Je retiens ce passage de Jacques SALOME dans "A qui ferais-je de la peine si j'étais moi-même?" : sur le besoin que l'on peut avoir de mettre l'autre en difficulté ou en échec...
"En mettant l'autre en échec, c'est du meilleur de lui que l'on se prive, c'est de tous ses apports que l'on se coupe. Cette sorte d'autoprivation assèche et stérilise les relations les plus intimes, comme les plus banales ou les moins significatives".
A méditer...
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire