être", d'illumination, quant à elle, est un état de plénitude, un état d’unité avec la vie, avec le monde, et avec Soi.
L’identification au mental crée chez vous un écran opaque de concepts, d’étiquettes, d’images, de mots, de jugements et de définitions qui empêchent toute vraie relation.
Selon Eckart Tolle, cet écran s’interpose entre nous et nous-même, entre nous et notre prochain, entre nous et la nature, entre nous et le divin. "C’est cet écran de pensées qui amène cette illusion de division : l’illusion qu’il y a nous et un "autre", totalement séparé de nous. Nous oublions un fait essentiel : derrière le plan des apparences physiques et de la diversité des formes, nous ne faisons qu’un avec tout ce qui est. Nous ne pouvons plus sentir cet état d’unité comme étant une réalité qui coule de source. Même si nous la croyons vraie, souvent nous sommes incapables de l’appréhender plus comme telle. Une croyance peut certes nous réconforter. Par contre, seule l’expérience peut nous libérer".
Le mental est un magnifique outil à notre disposition, quand on s'en sert à bon escient, il nous permet d'accomplir une tâche précise. La tâche étant réalisée, nous devrions pouvoir lâcher notre mental, nos pensées... afin que ce ne soit pas notre mental qui se serve de nous ! Et c’est cela la maladie, quand on croit dur comme fer "être notre mental". C’est cela l’illusion : l’outil a pris possession de vous.
"Ce n’est pas parce que nous réussissons à terminer un jeu de mots croisés ou à fabriquer une bombe atomique que nous savons nous servir de notre mental. Ce dernier aime se faire les dents sur des problèmes, comme les chiens le font avec les os. Voilà pourquoi il fait des mots croisés et invente des bombes atomiques, alors que nous, l’Être, ne portons intérêt ni à l’un ni à l’autre".
La liberté d'être commence quand nous prenons conscience que nous ne sommes pas notre mental. Quand nous arrêtons de "nous réduire" en nous identifiant au penseur. Nous pouvons alors le surveiller :), surveiller nos pensées et l'influence qu'elles ont sur nous, sur notre vitalité et dès lors, accéder à un niveau plus élevé de conscience. Nous comprenons petit à petit qu’il existe un immense royaume d’intelligence, bien au-delà de la pensée (ex: l'intelligence du cœur). Nous réalisons aussi que toutes les choses vraiment importantes - la beauté, l’amour, la créativité, la joie, la paix - trouvent leur source au-delà du mental. Et nous commençons alors à vous éveiller.
A méditer :)))
Si vous n'y réussissez pas, sauf pour un instant ou deux, il est probable que votre mental se sert de vous et que vous vous êtes inconsciemment identifié à lui.
Selon Eckart Tolle, "l'illumination" est la capacité de s'élever au-dessus de la pensée, pour se connecter à notre "ÊTRE".
L’Être est ce qui nous est accessible immédiatement et qui représente notre moi le plus profond, notre véritable nature. Il ne faut pas chercher à le saisir avec notre "mental" ni à le comprendre. Nous ne pouvons l’appréhender que seulement lorsque notre mental s’est tu.
Or nos pensées sont souvent involontaires et compulsives plutôt que constructives. C'est, pour nombre d'entre nous, une véritable "accoutumance" que de penser, d'être dans notre mental (ex: se plonger de manière réflexe dans nos peurs, regrets et remords du passé, ou dans les préoccupations, voire les angoisses du futur, dans nos culpabilités). Comme la cigarette, l'alcool ou les autres dépendances, les pensées nous donnent une fausse sensation de plaisir ou de sécurité. En réalité, quand elles deviennent plus fortes que nous, elles nous mènent au mal-être et à la souffrance...
Le DÉVELOPPEMENT PERSONNEL, la SPIRITUALITE et le COACHING ont pour objectif de nous apprendre à développer une qualité de présence à Soi, une capacité de mettre son attention totalement et intensément dans le présent, afin de pouvoir "Être en conscience".
L'objectif n'est aucunement de comprendre ce qu'est l'Être mentalement (ce serait encore nourrir l'égo et le mental), mais de l'expérimenter (le sentir). Retrouver cette présence à l’Être et se maintenir dans cet état de "sensation de réalisation". C’est cela l’illumination dont parle Eckart Tolle.
L’identification au mental amène la pensée à devenir compulsive et nous empêche de nous réaliser dans l'"Être". L’incapacité à s’arrêter de penser est une épouvantable affliction dont presque tout le monde est atteint, en tous cas dans nos pays industrialisés. C'est une telle pandémie que nous en venons d'ailleurs à considérer l’incapacité à s’arrêter de penser comme normale! - voire comme une preuve de responsabilité ou d'intelligence :-/.
