«Il y a une résolution que j’ai prise et que j’essaie toujours de garder : celle de m’élever au-dessus des petites choses.»
– John Burroughs
Incroyable la gestion des émotions...
Comment
se fait-il qu'il est parfois plus facile à avaler une grosse pilule (un
moment de vie douloureux : un deuil, une rupture...) qu'une petite
contrariété?
Profondément bouleversé(e), on est souvent davantage
capable de laisser l’expérience passer au travers soi, avec parfois même
une certaine harmonie du fait que l'on ne s’oppose pas à la réalité. Et
après, tout notre être peut retrouver son élan de vie, se mettre en
paix, et guérir ses plaies.
Par contre, nous pouvons nous
rebiffer, nous insurger, nous raidir face à des petites contrariétés,
des frustrations ou déceptions qui nous mettent en boule. Nous bloquons
toute notre énergie face à ce qui nous arrive, les poings serrés, la
mâchoire crispée et le regard qui tue, incapable de relativiser quitte à
baigner dans cette tension désagréable presque tout l’après-midi, une
semaine entière, des mois... voire des années! Nous n'allons quand même
pas laisser faire ça, c'est une question de principes!!!!
Qu'est-ce qui explique cette attitude paradoxale face aux émotions?
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