Cet incessant bruit mental nous empêche de trouver ce royaume de calme intérieur qui est indissociable de l'Être. Ce bruit crée également un faux moi érigé par l’Ego qui projette une ombre de peur et de souffrance sur tout.
Si à l’instar du terme "Dieu", le mot "Être" est galvaudé et n’explique rien, il a par contre l’avantage d’être un concept ouvert. Il ne réduit du coup pas cet infini invisible à une entité finie et définie - comme on a tendance à le faire avec Dieu. Il est impossible de se faire une image mentale de "Être"!!!! Personne ne peut se déclarer être l’unique détenteur de l’Être, car il s’agit de notre essence-même, à chacun de nous. Le pas à franchir entre le terme "Être" et l’expérience d’"Être" est donc plus petit. :)))
Le philosophe français Descartes a cru avoir découvert la vérité la plus fondamentale quand il fit sa célèbre déclaration: "Je pense, donc je suis". Ne venait-il pas en fait de formuler l’erreur la plus fondamentale : celle d’assimiler la pensée à l’être et l’identité à la pensée?
Le penseur compulsif, c’est-à-dire presque tout un chacun :), vit dans un état d’apparente division, dans un monde déraisonnablement complexe où foisonnent perpétuellement problèmes et conflits, un monde qui reflète l’incessante fragmentation du mental.
L’expérience d'"Être", d'illumination, quant à elle, est un état de plénitude, un état d’unité avec la vie, avec le monde, et avec Soi.
L’identification au mental crée chez vous un écran opaque de concepts, d’étiquettes, d’images, de mots, de jugements et de définitions qui empêchent toute vraie relation.
Selon Eckart Tolle, cet écran s’interpose entre nous et nous-même, entre nous et notre prochain, entre nous et la nature, entre nous et le divin. "C’est cet écran de pensées qui amène cette illusion de division : l’illusion qu’il y a nous et un "autre", totalement séparé de nous. Nous oublions un fait essentiel : derrière le plan des apparences physiques et de la diversité des formes, nous ne faisons qu’un avec tout ce qui est. Nous ne pouvons plus sentir cet état d’unité comme étant une réalité qui coule de source. Même si nous la croyons vraie, souvent nous sommes incapables de l’appréhender plus comme telle. Une croyance peut certes nous réconforter. Par contre, seule l’expérience peut nous libérer".
Le mental est un magnifique outil à notre disposition, quand on s'en sert à bon escient, il nous permet d'accomplir une tâche précise. La tâche étant réalisée, nous devrions pouvoir lâcher notre mental, nos pensées... afin que ce ne soit pas notre mental qui se serve de nous ! Et c’est cela la maladie, quand on croit dur comme fer "être notre mental". C’est cela l’illusion : l’outil a pris possession de vous.
"Ce n’est pas parce que nous réussissons à terminer un jeu de mots croisés ou à fabriquer une bombe atomique que nous savons nous servir de notre mental. Ce dernier aime se faire les dents sur des problèmes, comme les chiens le font avec les os. Voilà pourquoi il fait des mots croisés et invente des bombes atomiques, alors que nous, l’Être, ne portons intérêt ni à l’un ni à l’autre".
La liberté d'être commence quand nous prenons conscience que nous ne sommes pas notre mental. Quand nous arrêtons de "nous réduire" en nous identifiant au penseur. Nous pouvons alors le surveiller :), surveiller nos pensées et l'influence qu'elles ont sur nous, sur notre vitalité et dès lors, accéder à un niveau plus élevé de conscience. Nous comprenons petit à petit qu’il existe un immense royaume d’intelligence, bien au-delà de la pensée (ex: l'intelligence du cœur). Nous réalisons aussi que toutes les choses vraiment importantes - la beauté, l’amour, la créativité, la joie, la paix - trouvent leur source au-delà du mental. Et nous commençons alors à vous éveiller.
A méditer :)))
vendredi 10 décembre 2010
COACHING RELATIONNEL : les 5 langages de l'amour - Gary Chapman
Un livre de développement personnel à ne pas manquer, une idée cadeau-coaching magnifique pour les fêtes qui s'annonce! :)
"Les langages de l'amour" (les actes qui disent "je t'aime") de Gary Chapman (dispo sur Amazon en 2 clics :) )...
Le concept est simple autant que génial : connaissez-vous le langage sentimental de votre conjoint (ou de vos enfants, vos amis, vos parents, frères et soeurs, vos collègues, etc)??? Celui qui fait qu'il se sent aimé???
Si nous voulons qu'il ou elle sente l'amour que nous essayons de lui communiquer, nous devons l'exprimer... dans son langage sentimental affectif!!!! Et oui! la sincérité ne suffit pas pour sauver les ménages!!!!
Le besoin de se sentir aimé est un besoin affectif fondamental, vital pour l'homme - et la femme ;)!!! Or, nombre d'entre nous parcourt le monde avec une impression de "réservoir affectif" désespérément vide, même si on est en couple ou qu'on a construit une famille... Reste les souvenirs de la magie du début de la relation, où on s'aimait alors tellement, où l'autre était si attentif et merveilleux! Mais qu'est-ce qui a bien pu se passer???
Ben c'est simple : les hormones qui rendent merveilleusement et obsessionnellement amoureux l'un de l'autre ne sont pas infinies. Après 18 mois à 2 ans (le temps pour la nature de nous donner l'opportunité de nous reproduire), on revient sur la planète terre et on recommence à penser par nous-même :) et là, ben ce sont à nouveau 2 individus en présence!!!!
Bienvenue dans le monde réel du mariage ou du concubinage :)!!! Si on était prêt à prendre le 1er vol pour rejoindre notre belle ou notre prince charmant en Chine, juste pour passer une nuit de rêve ensemble, on se voit maintenant discuter âprement de la marque du papier de toilette ou disserter sur la nécessité que les chaussettes sales trouvent directement le chemin du bac à linge sale... Les amoureux fous d'autrefois risquent bien de devenir des adversaires et la relation, un champ de bataille!
...ou bien ils décident d'apprendre à s'aimer sans le besoin euphorique d'"être amoureux". Car notre besoin émotionnel n'est pas de tomber amoureux, mais d'être authentiquement aimé d'autrui, de connaître un amour qui procède à la fois de la raison et de la volonté, et non d'un instinct.
J'ai besoin d'être aimé par quelqu'un qui est résolu de m'aimer, qui voit en moi une personne qui est digne d'être aimée, et qui est capable d'efforts et de discipline pour remplir mon "réservoir affectif" : c'est la décision de consacrer de l'énergie au profit de l'autre, sachant que si sa vie est enrichie par nos efforts, la nôtre sera également enrichie en retour. Une sorte de boucle d'abondance de gestes d'amour se met alors en place.
Le premier effort est de conscientiser que nous avons chacun un langage sentimental particulier, ie que nous interprétons/captons l'amour de l'autre à travers certains actes, et que nous ne le comprenons pas à travers d'autres. Le 2ème effort sera de s'engager à apprendre le langage affectif de ceux qu'on aime afin de veiller au niveau de son réservoir affectif!
Gary Chapman dénombre 5 langages affectifs qui favorisent l'intimité, aussi différents que le français, le chinois, l'espagnol, le russe et le swahili :) :
- les paroles valorisantes : compliments, paroles d'encouragement qui contribuent à ce que votre conjoint ait une bonne estime de lui-même.
- les moments de qualité : instants passés ensemble dans une grande qualité de partage, dans une écoute attentive qui fait que l'on se sent prioritaire et important pour l'autre.
- les cadeaux : achetés ou fabriqués, ou simplement don de présence, qui sont des symboles visibles d'amour et traduisent la valeur attachée à la relation.
- les services rendus : gestes, actes posés dans une attitude positive pour décharger celui qu'on aime (passer l'aspi, faire la vaisselle, s'occuper des enfants...)
- le toucher : de la petite caresse dans les cheveux fortuite et gratuite jusqu'au baiser le plus fougueux, le contact physique comme communication d'amour.
L'ouvrage de Gary Chapman dans son livre "Les langages de l’amour" nous invite à considérer l’amour comme une langue étrangère fonction de l’individu auquel nous souhaitons communiquer notre amour. Il donne également les principales règles de grammaire de cette langue "universelle". Bref, tout ce qu’il faut pour reconnaître la langue de sa/son partenaire. Il n’est jamais trop tard pour devenir un apprenti de l’amour... Alors, en route pour découvrir quel langage sentimental est le vôtre, et ceux des personnes que vous aimez! J'ai eu l'occasion de tester, c'est magique! Vous verrez la différence!!!!
Vive les réservoirs d'amour plein à craquer pour commencer la nouvelle année!
:))) Un livre à mettre entre toutes les mains...
"Les langages de l'amour" (les actes qui disent "je t'aime") de Gary Chapman (dispo sur Amazon en 2 clics :) )...
Le concept est simple autant que génial : connaissez-vous le langage sentimental de votre conjoint (ou de vos enfants, vos amis, vos parents, frères et soeurs, vos collègues, etc)??? Celui qui fait qu'il se sent aimé???
Si nous voulons qu'il ou elle sente l'amour que nous essayons de lui communiquer, nous devons l'exprimer... dans son langage sentimental affectif!!!! Et oui! la sincérité ne suffit pas pour sauver les ménages!!!!
Le besoin de se sentir aimé est un besoin affectif fondamental, vital pour l'homme - et la femme ;)!!! Or, nombre d'entre nous parcourt le monde avec une impression de "réservoir affectif" désespérément vide, même si on est en couple ou qu'on a construit une famille... Reste les souvenirs de la magie du début de la relation, où on s'aimait alors tellement, où l'autre était si attentif et merveilleux! Mais qu'est-ce qui a bien pu se passer???
Ben c'est simple : les hormones qui rendent merveilleusement et obsessionnellement amoureux l'un de l'autre ne sont pas infinies. Après 18 mois à 2 ans (le temps pour la nature de nous donner l'opportunité de nous reproduire), on revient sur la planète terre et on recommence à penser par nous-même :) et là, ben ce sont à nouveau 2 individus en présence!!!!
Bienvenue dans le monde réel du mariage ou du concubinage :)!!! Si on était prêt à prendre le 1er vol pour rejoindre notre belle ou notre prince charmant en Chine, juste pour passer une nuit de rêve ensemble, on se voit maintenant discuter âprement de la marque du papier de toilette ou disserter sur la nécessité que les chaussettes sales trouvent directement le chemin du bac à linge sale... Les amoureux fous d'autrefois risquent bien de devenir des adversaires et la relation, un champ de bataille!
...ou bien ils décident d'apprendre à s'aimer sans le besoin euphorique d'"être amoureux". Car notre besoin émotionnel n'est pas de tomber amoureux, mais d'être authentiquement aimé d'autrui, de connaître un amour qui procède à la fois de la raison et de la volonté, et non d'un instinct.
J'ai besoin d'être aimé par quelqu'un qui est résolu de m'aimer, qui voit en moi une personne qui est digne d'être aimée, et qui est capable d'efforts et de discipline pour remplir mon "réservoir affectif" : c'est la décision de consacrer de l'énergie au profit de l'autre, sachant que si sa vie est enrichie par nos efforts, la nôtre sera également enrichie en retour. Une sorte de boucle d'abondance de gestes d'amour se met alors en place.
Le premier effort est de conscientiser que nous avons chacun un langage sentimental particulier, ie que nous interprétons/captons l'amour de l'autre à travers certains actes, et que nous ne le comprenons pas à travers d'autres. Le 2ème effort sera de s'engager à apprendre le langage affectif de ceux qu'on aime afin de veiller au niveau de son réservoir affectif!
Gary Chapman dénombre 5 langages affectifs qui favorisent l'intimité, aussi différents que le français, le chinois, l'espagnol, le russe et le swahili :) :
- les paroles valorisantes : compliments, paroles d'encouragement qui contribuent à ce que votre conjoint ait une bonne estime de lui-même.
- les moments de qualité : instants passés ensemble dans une grande qualité de partage, dans une écoute attentive qui fait que l'on se sent prioritaire et important pour l'autre.
- les cadeaux : achetés ou fabriqués, ou simplement don de présence, qui sont des symboles visibles d'amour et traduisent la valeur attachée à la relation.
- les services rendus : gestes, actes posés dans une attitude positive pour décharger celui qu'on aime (passer l'aspi, faire la vaisselle, s'occuper des enfants...)
- le toucher : de la petite caresse dans les cheveux fortuite et gratuite jusqu'au baiser le plus fougueux, le contact physique comme communication d'amour.
L'ouvrage de Gary Chapman dans son livre "Les langages de l’amour" nous invite à considérer l’amour comme une langue étrangère fonction de l’individu auquel nous souhaitons communiquer notre amour. Il donne également les principales règles de grammaire de cette langue "universelle". Bref, tout ce qu’il faut pour reconnaître la langue de sa/son partenaire. Il n’est jamais trop tard pour devenir un apprenti de l’amour... Alors, en route pour découvrir quel langage sentimental est le vôtre, et ceux des personnes que vous aimez! J'ai eu l'occasion de tester, c'est magique! Vous verrez la différence!!!!
Vive les réservoirs d'amour plein à craquer pour commencer la nouvelle année!
:))) Un livre à mettre entre toutes les mains...
jeudi 2 décembre 2010
COACHING du jour : A méditer... :))
"Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité ;
un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté."
W Churchill
un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté."
W Churchill
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